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10 février 2025

USA - L’ESTABLISHMENT DÉMOCRATE EST TERRIFIÉ PAR ELON MUSK, VOICI POURQUOI

Marc Amblard

- 10/2/2025 - Les audits actuellement menés au sein de diverses agences fédérales apportent un nouvel éclairage sur la politique outre-Atlantique.
Depuis plusieurs décennies, la gauche américaine mène un combat sans relâche pour faire avancer son agenda dit « progressiste » : depuis le changement climatique vers la folie du transgenrisme en passant évidemment par l’ingérence électorale. Et ce partout dans le monde.
Nous étions alors nombreux à penser que l’hydre se nourrissait de fonds privés fournis par quelques oligarques (Soros, Rockfeller, Gates…) désireux de promouvoir une forme d’idéologie qu’ils ne cachent plus depuis longtemps.
Les équipes du DOGE (Department of Government Efficiency) dirigées par Elon Musk nous apprennent qu’il n’en est rien : toutes ces actions étaient en fait financées à coup de milliards par des agences fédérales (dont l’USAID dont on parle abondamment en ce moment, et pour cause) et de sombres associations affiliées. Toutes étant alimentées par des fonds publics. Ainsi les oligarques précités et autres groupes de pression ont mené leur activisme non pas avec leur fortune personnelle mais avec l’argent du contribuable américain.
Et c’est précisément pourquoi la gauche américaine est si terrifiée et remontée contre la nouvelle administration et notamment Elon Musk : il est très probable qu’avec la fermeture du robinet par le nouveau président élu, l’establishment démocrate et ses actions répétées contre la démocratie seront très affaiblis voire anéantis, au moins temporairement.
Plus de fonds, plus d'actions.
Trump ne l'ignorait pas et c'est pour cette raison que son premier fait d'arme fut la création du DOGE.
L’année 2025 qui démarre sur les chapeaux de roues nous réservera bien des surprises. Ce n’est que le début.

Pourquoi le « DOGE » étripe USAID

H16

- 10/2/2025 - Si vous vous en tenez à la presse française, vous n’avez probablement pas entendu grand-chose au sujet du DOGE, le Department Of Government Efficiency américain, créé par Donald Trump pour qu’Elon Musk fasse le ménage dans les dépenses fédérales. C’est dommage, parce que ce que Musk fait avec « DOGE » est particulièrement intéressant, et notamment la façon dont il procède pour obtenir le bon résultat au final.


Lui, comme d’autres, sont parfaitement au courant du niveau de corruption du gouvernement fédéral et comment un groupe de voleurs (le « Blob » ou le parti unique) en a pris les rennes. Mais un grand nombre de normies – et d’opposants politiques à Trump ou Musk – ne sont pas au courant et refusent même d’y croire.

Le plus simple est alors de montrer l’ampleur du problème et c’est exactement ce à quoi sert le scandale USAID, où l’on découvre que cette agence distribue du pognon du contribuable américain à des causes de plus en plus farfelues.

USAID est en substance utilisé comme caisse noire.

Il est en effet à peu près impossible d’inscrire au budget fédéral américain une ligne spécifique pour des pots-de-vin, du favoritisme, etc. Ca ne passera évidemment pas. En revanche, si on cache les dépenses frauduleuses au milieu de milliers de dépenses présentables voire légitimes, ça ira.

USAID est un fonds général utilisé pour créer une série d’agences portant des noms tels que « Bureau Fédéral de Sauvetage Des Chatons Mignons ». L’avantage est que ces agences font partie de l’Exécutif, mais s’occupent des petits détails opérationnels des grandes politiques lancées par le Président et son administration. À leur tête, on place des bureaucrates embauchés (et donc non élus) et elles sont financées par une seule ligne budgétaire.


Ce qui permet de remplacer des multitudes de lignes genre « Fonds pour de la poterie créative en Ukraine » ou « Fonds pour des Préservatifs pour les jeunes de Gaza » par une seule grosse ligne « 50 milliards pour le Bureau Fédéral de Sauvetage des Chatons Mignons ».

Si quelqu’un pose des questions, il est alors facile de faire le choqué et d’exiger de savoir pourquoi on veut nuire à des chatons. L’opinion suivra l’indignation, les fonds continueront de couler.

Quant à la réalité des fonds, ils sont distribués à des entreprises qui appartiennent au politicien qui a voté pour ces fonds pour réaliser des trucs idiots. Ou distribués à des maisons d’édition qui vont produire des livres que personne ne lira et qui iront direct au pilon mais qui permettront à certains de toucher des avances sur droits d’auteur. Ou filés à des firmes de Wall Street pour qu’elles paient des fortunes pour des speechs de 20 minutes de politiciens en retraite. Bref, il s’agit de distribuer de la thune, ceux qui la reçoivent font semblant de faire des trucs plus ou moins idiots et empochent l’argent (et en reversent une partie au(x) généreux politicien(s) impliqués).

Le but n’est pas ce qui est réalisé avec l’argent fédéral, mais le fait que cela permet de le transférer vers les poches de certains bénéficiaires bien identifiés. Au passage, notons qu’en France c’est exactement le même procédé avec les myriades d’associations lucratives sans but, liées au climat et à toutes les causes militantes variées. À la fin, tout le monde en croque : les politiciens bien sûr, leur famille aussi, puis certains « entrepreneurs » et leurs accointances, et rapidement les journalistes, les médias en général, etc.


Dans le cas américain, une fois la machine enclenchée, et en fonctionnement depuis des dizaines d’années, rapidement, tout est corrompu, y compris les juges.

Bien évidemment, quand Trump est élu, c’est un peu une autre musique : en nommant Musk à la tête du DOGE, il nomme quelqu’un qui n’a pas besoin de piller quoi que ce soit pour s’enrichir puisqu’il est déjà l’homme le plus riche du monde.

En prenant en main le DOGE, Musk sait qu’il va se heurter à une opposition féroce. Il a donc besoin d’un élan politique et d’un soutien public imparables, et ce rapidement. Il doit donc prendre les devants, avant que le Bureau Fédéral de Sauvetage des Chatons Mignons ne puisse mobiliser son pouvoir médiatique (tous les médias corrompus par exemple) pour se mettre en travers de son chemin. Cependant, en agissant le plus vite possible, en gagnant rapidement le soutien du public, toute forme de défense du statu quo sera considérée comme une preuve de corruption.

On pourrait taper sur l’IRS (le fisc) et l’ATF (l’agence réglementant les armes, l’alcool, le tabac et les explosifs) car ils sont très impopulaires, mais l’USAID est un meilleur choix : cette caisse noire n’a pas de comptes à rendre et finance des foules de « petits » projets, souvent loufoques ou très discutables.

En mettant au jour ce qu’il découvre, Musk force les politiciens du Blob, du « parti unique », et les bureaucrates de l’État profond à défendre ces fonds ; et ce n’est pas simple : au lieu de débattre sur le degré de contrôle des dépenses des agences fédérale (ou savoir si Musk est le mieux placé pour faire le ménage), les corrompus doivent défendre la pertinence de payer la facture de 1,5 M$ pour « donner aux femmes les moyens de s’adapter au changement climatique dans le nord du Kenya ». Bonne chance !

Et ils doivent absolument justifier ces dépenses, car sinon, cela revient à admettre qu’il ne s’agit que de détournement ou de blanchiment, ce qui signifie… la prison pour eux au bout du processus.

C’est pourquoi les médias, les politiciens s’agitent Outre-Atlantique, pourquoi ça s’inquiète fort en Europe (qui était aussi arrosée par ces fonds) : l’idée est de générer suffisamment de « contre narratif » pour éviter d’aller en prison fédérale. On peut voir des exemples de ces « narratifs en pleine panique » se déployer actuellement sur les médias et les réseaux sociaux


C’est bien sûr encore trop tôt pour parler de procès, d’inculpations et de sentences. Mais ça commence à se profiler et c’est pour cela que certains ont déjà les mains moites.

Reste à savoir si cela ira jusqu’au bout. Pour le moment, tout semble indiquer que Musk et Trump sont décidés. Achetez du pop-corn, cela pourrait devenir franchement croustillant.


https://h16free.com/2025/02/10/80107-pourquoi-le-doge-etripe-usaid

Quand la France court après son intelligence perdue

Ivan Rioufol

- 10/2/2025 - La révolution ? C’est à droite qu’elle gagne les esprits. Ce week-end, à Madrid, Marine Le Pen s’est jointe aux leaders de la droite nationale européenne pour décliner le slogan trumpien du Maga (« Make America Great Again »). Le « Make Europe great again ! » a été avalisé par la fondatrice du RN, lors d’une réunion des Patriotes pour l’Europe. La conversion atlantiste, conservatrice et libérale de la candidate supposée à la prochaine présidentielle n’a pas été revendiquée pour autant. Il n’empêche : quand Le Pen reconnaît que la victoire de Donald Trump constitue un « véritable basculement mondial », elle met ses pas dans ceux du président américain et de sa « révolution du bon sens ». Ce retournement vient rompre avec le chauvinisme d’un mouvement jusqu’alors rétif au modèle nord-américain. Jeudi dernier, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a lancé pour sa part une autre audace idéologique à propos du tabou du droit du sol : « Le débat public doit s’ouvrir sur le droit du sol dans notre pays (…) Il faut un effort pour devenir français. Etre Français, c’est une volonté. C’est le droit de la volonté ». Embrayant sur cette révélation tardive, François Bayrou a souhaité « entrer dans le débat » sur l’identité française et l’acquis de la nationalité. Le premier ministre a invité à réfléchir à la question : « Qu’est-ce qu’être Français ? ». Ces déblocages mentaux, au RN comme au gouvernement, sont d’autant plus spectaculaires que la gauche s’accroche, en réaction, à son passé dépassé. Cependant cette déglaciation en cours, sous l’effet du changement de climat porté par Trump et son retour aux frontières, laisse voir l’état comateux du débat en France, tétanisé par trente ans et plus de pensées sous surveillance. D’où la question : faut-il croire en ceux qui découvrent la question identitaire, qu’ils avaient sous le nez sans oser l’aborder et qui caricaturaient les pionniers qui abordaient le sujet ?

La réflexion de Schopenhauer se vérifie une fois de plus : « Toute vérité franchit trois étapes. Tout d’abord, elle est ridiculisée. Ensuite elle subit une forte opposition. Puis elle est considérée comme ayant été toujours une évidence ». Ceux qui ont alerté sur la débandade des « élites » à propos de la nationalité, de son contenu et de ses protections ont d’abord été assimilés à « la France rance », avant d’être combattus pour leur « xénophobie », pour enfin être rejoints par leurs contempteurs. Pendant longtemps, se réclamer de la nation a été vu comme une régression pétainiste, y compris par la droite de gouvernement. En mai 2015, Laurent Wauquiez, confronté désormais à l’envolée prometteuse de Bruno Retailleau, déclarait : « Nous souhaitons nous appeler les Républicains car nous défendons avant tout l’identité républicaine ». Cette même année, Nicolas Sarkozy reconnaissait, abordant la critique de son débat sur l’identité nationale de 2009 : « Je n’aurais pas dû parler d’identité nationale, mais dire que je voulais défendre les valeurs de la République ». Cette honte à parler de la France charnelle, de son âme, de sa mémoire et de son peuple est au cœur de la crise intellectuelle, qui fait passer le président américain comme le libérateur des cerveaux cadenassés. Ce lundi, à l’occasion d’un sommet mondial coorganisé à Paris avec l’Inde, Emmanuel Macron, à la recherche d’un rôle, va tenter de se mettre au centre de la promotion de l’intelligence artificielle européenne et de cette autre révolution mondialiste venue des Etats-Unis. Mais l’urgence est d’abord de retrouver l’intelligence collective perdue.

https://blogrioufol.com/quand-la-france-courre-apres-son-intelligence-perdue/?fbclid=IwY2xjawIWoLxleHRuA2FlbQIxMQABHQ7nloaR5c9bZqjR0VrYNUZeNr5WOlro-8ONxH7RHxiLXiLJZF3npO9_EQ_aem_NFR8GxyruqevzMFs79stxA

9 février 2025

Jean-Dominique Michel

Scandale USAID : la prostitution de la presse collabo se révèle au grand jour dans toute sa consternante hideur !

- 8/2/2025 - Tout ceci constitue en réalité un extraordinaire "vademecum" du totalitarisme, mode d'emploi.
Politiciens et experts véreux, médias collabos, bien-pensance bêlante, propagande et gouvernance perverse, la recette était assurément au point !
Sans aucune limite :
La Radio Télévision Suisse s'en est même prise à la mémoire de Fati Dehrder, l'un des journalistes les plus doués de sa génération, qui venait de se donner la mort en invoquant le management de cette désastreuse régie d'État, pour se laver les mains dans un vomitif "damage control"...
Ces gens sont nés avant la honte.

Cliquer sur l'image (vidéo de 18min 51s) ↴

UN GEORGE DANDIN ISRAÉLIEN

Gabriel Nerciat

- 9/2/2025 - Ce qui est énorme, dans la proposition de Trump sur l'occupation de Gaza par l'armée américaine comme préalable à une seconde Nakba palestinienne en direction de l'Egypte et de la Jordanie, c'est moins son caractère évidemment et volontairement grotesque que le fait de voir pas mal de gens, a priori considérés comme intelligents ou rationnels, la prendre vraiment au sérieux.
Avec des arguments du reste assez ahurissants, dont ils ne semblent pas se rendre compte qu'ils achèvent de discréditer le projet sioniste en même temps qu'eux-mêmes.
Du genre : Atatürk a bien expulsé plus d'un million et demi de Grecs de Smyrne et d'Anatolie sans que cela pose trop de problème (sic). Pourquoi ne pas faire la même chose aujourd'hui (ou plutôt à nouveau) avec les Arabes palestiniens ?
Est-il vraiment nécessaire de leur rappeler qu'en 1922 Atatürk avait infligé une défaite militaire cuisante à l'armée grecque, ainsi qu'aux troupes britanniques et françaises présentes dans la région, et que l'expulsion des Grecs de Turquie fut accompagnée d'une expulsion réciproque des populations musulmanes de Grèce en direction de la Turquie ?
On ne sache pas ni que le Hamas ait été détruit par Tsahal (c'est même tout le contraire, comme Netanyahou lui-même a été obligé de le reconnaître) ni que le rapatriement des colons juifs de Cisjordanie ou de Jérusalem Est vers Israël fasse partie du programme des réjouissances.
Ce qui est confondant, en fait, avec la plupart des partisans d'Israël, ce n'est pas tellement leur parti pris (tout le monde en a ; moi aussi), mais surtout le peu de cas qu'il font du sens commun.
Même quelqu'un d'assez peu subtil ou informé verrait tout de suite, a fortiori s'il regarde les images de la conférence de presse sur la Toile, que Trump se fout gaillardement de la gueule de Bibi, lequel paraît d'autant plus estomaqué, au fur et à mesure que parle Trump, qu'il n'était visiblement pas du tout au courant de la sortie baroque du président.
Car en bon ruffian qui est aussi un assez piètre tacticien, Netanyahou lui a tout de suite compris que Trump le roulait dans la farine.
Ne serait-ce que parce que sa proposition burlesque à la fois achève de désolidariser les alliés arabes de l'Amérique de l'État juif, et surtout empêche de facto une improbable future occupation militaire de Gaza par Israël.
Bien sûr, une fois retourné à Tel-Aviv, le mauvais bougre, qui avait cru pouvoir revenir en vainqueur en dépit des échanges de prisonniers auxquels il avait déjà dû consentir, a essayé de rattraper le coup, mais c'était trop tard.
Israël n'est plus qu'un protectorat inutile de la puissance américaine en déclin, à peine moins encombrant que la Pologne ou les pays baltes, et au Levant comme ailleurs quand George Dandin a compris qu'il est devenu le prisonnier du mauvais mariage que par présomption il avait cru pouvoir exploiter, il n'a plus que l'expression de sa colère ou de sa confusion pour tenter de se consoler.

Marc Amblard

OUF ! L’ANTI WOKISME OUTRE-ATLANTIQUE N’A PAS (ENCORE) ATTEINT LES CÔTES FRANÇAISES

- 9/2/2025 - Alors que le méchant président américain vient de décréter dans son délire qu’il n’y aurait plus que deux genres (homme & femme seulement ; put… de régression sociale !), notre Éducation nationale a adopté le 30 janvier 2025 son programme modernisé d'éducation sexuelle à l'école.
Les "différents modèles de familles" seront abordés dès la maternelle, tandis que l'identité de genre et l’infinie pluralité d’accouplement (LGBTMonculsurlacommode) le seront dès le collège. Ces matières seront obligatoires.
Soyons fiers d’être à l’avant-garde de l’inclusion. Nous sommes un modèle et le monde entier nous admire. Ne lâchons rien les amis !

8 février 2025

Une vidéo majeure sur l'obsession de la dépopulation

Cliquer sur l'image ↴

USAID : L'INCROYABLE AFFAIRE QUI SECOUE WASHINGTON ET AFFOLE LA GAUCHE AMÉRICAINE

Marc Amblard

- 8/2/2025 - Il importe que les Européens portent une attention toute particulière sur ce qui se passe actuellement aux États-Unis. Elon Musk et son équipe de jeunes génies de l’informatique sont en train de recourir à l’intelligence artificielle pour analyser des milliards de données relatives à une agence fédérale (l’équivalent d’un ministère) : l'USAID (Agence américaine pour le développement international).
Celle-ci se révèle être en fait une caisse noire pour les démocrates progressistes (mais pas uniquement) destinée à financer des projets aussi douteux que la promotion du changement de sexe un peu partout dans le monde, des recherches à Institut de virologie de Wuhan en Chine d’où serait sorti le Covid 19, la distribution de préservatifs à Gaza, le renversement de gouvernements jugés inappropriés ou encore des groupes terroristes au Moyen-Orient liés au Hamas.
Vous voulez d’autres exemples délirants : M. Musk a découvert que l’agence a donné 7.900.000 $ pour former les journalistes sri-lankais à éviter le "langage binaire sexué". Elle a également alloué 2.000.000 $ pour promouvoir la chirurgie de transition au Guatemala. Ou encore 3.900.000 $ pour la cause LGBT en Macédoine. 8.300.000 $ pour l'éducation à l'équité et à l'inclusion au Népal. Une liste sans fin.
N.B. Les liens vers les preuves ont été publiés sur le site de la Maison blanche.
Inutile de mentionner que chaque subvention versée entraîne très souvent le paiement discret d’une rétro-commission au généreux donateur. Tout cela bien sûr avec les impôts des Américains qui apprécient…
Ce qui se joue actuellement aux USA est juste incroyable.
Si Trump et Musk parviennent à réformer et nettoyer l'administration américaine en profondeur, c’est une nouvelle ère qui s’ouvre pour ce pays qui profitera ainsi d’un allègement de sa fiscalité et partant, d’un regain de dynamisme économique. Une tempête qui ne laissera pas l’Europe indifférente même si on peine encore à évaluer les conséquences pour notre vieux continent. Nul doute qu’à terme, elles seront très importantes.


Frank Guisnet

- 6/2/2025 - La guerre en Ukraine est le théâtre d’une gigantesque fraude orchestrée par la mafia kiévienne, mais également par quelques généreux donateurs occidentaux, aussi corrompus que la clique au pouvoir à Kiev. Tout cela est caché depuis trois ans.
Il est temps que les dirigeants occidentaux cessent de tromper et de mentir à leur peuple. Depuis trois ans, les médias nous font pleurer sur le sort d’un régime criminel et corrompu qui s’adonne à des ignominies inavouables pour s’enrichir sur le dos de son peuple et aux dépens du contribuable occidental.
L’Ukraine n’a jamais été le bouclier de l’UE face à l’ogre russe, elle est son tombeau. Agiter le spectre d’un retour à l’URSS est la fable la plus grotesque qui soit. C’est l’Otan qui a voulu la guerre, pas la Russie.
Selon le SVR, Zelensky et sa clique ont détourné 1,5 milliard de dollars de l’aide occidentale et ont élaboré un montage crapuleux pour percevoir la solde des soldats morts sur le front mais déclarés toujours vivants. Sans parler des matériels revendus sur le darknet depuis trois ans. Des fortunes colossales se sont bâties depuis 2022 sur les cadavres de centaines de milliers de soldats ukrainiens.
Pendant que l’UE, totalement aveugle et imperméable aux réalités du front, clame haut et fort qu’il faut poursuivre l’effort de guerre au profit de Kiev, même sans les Américains, pour ne pas être avalés par l’Ours russe, Zelensky et sa clique d’oligarques sans foi ni loi s’en mettent plein les poches sur le dos de leur peuple saigné à blanc. Les chiffres des pertes sont effrayants mais le prix de la chair à canons, pour les prédateurs de Kiev, se juge au poids des détournements sur l’aide occidentale.

Estimations des pertes militaires (24/01) :
RUSSIE : 55 400 tués, 143 500 blessés (dont graves : 15%) ; UKRAINE : 740 000 tués, 800 000 blessés (dont graves : 67%) +6 900 mercenaires OTAN tués. SOURCES croisées confidentielles : FR/OTAN/RUS/UKR/US, selon l’historien militaire Marc Legrand.

Dans la région de Koursk, c’est un massacre :
L’armée ukrainienne a perdu 22 690 tués et 26 920 blessés, depuis le 6 août 2024, dans l’oblast de Koursk, où elle mène une opération militaire contre des civils russes… 322 chars, 1 983 véhicules blindés, 1 680 véhicules, 452 pièces d’artillerie, etc.
1000 dollars sont donc détournés pour chaque soldat ukrainien tué ou blessé. Puisse cette guerre fraîche et joyeuse pour la clique au pouvoir, durer encore des années.
En 2023, la CIA avait reconnu que Zelensky avait détourné 400 millions de dollars. Mais depuis cette époque, tout le monde veut en croquer, oligarques, généraux et autres prédateurs bien placés pour dépecer le pays.
Selon le SVR, le service russe du renseignement extérieur, les détournements atteignent 1,5 milliard de dollars, pris sur l’aide réellement arrivée à Kiev.
Car l’aide octroyée n’arrive pas en totalité en Ukraine. Les rétrocommissions que perçoivent les généreux donateurs occidentaux sont à déduire des sommes théoriques fournies à Zelensky.
Bref, cette guerre enrichit aussi bien une armée de prédateurs ukrainiens que quelques Occidentaux sans scrupules.

En effet, de son côté, Zelensky déclare que plus de 100 milliards ne sont jamais arrivés en Ukraine sur les sommes promises.
https://reseauinternational.net/zelensky-je-ne-sais-pas.../

Au total, ce sont 400 milliards qui ont été accordés à l’Ukraine, sans aucun contrôle.
Une gabegie savamment orchestrée sur le dos du contribuable occidental, gros dindon de la farce.
Poutine ayant déclaré qu’il refusait de discuter avec Zelensky, dont il juge le maintien au pouvoir illégitime depuis la fin de son mandat début 2024, les Occidentaux envisagent la mise à l’écart du saltimbanque ukrainien, tombé en disgrâce.
Toujours selon un communiqué du SVR, une vaste campagne de diffamation serait en gestation pour discréditer Zelensky afin de l’écarter. De nouvelles élections seraient organisées avant l’automne au plus tard .
Et pour torpiller le Churchill ukrainien, rien de tel que de rendre publiques quelques informations soigneusement occultées jusque là :
- « le détournement par le « président » et son entourage, de plus de 1,5 milliard de dollars de fonds destinés à l’achat de munitions »
- « le montage d’un système frauduleux dans lequel des paiements destinés à 130 000 soldats ukrainiens tombés au combat – qui restent officiellement répertoriés comme personnels en service actif – ont été acheminés à l’étranger par Zelensky et ses associés »
- « l’implication du « commandant en chef suprême ukrainien » dans la vente de grandes quantités d’armes et de véhicules donnés par l’Occident à divers groupes armés dans les pays africains ».
Voilà l’ignoble Rapetou que l’Occident vénère depuis trois ans, en nous faisant pleurer sur le sort de l’Ukraine, alors que ses dirigeants pillent allègrement l’aide occidentale et envoient leur peuple au massacre, en lui faisant miroiter une victoire impossible.
États-Unis et Europe sont coresponsables de ce carnage sans fin.
Cela dit, pas question pour l’Otan de faire le moindre cadeau à Poutine. Il s’agit d’écarter Zelensky, totalement grillé, pour ensuite geler le conflit en vue de négociations futures.
À ce jour, aucune rencontre n’a encore eu lieu entre Poutine et Trump.
Les Russes sont prêts à négocier, mais selon les bases du protocole d’Istanbul de 2022, torpillé par Boris Johnson, dangereux va-t-en-guerre.

– une Ukraine neutre et non alignée
– une Ukraine dénucléarisée
– une Ukraine démilitarisée et dénazifiée
– Pas de troupes étrangères déployées sur son sol
– Nouvelles réalités territoriales prises en compte
– Éradication des causes profondes qui ont conduit au conflit.

« En outre, tous les aspects juridiques concernant l’illégitimité de Zelensky et son décret interdisant les négociations bilatérales doivent être résolus avant que les négociations puissent être lancées ».
Cette guerre va donc durer encore plusieurs mois. Bien difficile de prédire ce que décideront Trump et Poutine. Quant à l’Europe, divisée et affaiblie comme jamais, elle ne pèse guère dans ces négociations.
Ce qui n’empêche pas la clique irresponsable de Bruxelles d’avoir la prétention de poursuivre la guerre contre la première puissance nucléaire mondiale. Il est clair que ce ne sont pas les proches des va-t-en-guerre qui se font déchiqueter dans les tranchées.
Rien de bien nouveau en Europe.
1,5 million de victimes, 400 milliards partis en fumée, alors qu’il suffisait d’appliquer les accords de Minsk pour éviter la guerre. C’était la seule exigence de Poutine. Mais l’Occident lui a ri au nez.