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9 mars 2025

Dessin de DuBus

François Fillon

- 9/3/2025 - Je viens de parler au téléphone avec la mère supérieure du couvent carmélite de Maaloula en Syrie.
Elle appelle la France au secours devant les massacres de civils alaouites et chrétiens en cours en Syrie.
Ces massacres sont perpétrés par des factions djihadistes qui agissent avec la complicité du nouveau pouvoir syrien.
Dans la ville de Banya plus d’un millier de personnes dont des femmes et des enfants ont été assassinés.
J’en appelle au président de la République pour agir sur le gouvernement syrien qui ne peut pas se prévaloir de ses relations avec la France tout en laissant cyniquement faire ce qui pourrait devenir une opération d’élimination systématique des populations alaouites et chrétiennes.
Gilles Casanova

- 9/3/2025 - De plus en plus de voix s’élèvent contre les folies de ces nains politiques qui veulent nous mener à la mort.

Régis de Castelnau

- 8/3/2025 - (...) Le gel des avoirs russes est déjà illégal au regard du droit international. Mais les « mobiliser » consisterait juridiquement à les voler. Outre la saisie par les Russes de tous les avoirs français qui existent en Russie (et il y en a pas mal) par mesure de rétorsion, outre la fuite des investisseurs de notre pays devenu État pirate où leurs actifs seraient en danger permanent, outre le risque que cela ferait courir à l’euro comme monnaie de réserve, la Russie serait fondée (toujours juridiquement hein) à lancer des procédures judiciaires sur toute la planète pour faire saisir des biens appartenant à la France : comptes bancaires, immeubles, bateaux dans les ports, avions sur les aéroports etc. etc.
Il faut interdire aux imbéciles de ce calibre de dire des conneries. J’entends les débats juridiques mais je pense que c’est possible et urgent.

CONSTRUIS TOI-MÊME TA PROPAGANDE

Jean-Claude Delhez

- 8/3/2025 - Tu es journaliste en herbe et tu veux réussir dans la vie ? Le pouvoir a besoin de toi ! Il va te falloir présenter une information en sorte que ton public comprenne bien qui sont les bons et qui sont les mauvais, indépendamment de la réalité. Cette compréhension doit être telle qu'elle te motive ensuite à accepter les politiques menées par le pouvoir et qu'elle évoque en toi une image positive de ce pouvoir, en sorte de le conforter là où il est.
Exemple : un bombardement dans l'est de l'Europe. Des bombardements, il y en a tout le temps. Le front fait 1.000 km, il est truffé d'artillerie, ça tombe comme à Gravelotte. Ce n'est pourtant pas le bon endroit à choisir. Là ce sont des militaires qui combattent, on s'attend à ce qu'ils soient bombardés. Il faut attendrir le public et l'indigner. C'est de victimes civiles dont tu as besoin. Alors, bien sûr, c'est infiniment plus rare que les victimes militaires. Mais il y en a quand même. Des projectiles tombent sur les villes de l'arrière ; c'est là qu'il faut aller. Pourquoi des projectiles sur les villes ? Parce qu'il y a des casernes, des arsenaux, des postes de commandement, des usines d'armement, des infrastructures en tous genres. Mais ça, il ne faut pas en parler. Il ne faut parler que des victimes civiles. Car, dans un bombardement, il arrive qu'un projectile rate sa cible, que la DCA le dévie ou qu'un tir de DCA retombe sur sa propre population. Mais ça, il ne faut pas le dire non plus. Il faut affirmer que l'ennemi cible volontairement les populations civiles. L'ennemi est un barbare, sinon ce ne serait pas l'ennemi.
Et là, il y a matière à faire un beau reportage avec un immeuble résidentiel qui brûle, des pompiers qui s'acharnent à l'éteindre, et des victimes. Il est toujours bien de recueillir le témoignage d'une femme en pleurs. Voilà qui dit bien au public qui sont les agresseurs et qui sont les victimes ; et voilà qui parle à l'émotion, provoque de l'empathie pour la victime et de l'indignation ou de la haine vis-à-vis de l'agresseur.
Attention, jeune scribouillard, ce reportage est à faire du côté de nos alliés. Car il tombe aussi des projectiles sur les villes de l'ennemi. Il y a aussi des victimes civiles. Il y a aussi des femmes qui pleurent. Ne te trompe pas de côté. Ceux-là, il ne faut surtout pas les montrer, sinon tu vas foutre tout en l'air. Les victimes doivent toujours être dans le camp des bons, et les agresseurs dans le camp des mauvais. Ne va pas éveiller le doute dans l'esprit de ton public, malheureux, tu vas ruiner ta carrière, tu finiras affecté à la rubrique des chiens écrasés dans un journal de province.
Pour te faire une idée pratique de ta mission, tu trouveras des exemples sur Euronews, dans la série des bombardements, à peu près chaque semaine depuis trois ans.
Le mois prochain, 2e leçon (un peu plus compliquée) : à partir d'un communiqué officiel de 30 lignes diffusé par l'ennemi, comment le ramener à 4 lignes, en découpant et recollant des morceaux dans un ordre choisi en sorte de lui faire dire ce que l'on souhaite.
Et surtout, surtout, ne pas oublier la consigne de base : Qui n'est pas avec nous est contre nous. Toute critique est forcément la propagande de l'ennemi. Son auteur est donc un ennemi de l'intérieur. Et comme l'ennemi de l'extérieur, c'est un barbare, un assassin de vieilles dames en pleurs. Ceux qui l'écoutent en sont complices Honte sur eux ! Maintenant, répète après moi : Il n'y a qu'un pouvoir, un chef, une pensée... ; un pouvoir, un chef, une pensée... »
(NB : Le texte d'illustration, ci-dessous, est d'Arno Klarsfeld, fils des chasseurs de nazis Serge et Beate Klarsfeld, et il s'adresse à une chaîne de télévision française qui peut être, au choix, LCI, Arte ou France 5, tant les menteurs sont légions dans les médias hexagonaux).

8 mars 2025

Jonathan Sturel
8/3/2025

Vous noterez ce changement dans le discours de Macron et de ses complices : jusqu'à récemment, ils reprochaient à Vladimir Poutine d'avoir agressé un pays voisin souverain, d'avoir violé le droit international et c'est au nom de cette agression non conforme au droit international qu'il fallait que nous nous opposions à la Russie.
C'était par solidarité avec l'Ukraine, pays souverain agressé. C'était cela la motivation invoquée : la solidarité envers un pays attaqué militairement par un autre.
Depuis quelques jours, ce discours a changé et Macron et ses complices disent maintenant que Poutine ne s'arrêtera pas à l'Ukraine. Ce n'est donc plus seulement par solidarité envers l'Ukraine que nous devrions nous opposer à la Russie mais parce que la Russie envisagerait, après avoir englouti l'Ukraine, d'engloutir ensuite la Moldavie puis la Roumanie puis la Pologne puis l'Allemagne puis, vous avez compris le principe : la France.
Ils ont changé quelque chose dans leur discours.
Justifier l'armée européenne, l'abdication du pouvoir des États, le transfert des souverainetés vers l'Union européenne et justifier 800 milliards d'endettement supplémentaire au nom de la seule défense de principe de l'Ukraine n'était pas possible.
Il fallait qu'ils invoquent autre chose, quelque chose de plus angoissant dans l'échelle de gravité, et cette autre chose c'est cela : que la Russie ne veut pas seulement l'Ukraine, elle veut tout le continent.
Plus personne ne pose la question de la réalisabilité d'une telle ambition. Plus personne ne semble se souvenir qu'on nous disait il y a encore quelques mois que la Russie était exsangue, à bout de force, épuisée par la résistance ukrainienne et plus personne n'a l'air de trouver étonnant qu'une armée qui était exsangue il y a six mois se montre finalement capable d'enjamber l'obstacle ukrainien pour attaquer dans six autres mois de nouveaux pays européens.
Personne n'ose demander comment la Russie pourrait contraindre des territoires de cette taille à l'obéissance et à la soumission, comment la chose serait matériellement, militairement, logistiquement possible.
Nous devons croire Macron sur parole, c'est la seule consigne.

7 mars 2025

Yann Thibaud

- 7/3/2025 - J'ai aujourd'hui l'impression de me trouver ramené cinq ans en arrière : le même matraquage d'un narratif mensonger, répété en boucle sur toutes les radios, destiné à nous tromper, nous manipuler, nous terrifier et nous asservir.
La même consternation lorsque j'entends les journalistes et responsables politiques se succéder à l'antenne ou sur les plateaux, pour répéter tous comme des benêts les mêmes éléments de langage et les mêmes absurdités, comme s'il s'agissait de certitudes incontestables.
Les mêmes déclarations ridicules et irresponsables de l'individu navrant et médiocre, censé nous représenter.
La même compassion pour les pauvres gens peu éduqués ou mal informés, qui goberont sans distance critique tous ces mensonges et toutes ces folies.
La même déception et le même sentiment de trahison, quand des intellectuels et des artistes tombent à leur tour, avec ardeur, ferveur et conviction, dans le panneau.
La même tristesse, quand je vois toutes les valeurs traditionnelles et historiques de notre pays, ainsi foulées au pied et traînées dans la boue.
Il y a cinq ans, lors de la précédente offensive, j'avais plutôt bien pris la situation, comme une sorte de grand jeu ludique, où il s'agissait de se montrer plus avisé et intelligent que les forces qui voudraient nous opprimer.
Mais là, je sens vraiment la moutarde me monter au nez.
Je suis pacifiste, je veux un monde de paix, un monde où l'idée même de guerre fait partie des souvenirs lointains d'un passé totalement révolu.
Un monde où il est hors de question de produire et acheter des armes, où les armées ont tout simplement disparu.
Un monde où toutes les nations dialoguent et se comprennent mutuellement, où l'amitié entre les peuples n'est pas un vain mot, mais une réalité concrète et vécue quotidiennement.
Les Russes sont ainsi, comme tous les autres peuples de la terre, nos frères et nos amis, avec qui il est indispensable de renouer le plus vite possible l'indispensable dialogue franco-russe (je conseille d'ailleurs vivement la chaîne Youtube du même nom).
Je sais pouvoir compter sur les rares responsables politiques compétents et sérieux de notre pays, pour rétablir la vérité. Citons-les : François Asselineau, Florian Philippot et Nicolas Dupont-Aignan, qui seraient bien avisés de coopérer et mutualiser leurs voix et leurs activités.
Je sais pouvoir également m'informer de façon valable auprès des médias alternatifs sur Internet. Citons-les également, à toute fin utile : Tocsin, Le monde moderne, Omerta, Paix et guerre, TV Libertés, Ligne droite, Putsch-media, la chaîne d'Idriss Aberkane et tant d'autres que j'oublie à cet instant.
À l'heure où la paix se profile enfin à l'horizon grâce, il faut le dire, aux nouveaux responsables aux États-Unis, ne nourrissons pas les eggrégores de haine, de peur et de folie guerrière, dans lesquels voudraient nous emporter les médias de ce système décadent et mortifère.
Tiephaine Soter

- 4/3/2025 - (Extraits) Se concentrer sur le positif est une attitude largement tirée des bouquins de développement personnel qui ont fleuri depuis une trentaine d'années. À l'origine, ça consiste à retrouver un peu le moral, à retrouver le goût de vivre et à sortir de la dépression pour reprendre le contrôle de sa vie. C'est devenu, depuis une vingtaine d'années et particulièrement depuis la vague de terreur à connotation islamiste des années 2013-2018, une espèce de paradis artificiel pour fuir la réalité.

"J'ai vu quelqu'un se faire poignarder dans le métro, mais au moins, je suis indemne."
"J'ai été dépouillé en allant au boulot, mais au moins, ils ne m'ont pas frappé."
"Ils m'ont tabassé et laissé pour mort, mais au moins, j'ai survécu sans séquelles."
"J'ai des séquelles à vie, mais au moins, je suis encore en vie."
"Ils l'ont tué, mais au moins, nous ne sommes pas accusés de racisme."

S'il ne faut pas toujours tout noircir au point de perdre tout espoir, il ne faut pas non plus basculer dans l'excès inverse et croire que tout ne va pas si mal. La situation de la France est catastrophique, la société française s'effondre, tout ce qui faisait la grandeur de notre pays a disparu ou a été repoussé dans ses confins ruraux. Tout n'est pas perdu, mais on ne retournera jamais à la situation d'avant.

Alors non, je ne me contenterai jamais de voir uniquement le positif. C'est parce qu'on pèse le pour et le contre, qu'on s'échine à avoir une image exacte de notre situation qu'on sait où se situer, où aller, et quel chemin suivre.

La France est dans une situation dramatique, et n'a personne, et je dis bien PERSONNE, pour la sortir de l'ornière. La solution ne peut venir du système qui pose le problème. Elle ne peut pas non plus venir de propositions passées formulées dans des contextes radicalement différents.
L'avenir ne peut être rebâti que par des citoyens pleinement conscients et libres.
Dessin de Kak

"Ce doit être ce qu'on appelle l'économie de guerre"

Les joyeuses aventures vertes d’une France en faillite

H16

- 7/3/2025 - Au moins la France n’est pas à cours de bonnes idées technologiques ! Pendant que le monde se crispe à droite et à gauche pour des terres rares, des minerais, du pétrole ou du gaz, l’Hexagone choisit l’innovation pour s’en sortir, dans tous les domaines, depuis les technologies de pointe jusqu’aux législations les plus finaudes.


Prenez l’hydrogène par exemple.

La science, assez claire sur le sujet, permet d’établir assez nettement qu’avec les technologies actuelles, sa production et son exploitation sont aussi complexes qu’économiquement peu viables : la plupart des solutions (comprenant des gazoducs ou de la compression) sont aussi irréalistes économiquement que scientifiquement, cumulant fuites, dangers d’exploitation et rendements minables dans une combinaison amusante.

C’est donc assez logiquement qu’un petit paquet de startups françaises se sont lancées dans ce créneau : c’est voué à l’échec mais c’est massivement subventionné ? Alors, allons-y, c’est Nicolas, 30 ans, contribuable fidèle, qui régale !

C’est un peu l’histoire de la startup Hopium, dont l’idée géniale consistait à proposer un véhicule roulant de luxe sur la base d’une pile à combustible à hydrogène : après un démarrage évidemment en fanfare en 2022 d’autant plus qu’il était artificiellement porté par les politiciens locaux et nationaux ainsi que des médias facilement enamourés, l’entreprise s’est rapidement retrouvée confrontée à des réalités physiques peu déformables même avec beaucoup d’argent.

En 2025, c’est la douche froide, avec un cours d’actions explorant les dixièmes de centimes d’euros (pour 40€ à son maximum), et des bricolages financiers de plus en plus hardis pour repousser une faillite qu’on pouvait pourtant prédire facilement dès 2023.


Du reste, toute la « filière hydrogène », bâtie sur le capitalisme de connivence, est un vrai poème sur le cramage d’argent public visant au mieux à occuper quelques habiles vendeurs de tapis éco-conscients avant un dépôt de bilan, au pire à détourner des fonds publics sans vergogne. Et lorsqu’on évoque la seule méthode vraiment efficace, celle de l’hydrogène blanc où l’on extrait un gaz produit naturellement et aussi pur que possible pour le brûler directement afin d’en faire de l’électricité sur le lieu d’extraction, on se heurte assez rapidement aux autorités (gavées de paradigmes écolos débiles), globalement contre.

Rassurez-vous, ce qui est vrai pour l’hydrogène l’est bien évidemment pour toutes les autres filières toutes aussi « vertes » que vouées à un échec cuisant.

Ici, on pourrait jouer sur du velours et revenir sur l’éolien, cette vaste blague propagandiste mise en place par des vendeurs de turbines et de gaz (notamment russes mais pas seulement) qui, grâce à un lobbying efficace, sont parvenus à faire prendre des vessies carbonées pour des lanternes Gaïa-compatibles.

Petit à petit cependant, la réalité actuelle du gouffre économique que représentent les éoliennes commence à se faire jour, et la plupart des entreprises majeures investies dans ce genre d’impasses pourtant prévisibles sont d’ailleurs en train de revoir radicalement la portée de leurs investissements dans le domaine, notamment en dépréciant les projets dont on commence à se douter qu’ils vont être des fiascos retentissants.

D’ailleurs, les riverains s’opposent de plus en plus souvent à ces projets éoliens : apparemment, l’écologie est très intéressante mais lorsqu’elle est tenue loin, à l’écart des habitations et… de leur environnement (qu’il faut préserver, n’est-ce pas).


Mais dans une société totalement corrompue idéologiquement et dont les notions économiques sont complètement tordues au point de favoriser la connivence et les affaires entre copains et coquins au détriment d’un capitalisme efficace, ces considérations ne tiennent pas : peu importent les échecs cuisants des filières dites « écologiques » puisque ce sont les seules, actuellement, qui ont l’oreille des politiciens.

Et dans un pays où l’argent ne coule à flot que dans le secteur public, que sans subventions et sans appui des administrations, le capitalisme traditionnel est un véritable enfer avec échec quasi-certain au bout, il est logique que les uns et les autres ne cherchent rien tant que les projets qui seront adoubés de ces administrations et de ces politiciens.

Dès lors, comment s’étonner du développement d’une nouvelle « gigafactory » de panneaux solaires en France, et ce alors même que cette technologie n’apporte aucun avantage par rapport aux technologies traditionnelles (nucléaire ou énergies « fossiles ») ?

Au passage, on notera que le permis de construire et l’autorisation environnementale ont été obtenus après d’âpres batailles administratives (perdues par une autre entreprise il y a deux ans), ce qui montre que même pour les bidules écolo-bien-pensants, la bureaucratie ne faiblit jamais.

Oui, vous avez bien lu : même si les autres énergies renouvelables pataugent dans les échecs économiques tout autant qu’écologiques, lançons une fabrication massive de panneaux photovoltaïques ! Même si le pays est endetté à hauteur de 3400 milliards d’euros, que ses services publics sont devenus une blague pas drôle, et que des sommes colossales sont consacrées à des projets complètement débiles à l’étranger, ajoutons-en une couche sur le territoire national ! Après tout, le fiasco de la « route solaire » n’a pas été suffisamment mémorable pour se passer d’une nouvelle déroute financière.

Et ici, on voit les choses en grand : ce ne sont pas quelques dizaines de millions d’euros qui seront cramés dans cette expérimentation, mais bien des centaines de millions, qui permettront, selon les dirigeants de l’entreprise, de créer 1900 emplois… pour produire des panneaux solaires, plein de panneaux solaires qui viendront produire de l’électricité en surplus quand il fera grand soleil et rien du tout pendant la nuit, obligeant l’installation et la maintenance parallèle de centrales de productions pilotables (donc pas éoliennes et pas solaires non plus). Un petit pas guilleret de côté pour les écolos, et un grand bond en avant pour les vendeurs de gaz et de pétrole.

Hydrogène, éolien, photovoltaïque, décidément, la France ne manque pas d’idées pour brûler des capitaux dans des aventures douteuses aux impacts de plus en plus discutables. Mais après tout, c’est aussi le bénéfice d’un pays bien géré, de finances en bonne santé et d’un gouvernement au taquet sur tous les autres sujets : on peut se permettre quelques fantaisies, n’est-ce pas ?