Translate

2 juin 2025

Sarah Knafo

-19/5/2025- Dans un pays normal, quand un voyou sort une arme, le policier sort la sienne.
Ici, nos policiers ont une peur panique de la procédure qui suivra.
Ils se disent que le criminel sera libéré dans l'heure, alors qu'eux dormiront en garde à vue. Cela les met en danger de mort.
Yann Bizien

-2/6/2025- Un historien de 42 ans devient président de la Pologne, contre la volonté de la Commission européenne à Bruxelles.
Le peuple polonais vient de triompher de façon souveraine. Il a repoussé dans les urnes les mondialistes, les progressistes, les fédéralistes, les européistes, les technocrates et les immigrationnistes en portant au pouvoir un patriote, un souverainiste et un conservateur.
Il faut féliciter ce peuple courageux qui ne s'est pas laissé intimider et manipuler et qui a voté pour reprendre son destin en main.
C'est aussi le premier triomphe du mouvement politique MAGA en Europe.
Un axe politique souverainiste, conservateur et patriote se lève et résiste en Europe. Il refuse une Europe fédérale et bruxelloise qui piétine la souveraineté des vieux États nations. Il fait le choix d'une Europe des nations souveraines qui coopèrent librement.









PARIS EN FEU : LES IMAGES QUE LES MÉDIAS NE MONTRENT PAS

Après la victoire du PSG, les rues de Paris ont rapidement basculé dans le chaos

Cliquer sur l'image (vidéo de 21 min) ↴

1 juin 2025

Dessin de Cattelain

Valérie Boivin
1/6/2025

Réponse à un ami qui me dit ce n'est pas possible de les arrêter et de les punir.
Oh que si c’est possible !
Lorsque nos chers dirigeants – l'actuel comme ceux d’avant – envoient des milliards à l’étranger pour des causes douteuses ou des guerres lointaines, ne venez pas me dire qu’on ne peut pas trouver les moyens d’agir ici, chez nous, pour restaurer l’ordre et la justice.
Je peux vous assurer qu’on a des solutions. Et je ne suis pas la seule à en avoir, crois-moi !
Les voici, concrètes, applicables, réalistes :
Travaux d’intérêt général obligatoires : qu’ils nettoient les rues, réparent les dégâts, repeignent ce qu’ils ont dégradé. Sous encadrement. Pas une option, une obligation.
Réparations financières automatiques : saisie directe sur aides sociales, comptes bancaires, indemnités, avec un fichier des dégradations. Que le citoyen ne paie plus à leur place.
Comparutions immédiates renforcées : on débloque des moyens pour juger vite. Et surtout, exécuter les peines. Pas de peines symboliques.
Encadrement des TIG : anciens policiers, militaires, citoyens volontaires – la France regorge de personnes prêtes à aider. Il faut juste l’organiser.
Fichage des casseurs récidivistes : qu’on sache qui ils sont, qu’on les surveille, qu’on les empêche de nuire à chaque événement.
Prévention, oui – mais après sanction. Pas d’éducation sans responsabilité. La peur du gendarme doit revenir, et vite.
Ce n’est pas une impasse.
C’est une volonté politique qui manque, et le courage de ne plus plier devant des minorités violentes.

Stéphane Rozès

-1/6/2025- La France n’est ni le Qatar ni l’Arabie Saoudite. Ce n’est pas la relégation, l’infériorisation de la femme musulmane, ni la stigmatisation de toutes les femmes non voilées considérées comme impures.
Voilà pourquoi, en France, les trois quarts des Français perçoivent le port du voile comme une agression.
Les raisons remontent très loin dans notre histoire, bien avant les colonisations.
Cela tient à notre type de socialité, depuis Rabelais, dont Charlie Hebdo est le digne descendant.
Il ne faut pas s’étonner qu’avec ce type de provocation, diffusé sur les réseaux sociaux – mélange d’inculture et d’idéologie, comme ce post – le RN soit aux portes du pouvoir.
La nation dans ses profondeurs demeure très largement républicaine et laïque.
La France comme tout pays a le droit et le devoir de défendre son type de vivre ensemble.
Le sommet de l’État où le communautarisme progresse contre la République ne le fait pas d’où les désordres actuels. Tout cela est très dangereux.

Natalia Routkevitch
1/6/2025

Cela n'est rien, Madame la Marquise,
Cela n'est rien, tout va très bien.
Pourtant il faut, il faut que l'on vous dise,
On déplore un tout petit rien.

Ce qui est le plus saisissant, ce n’est pas tant l’ampleur des « débordements », le caractère spectaculaire des scènes de pillages, d’incendies, l’intensité des affrontements ou encore le degré de violence et d’agressivité interne de notre société. Même si, à chaque nouvelle manifestation, tout cela devient de plus en plus effrayant et impressionnant.
Ce qui est véritablement révélateur c’est que nous nous y sommes totalement habitués. Cela ne nous révolte plus vraiment, cela ne nous paraît même plus foncièrement anormal.
Non, nous savons pertinemment que la prochaine fois, ce sera pareil – et sans doute un peu pire. Mais cela semble relever d’une fatalité, d’un phénomène inévitable contre lequel il n’y aurait rien à faire. Et même le ton général, ce n'est pas le WTF global (qui serait légitime) mais - "oh, encore quelques incidents qui ont gâché une si belle fête"...
Je me souviens de mon étonnement lorsque, le 1er janvier 2019, le gouvernement a publié un communiqué se félicitant que la nuit du Nouvel An se soit déroulée « paisiblement et sans incidents majeurs ». Cette nuit-là pourtant, 650 voitures avaient été incendiées et 454 personnes interpellées.
Mais, à part ça, Madame la Marquise,
Tout va très bien, tout va très bien.
Radu Portocala

-30/5/2025- Exaspéré par les stupidités et les hystéries de la campagne de 2017, j’écrivais ceci quelques semaines après les élections : « Il est permis d’imaginer (et même d’espérer) que Monsieur Macron ira très loin : il finira haï de tous. »
Je ne me suis par trompé, mais je n’avais pas imaginé que sa prévisible débâcle allait être aussi celle de la France, que ses postures grotesques, ses attitudes grotesques, ses propos grotesques s’imposeront comme ceux de la France, qu’il allait transformer la France en objet de mépris et de moquerie. Ni, d’ailleurs, que la France pouvait supporter si longtemps cette humiliation sans précédent, ou qu’elle accepte, par le caprice d’un seul homme, ce pitoyable suicide.

31 mai 2025


UN PRIX POUR URSULA

Jean-Claude Delhez

-31/5/2025- Ursula von der Leyen vient de recevoir le prix Charlemagne, qui récompense une personnalité remarquable œuvrant en faveur de l'Europe. Le bon Charlemagne me le confiait encore ce matin : cela aurait été dommage de ne pas le lui décerner. Il y a 15 jours à peine, la Cour de justice de l'Union européenne la condamnait pour rétention d'informations au sujet du contrat pharamineux qu'elle avait attribué à la société américaine Pfizer, à l'époque du covid. À propos de société américaine, elle fut soupçonnée d'autres malversations, avec McKinsey, cette fois, à l'époque où elle était ministre de la Défense à Berlin. À la tête de la Commission européenne, elle place ses amis aux frais des citoyens, à l'exemple de Markus Pieper, qu'elle nomme l'an dernier à un emploi fictif, avec salaire mensuel de 20.000 euros (une misère, à côté des 35.000 euros de la présidente). Elle est pointée du doigt depuis plusieurs années pour ses goûts de luxe, ses voyages en jet privé, aux frais des citoyens à nouveau. Autre critique récurrente : l'opacité de son action. Elle qui n'est pas élue prend, de plus en plus, des décisions toute seule dans son coin, décisions qui engagent une communauté d'un demi milliard d'habitants. Pour ne rien dire des nombreux contrats d'association qu'elle a signés avec des dictateurs d'Afrique et du Moyen-Orient.
Voilà un palmarès qui n'est pas à la portée du premier venu. Si je peux me permettre une légère critique : le prix Charlemagne, c'est un peu mesquin. Avec une personnalité d'une telle stature, le prix Gengis Khan s'imposait. Ou le prix Attila. C'est bien aussi, le prix Attila.