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2 février 2025

Eric Vial

Moi, je resterai un lecteur insoumis !
 
- 1/2/2025 - Et si des pseudos insoumis rejettent l’idée de libérer Boualem Sansal après bientôt 80 jours d’emprisonnement dans les geôles du régime algérien, qu’ils aillent au diable.
Oui, je resterai un insoumis, qui refuse que l’on enferme des écrivains, des artistes, des poètes, des intellectuels pour leurs paroles.
Ah, elles font mal ces paroles, elles disent des vérités que vous ne voulez pas entendre.
Moi, je resterai un vrai insoumis, parce que je suis un homme libre, qu’aucune chaîne d’un dogme politique ne m’attache.
Honte à ceux qui profanent la liberté de penser ou d’écrire. Ils sont des dangers pour la société.
J’exige la libération immédiate de Boualem Sansal. Il nous a promis la fin du monde, c’est ce qui arrivera si nous laissons passer les malfaisants.

UNE BIZARRE SAUCE BÉARNAISE USAGÉE

Gabriel Nerciat

- 2/2/2025 - Ne comprends plus grand chose à l'actualité politique, si tant est qu'elle soit compréhensible.
Pourquoi donc Bayrou entreprend-il, comme Barnier avant lui, de soumettre le vote du budget à l'adoption de l'article 49.3 ?
C'est la meilleure façon de se planter, sauf s'il a vraiment conclu un accord en béton armé avec le PS (ce qui ne semble pas être le cas).
Dans un vote simple, les députés RN et PS pourraient peut-être s'abstenir, en invoquant la nécessité de boucler le budget (ou tout autre argument imitant le réflexe de la prudence).
Mais avec un 49.3, l'abstention n'est pas de mise. Les députés doivent voter pour ou contre la motion de censure qui en découle automatiquement.
Si le RN vote contre, surtout après s'être abstenu lors du premier vote, il devient le soutien officiel d'un gouvernement auquel il ne participe pas, et perd son statut de premier parti d'opposition parlementaire sans rien gagner de concret en échange (à part des débats interminables et stériles sur la submersion).
Tous les plumitifs appointés qui parlent de besoin de stabilité machin chose et autres billevesées ne peuvent faire oublier ces principes de base qui valent pour presque tous les régimes parlementaires.
Non seulement la classe politico-médiatique est devenue aussi pathétique que ce notable démocrate-chrétien béarnais hors d'âge toujours prêt à offrir ses services à une gauche européiste agonisante, mais de plus elle ne semble même pas comprendre qu'avec l'élection de Trump et les taxes protectionnistes qu'il va bientôt imposer à l'Europe (et donc aussi à la France percluse de dettes et paralysée par un chef d'État irresponsable), les vieilles ficelles d'arrière-boutique des années 1990 ne peuvent plus rafistoler grand chose.
À moins bien sûr qu'un détail ne m'échappe.
Mais j'aimerais bien savoir lequel.
Gérard Boyadjian

- 1/2/2025 - Puisque vous ne parlez "l'anglish", je vais devoir m'atteler à vous retranscrire et décrire toute l'ignominie de cette femme qui a déroulé sur l'autoroute de la haine pendant 40 longues et insoutenables minutes.
Au-delà des pathétiques accusations de détournement de mineur qu'elle colporte sur le couple présidentiel français, à l'abri, depuis sa Californie. Candace Owens (soutien officielle de Trump) est tellement réactionnaire, conservatrice et surtout Chrétienne, qu'elle s'avère incapable d'accepter l'histoire d'amour merveilleuse entre une prof de théâtre de 39 ans et son élève de 14 piges ! (Un véritable conte de fées qu'on ne peut que souhaiter pour ses enfants).
Au-delà des innombrables faits de pédophilie, de pédérastie, avérés et qu'elle expose preuves à l'appui, ainsi que de tout cet univers woke, décadent et "cage aux folles", qui entoure la caste dirigeante française... Et qui pour nous Français sont une indéniable marque de progrès, de raffinement et d'ouverture d'esprit. Voui !
Au-delà des considérables éléments révélés à la face du monde sur les méthodes de chasse et persécution des journalistes indépendants français par le régime macronien, de la collusion et la corruption de la justice française, des cancers fulgurants développés de journalistes un peu trop "acharnés" ou des décès prématurés... Mais tellement bien mérités !
OUI, c'est un scandale !
Comment peut-on laisser cette femme, noire de surcroît, s'exprimer ainsi sur nos Maîtres ?
Qui est-elle pour exposer, révéler et démontrer que nos dirigeants sont pourris à minima jusqu'à la moelle, voire jusqu'à la teub !
Non, nous ne l'acceptons pas !
On veut bien tolérer et payer "banania" pour jouer au foot, engager Omar Sy pour interpréter Napoléon ou embaucher Aya Hakounamatata pour zooker lors de l'ouverture des jeux olympiques !
Mais que cette ingrate descendante d'esclaves de Candace Owens outrepasse son rang et sa race, en allant jusqu'à exposer, enquête méticuleuse à l'appui, la nature de notre couple présidentiel, fabriqué de toutes pièces... ça va beaucoup trop loin !
Je propose le rétablissement de l'esclavage pour les personnes noires qui ne se soumettent pas aux injonctions des Maîtres !
PS : En plus elle est antisémite ! (C'est Patrick Bruel qui l'a dit !)

1 février 2025

À quand le procès du Covid ?

Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire


- 31/1/2025 - « Les juges et l’assassin », livre de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, est une enquête sur les événements COVID et les implications du pouvoir dans la gestion de cette affaire. Bien entendu il y est relaté les épisodes de confusion des décisions sur les masques et les conduites à tenir, mais le plus scandaleux et qui devrait faire réagir, c’est l’affirmation, preuves à l’appui, que l’exécutif a violé la constitution en interférant fortement dans le domaine législatif. Il ne l’a pas fait par erreur mais sciemment. L’acte était pensé, médité, voulu. Ainsi il y est dévoilé qu’une note a été envoyée aux collaborateurs de l’Élysée, ainsi qu’au président de l’Assemblée nationale de l’époque. Cette note avait pour but de donner les consignes, entendez les éléments de langages réfléchis pour que personne ne soit inquiété judiciairement. Au lieu de parler librement, M. Ferrand a donc récité un texte écrit par les juristes de Macron. La séparation des pouvoirs a été délibérément violée dans l’unique but de protéger le pouvoir, non de faire éclater la vérité, ou de souligner les erreurs et faiblesses commises. Car après tout, la faute n’est pas un crime en soi, sauf si conscients de sa réalisation, les auteurs font tout pour la dissimuler et s’exonérer de rendre des comptes. C’est bien là le problème manifeste relevé par cette enquête. La réalité est que l’ensemble de la gestion a été un épisode totalement contraire à toutes les lois. L’obligation vaccinale : illégale, le confinement : illégal, les autorisations de sorties que l’on devait se signer soi-même : illégal, la contamination ou non selon que l’on prenait son café assis ou débout : sans fondement, l’annonce que les six millions de non-vaccinés allaient mourir dans l’année : sans fondement, la forme moins grave garantie par le vaccin : scientifiquement invérifiable, le masque imposé aux enfants dès six ans : torture totalement inutile, la négation des effets secondaires : irréaliste, le pass sanitaire/vaccinal : illégal, les achats de vaccins sans discussion, sans appel d’offre : illégal, les trains et les hélicoptères pour gérer les malades alors qu’ils n’ont représenté que 2 à 5 % de l’activité hospitalière : mise en scène, les vaccins arrivant par fourgons réfrigérés, avant d’arriver finalement en fourgons ordinaires : mise en scène, les tests Covid : inadaptés, les interventions de pseudos spécialistes sur le sort à réserver aux non vaccinés : incitation à la haine, la décision de ne plus accueillir les non-vaccinés dans les hôpitaux : illégal… et la liste est encore longue, des ignominies perpétrées pendant cet épisode… (...)


Le groupe Telegram du RPF :
Eric Vial

- 31/1/2025 - Emmanuel Macron est-il un pervers narcissique, un dingue ? Son électorat a-t-il un esprit assez faible pour s’être laissé manipuler ? Ce sont les questions très sérieuses que se pose Marc Joly, sociologue, chargé de recherche au CNRS, spécialiste de la perversion narcissique et de la violence morale.
« La Pensée perverse au pouvoir » (éditions Anamosa) est une analyse profondément détaillée, une démarche scrupuleusement scientifique, du cas Macron. L’auteur utilise des outils de sciences sociales et de la psychanalyse pour confondre son patient. Et ses conclusions font peur. Mais qu’est-il arrivé à la France ? Pourquoi avoir accepté « cette violence » ? C’est tout l’objet du livre.
Marc Joly ne s’arrête pas là. Il pointe les responsabilités et les complicités : Bernard Arnaud, Brigitte Macron « un délire commun qui soude le couple » ou la CFDT. Il décortique toute l’actualité et les petites phrases pour les analyser une par une. Il constate les trahisons et les explique ; s’enfonce dans la petite enfance du président pour déterminer ce qui a cloché dans ses relations avec sa grand-mère. Il conclue que le profil a la volonté de détruire, qu’il n’a aucune capacité de création, qu’il cherche constamment à compenser ou à cacher ses incompétences.
Bien sûr, Marc Joly explique l’organisation d’une résistance face à cette pensée perverse du pouvoir, celle de Laurent Berger ou de Marine Tondelier, mais il ne peut que constater un renversement des valeurs d’une partie de la presse ou de certains électeurs complètement obnubilés par le charme destructeur sans fond du président, son ironie, ses mensonges : l’emprise perverse.
Le style du livre est enlevé, pas besoin d’être un spécialiste de la psychanalyse pour comprendre de quoi il en retourne. L’argumentaire est étayé par la sociologie réflexive de Pierre Bourdieu ou les études de Paul-Claude Récamier.
« C’est ici, précisément, qu’est susceptible de s’épanouir la perversion, via la transformation en objets de jouissance personnelle et de rehaussement narcissique de mécanismes impersonnels, certes nécessaires, mais dont sauf exception des bénéficiaires, nostalgiques de la violence savent qu’il n’y a pas lieu de se vanter. S’il est possible de voir dans l’action du président Macron, par-delà les continuités, une rupture qualificative avec ses prédécesseurs, c’est parce qu’il se joue quelque chose de ce type. »
Le pamphlet brillant est terriblement méchant. Tellement inquiétant que cela en devient drôle. À croire que personne ne met son cerveau en ON pour constater qu’effectivement « il y a un problème, là ».
Personne n’aimerait passer ainsi sur le grill de l’analyse psychologique et sociologique, aux yeux de tous.
En même temps, pour seulement 20 € vous avez une étude détaillée et poussée de votre cas. Ceux qui suivent une thérapie durant plusieurs années savent qu’à ce prix là, c’est cadeau !
Jouissif, intelligent, particulièrement inquiétant sur notre manière d’aborder aujourd’hui la pensée au pouvoir, mais tellement rassurant pour ceux qui se sont aperçus de la supercherie. Il faut lire Marc Joly !

31 janvier 2025

La lutte contre l’anonymat sur internet continue

H16

- 31/1/2025 - Il apparaît que des gens publient des choses sur internet, pas toujours tendres voire carrément méchantes, et qu’elles le font d’autant plus facilement qu’elles restent anonymes. C’est – on en conviendra aisément – parfaitement intolérable et tout doit être mis en oeuvre pour l’interdire avec la plus grande fermeté, nom d’un petit bonhomme !


Rendez-vous compte : bien cachés derrière l’incroyable anonymat permis par le laxisme évident des intertubes webesques, des internautes animés de l’intention de nuire laissent des commentaires peu flatteurs voire carrément diffamatoires à chaque fois qu’ils le peuvent dans les descriptifs d’hôtels, de restaurants qui apparaissent sur internet, détruisant en quelques clics délétères la réputation de nobles établissements.

Ainsi, qui n’a pas constaté, dans les commentaires de restaurants, les avis à l’emporte-pièce de GinetteDu55 qui explique que « la bouffe est dégueulasse et le service minable, 1 étoile c’est encore trop » ou ceux de Darkn00b35 concernant tel hôtel dont « la réception pue, les sanitaires sont douteux et le petit chocolat sur l’oreiller m’a donné la diarrhée – fuyez, 1 étoile max » ?

C’est sans doute pour cela que les autorités italiennes sont courageusement en train d’introduire des mécanismes afin d’éviter ces dérives évidentes : puisque l’anonymat semble autoriser toutes les méchancetés, obligeons tout le monde à se dévoiler sur internet, et fini les méchancetés. Grâce à cette ingénieuse proposition, fini les commentaires bidons, terminé les avis méchants infondés ! Il n’y aura plus que des commentaires des internautes publics, au nom reconnu et correctement traqués par les différentes plateformes dans leurs bases de données bien sécurisées.

Bien évidemment, ceci ne serait pas nécessaire si ce fléau, cette peste numérique des temps modernes n’affectait pas entre 6 et 30 % du chiffre d’affaires des sociétés du secteur de l’hôtellerie et du tourisme, selon le gouvernement italien. Au passage, admirez l’étroitesse de l’intervalle et le rapport de 1 à 5 entre les deux bornes, qui donne une assez bonne idée de la solidité de l’argument sur lequel s’appuie l’ensemble de cette opération consternante.

Consternante, c’est bien le mot : au prétexte d’avis truqués, l’idée consiste donc à imposer la perte d’anonymat sur internet et celle d’une identité révélée qui suit l’internaute en tout lieux, en tous temps.

Outre l’aspect technique qui rend l’opération risible (on pourra relire pour s’en convaincre un précédent article sur les tentatives, aussi rigolotes que stupides, des autorités françaises concernant les sites pornographiques), cela signifie surtout que des masses de données sensibles – tendant à prouver l’identité d’une personne – seront conservées et utilisées régulièrement un peu partout sur internet, pour des choses aussi mondaines que des avis sur les antipasti du restaurant du coin.


Non seulement ceci est dangereux pour les internautes, mais cela permet en outre (et cela n’a absolument rien d’innocent) aux autorités – italiennes dans ce cas – de véritablement pister les internautes dans la plupart de leurs activités… Y compris politiques.

Car ne voyez rien d’autre dans cette nouvelle tentative législative dans le domaine numérique qu’un pied dans la porte des autorités pour mettre enfin un terme à toute liberté d’expression sur les réseaux sociaux.

Le mécanisme est simple, connu, et ses premières étapes déjà largement visibles avec les arguments habituels déployés par les indispensables chroniqueurs et politiciens de plateaux médiatiques : « l’anonymat, c’est laid, c’est vilain même ; pire, c’est le blanc-seing donné aux méchants et aux aigris pour venir déverser leur haine, leur mauvaise humeur et surtout leurs fake news sur les réseaux sociaux sans foi ni loi, mettre des commentaires horribles comme avis d’honnêtes commerçants, voire troller sous les articles d’une presse irréprochable, notamment. »


L’étape suivante, c’est bien évidemment d’accréditer cette thèse par des douzaines de témoignages et d’exemples tous plus visibles, criants et horribles les uns que les autres. On pourra les trouver d’autant plus facilement qu’on ameutera des influenceurs, des chroniqueurs, des politiciens et des experts de plateau pour témoigner de leurs horribles expériences vécues (ou prétendues telles) sur l’un ou l’autre réseau social.

L’étape suivante consistera à créer de tels commentaires et revues, voire des « fake news » grotesques, par centaines ou par milliers, en utilisant les dernières avancées de l’intelligence artificielle. Après tout, on n’hésite guère à le faire pour ajouter d’invraisemblables commentaires positifs ou élogieux en-dessous de bouses cinématographiques désertées par les spectateurs, pourquoi ne pas pourrir les commentaires de publications honorables et les avis de lieux réputés ?


Mais quel serait donc le but de cette inondation de mauvaise humeur et de méchanceté dans les commentaires de publications médiatiques ?

Il est évident : garantir que tout le monde, outré, comprendra la nécessité d’intervenir ! « Cela ne peut pas durer, enfin voyons, même sous ces excellentes publications, les critiques sont acerbes ! » ou « Enfin, peut-on laisser des robots russes ou américains pourrir ainsi la réputation de ce célèbre restaurant, de cet hôtel ou de ce musée, cet aéroport français renommés ? »

C’est intolérable, il faut absolument faire quelque chose, n’est-ce pas ?

Et franchement, l’identité numérique qui permet de tracer tout le monde, tout le temps et surtout sur les réseaux sociaux, quoi de mieux ? D’autant que l’idée actuellement en discussion en Italie ne diffère pas des masses de celle développée en 2020 par les parlementaires français, après tout…

Non, sérieusement, réfléchissez-y un peu : pour éviter le pourrissement des intertubes par les vilains et les aigris, pour éviter leur inondation par les fake news et autres intox dont on sait que certaines proviennent des Russes, des Chinois, des Américains, bref de nos ennemis, on impose la disparition de l’anonymat, on met en place puis on impose l’identité numérique, et tout le monde sera bien plus heureux. Si si.

Finies les élections malencontreusement bousculées par « des bots russes » ou une « ingérence américaine » !

Par exemple, actuellement dépourvues de moyens et plongées au milieu d’anonymes malveillants par millions, les autorités allemandes peinent à tenir leurs prochaines élections qui risquent de laisser les citoyens allemands voter de travers ! Comme l’identité numérique n’est pas encore imposée, n’importe qui peut influencer n’importe qui d’autre sur les réseaux, et faire basculer la politique allemande dans les heures les plus sombres de l’histoire européennes, avec bruit de bottes en prime.

Certes, en utilisant des alinéas bien sévères du Digital Service Act européen, on pourra certainement couper court aux discussions en ligne en Allemagne et museler les opposants anonymes délétères. Certes, ce Digital Service Act se dote à présent et fort commodément d’outils pour en finir avec les factieux sur les intertubes. Le timing est bien fait, n’est-ce pas.

Mais l’étape suivante reste indispensable : le cheptel les citoyens doivent être numérotés identifiables partout, comme l’expliquait il y a peu un certain Klaus S. d’une intéressante petite association caritative :

Eh oui : qui ne voudrait pas d’une transparence totale ? Qui peut nier que seuls les terroristes utilisent l’anonymat et les pseudonymes, comme « Rex » au lieu de Jean Moulin, comme « Publius » pour Alexander Hamilton ou James Madison ? Qui peut nier que ceux qui n’ont pas besoin de pseudonymes n’ont rien à dire et donc rien à cacher, au contraire des autres, forcément coupable d’un quelconque méfait, d’une sédition dangereuse ?

Alors oui, les anonymes postent n’importe quoi sur les réseaux, mais leur temps est révolu. Et les autorités, qui veulent évidemment notre bien, vont rapidement mettre en place des mesures efficaces pour assurer notre transparence totale.

Non, vraiment, il ne faut pas avoir peur.


https://h16free.com/2025/01/31/79996-la-lutte-contre-lanonymat-sur-internet-continue

30 janvier 2025

Marc Amblard

LE WOKISME SE MEURT... MAIS PAS ENCORE EN FRANCE
 
Le gynécologue de Pau, qui avait refusé de recevoir dans son cabinet un trans né homme (donc pas d’utérus, pas de vagin, pas d’ovaires, pas de vrais seins) a été sanctionné par deux mois d’interdiction d’exercer par l’Ordre des médecins. Il affirmait que sa spécialité le conduisait à s’occuper exclusivement du sexe féminin.

UNE SEULE CONCLUSION : CEUX QUI ONT SUSPENDU CE MÉDECIN, DOIVENT CONSULTER UN PSYCHIATRE, D'URGENCE !

Eric Vial
29/1/2025

Libérez-la ! Sa vie est en danger. Cécile Kohler, 1000 jours ce vendredi : une éternité.

1000 jours que tu es otage du régime iranien.
1000 jours que tu manques à ta famille.
1000 jours que tes élèves s’inquiètent.
1000 jours que tes camarades syndiqués crient à l’injustice.
1000 jours que l’Alsace a le souffle coupé.
Et pas un jour où je n’ai pas pas pensé à toi, à Jacques, à Olivier emprisonnés comme toi pour la simple raison d’être français.
C’est comme si nos bonheurs étaient empêchés, pas complets. Tu nous manques. Vous nous manquez !
Nous sommes tous solidaires de votre souffrance.
Dans toute la France, plusieurs rassemblements sont prévus cette semaine pour témoigner notre solidarité aux otages et à leurs familles.

Ce vendredi à :
- Soultz Haut-Rhin, (la ville d’origine de Cécile Kohler). Devant la Mairie, 11h30.
- Nantes, Place du Pont Morand devant le monument des 50 Otages, 17h.
- Nanterre, Agora - 20 rue Stalingrad à 19h. Dévoilement d'un panneau à l'effigie de Cécile Kohler.

Ce samedi à :
- Rennes, Place de la Mairie, à 11h.
- Montpellier. Devant la Préfecture, 11 h.
- Flers, Place du marché, rue de la boule, 11h.
- Granville, Place de la mairie, à 12h.
- Paris – Place du Panthéon, à 14h.

Ensemble, montrons à Cécile, Jacques et Olivier qu’ils ne sont pas oubliés et dénonçons fermement les pratiques intolérables du régime des mollahs.
Chaque soutien compte pour leur liberté.

Nicolas Dupont-Aignan
29/1/2025

Covid : l'étau se resserre !

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Pierre Duriot

Trump, Poutine et les autres, à genoux...

- 30/1/2025 - Étonnante « élite » française, après avoir mis l’économie russe à genoux, elle se propose d’entamer des mesures pour faire plier Trump et sa guerre commerciale, pas encore commencée, compte envoyer des troupes en Ukraine pour résister aux Russes, des troupes au Groenland pour effrayer le même Donald qui a des visées sur cette contrée... peut-être d’autres troupes à Taïwan face aux Chinois ? Il est vrai que nos armées rentrent d’Afrique, où elle ont pacifié le continent, avec tambours et trompettes et que nous avons un armement, un budget et une capacité d’innovation susceptibles de faire peur aux principaux belligérants de la planète. Voilà ce qui devrait se faire quand on écoute les quelques intervenants invités à disserter récemment sur l’influence géostratégique de l’Hexagone piloté par un habile chef de guerre pour encore deux ans. On se demande dans quel monde vivent tous ces gens…