Translate

25 juin 2025

Christian Dubuis Santini
25/6/2025

Bon, en même temps, oublier 21 millions d’euros sur un bord de table, ça arrive, faut pas voir le mal partout, c’est juste une petite erreur de calcul de rien du tout, une négligence quoi ! N’oubliez pas de débrancher la wifi pour les vacances...

Christian Dubuis Santini
25/6/2025

L’ "empreinte carbone" is the new "trou dans la couche d’ozone"…
Le CO2 représente 0,04% de l’atmosphère, à 0,03% le végétal dépérit, à 0,02% il n’y a plus de vie sur Terre – sauf si tu payes des taxes ?
L’idéologie existe pour que les ignorants puissent avoir un avis…


Yann Bizien

-25/6/2025- Les Français ont le droit d'avoir un exécutif qui fonctionne, le droit d'avoir un gouvernement cohérent et capable d'agir, le droit d'avoir une majorité absolue ayant la légitimité des urnes à l’Assemblée nationale, le droit d'avoir des institutions impartiales, le droit d'avoir une justice débarrassée de l'idéologie gauchiste, le droit d'aller et venir en sécurité, le droit d'avoir des frontières surveillées et inviolables, le droit d'avoir des forces de l'ordre respectées et le droit d'avoir un État bien géré avec un budget en équilibre.
Les Français ont des devoirs, qu'il faut rappeler, mais ils ont aussi des droits et des attendus politiques.
Le problème est qu'Emmanuel Macron nous prive à lui seul de tous ces droits.
David Lisnard, qui n'a pourtant pas la réputation d'être un dangereux extrêmiste, a raison d'appeler à la démission ce comédien en disgrâce, cet agitateur sans majorité, ce pervers narcissique déconnecté, cet européiste qui sabote notre souveraineté, cet immigrationniste convaincu, ce belliciste qui brûle notre argent dans la guerre et ce chef de l'État inutile et inefficace qui se moque bien de notre sécurité dans la France qu'il a ensauvagée en ignorant nos frontières, en maintenant tous les leviers d'assistanat, en laissant entrer des centaines de milliers de clandestins sur notre sol, clandestins dont nous ignorons tout de leur passé et de leurs intentions.
Emmanuel Macron a surendetté la France et l'a rendue ingouvernable. Il doit donc démissionner et, s'il ne le veut pas, ce qui est le cas, il faut le destituer en rappelant qu'il s'agit d'une procédure démocratique.
Le contexte international ne justifie en aucun cas le sacrifice de la France qui ne peut plus attendre.
Le gouvernement doit sortir de son impuissance et doit gouverner. Et l'Assemblée nationale doit pouvoir voter des bonnes lois, efficaces, non censurées.
Il n'y a aucune raison valable pour maintenir au pouvoir un président qui ne sert pas l'intérêt national depuis 2017.

Dessin de Chaunu
Pierre Duriot
24/6/2025

Je me marre...
La télé qui avait annoncé la mort de 6 millions de non-vaccinés, la disparition des Maldives, la défaite de Trump, la victoire de Zelensky, la mort de Poutine par cancer... vient d'annoncer que la Russie va attaquer l'Europe d'ici à 5 ans... on peut donc dormir tranquille...
H16
25/6/2025

Cet impôt invisible que les pauvres paient si cher
Invisible mais bien prélevé !

Les politiciens, tordant leurs petits doigts potelés par des années de bonne nourriture payée sur le dos de contribuables toujours plus maigres, ne comprennent pas pourquoi le ras-le bol fiscal est si grand. Allez, après tout, les impôts ne sont pas si haut !

En réalité, ils ont oublié la cohorte d’impôts invisibles qu’ils ont déjà fait pleuvoir.

Le constat est, en effet, sans ambiguïté. Déjà, l’État impose tous azimuts : difficile d’échapper à la pluie diluvienne de ponctions tant le gouvernement aura fait preuve d’inventivité, de la naissance à la mort, et même au-delà.

Évidemment, cette taxation frénétique s’explique par des dépenses publiques gargantuesques. La France bat régulièrement des records : si la croissance est là, c'est qu’il s’agit de celle des dépenses publiques. Ceux qui les payent se seraient probablement passés d’une telle performance.

En plus, l’État dépense sans compter.

Un État systématiquement impécunieux

Littéralement même, puisque lorsque la Cour des Comptes tente de faire les totaux, elle se retrouve confrontée au marigot putride des milliers de commissions, d’agences et d’institutions qui tètent aux mamelles publiques sans qu’il soit réellement possible de savoir exactement combien

Elle constate par exemple qu’il devient difficile pour ne pas dire impossible de connaître le nombre précis de salariés dépendant directement des finances publiques. Le nombre précis de fonctionnaires est ainsi le sujet d’âpres débats tant son imprécision est grande ; et je n’évoquerai pas le personnel de l’Éducation Nationale dont les estimations sont toujours données à 10.000 près, ce qui permet de fixer les ordres de grandeur du foutage de gueule que sont devenus les comptes publics.

Les Français ont donc bien intégré que cette rocambolesque obstination à augmenter toujours la sphère de l’État provoquait un besoin irréfragable de pognon par larges brouettées.

Petit-à-petit, lorsque le débat public n’est pas occulté par les indispensables prises de positions des uns et des autres sur des sujets d'actualité annexes, le peuple s’interroge sur la douloureuse question du curseur fiscal : un peu mieux, ou un peu moins, ou un peu plus ?

Certes, c’est une amélioration puisque si on est encore loin d’une remise en cause de la taille de l’État à proprement parler, au moins certains, sans voir son obésité, se rendent compte de son appétit dévastateur.



Malheureusement, peu voient que le bougre éléphantesque, par ses fringales continuelles, provoque par contagion des effets dévastateurs, formant une espèce de cercle vicieux que les uns ignorent ou que les autres mettent sur le dos du capitalisme libéral apatride mangeur d’enfant ou sur la malchance, ajoutant parfois la dissonance cognitive au déni de réalité pour faire un tableau clinique bien copieux.

Des taxes en échange de rien

Ainsi et par exemple, les salariés sont confusément au courant que la moitié de leur salaire part dans des cotisations sociales. Plus personne en France de normalement constitué ne prend le temps d’éplucher la vingtaine de lignes absconses qui décorent un bulletin de salaire pour comprendre à quel point le salarié n’est plus qu’un robinet d’argent gratuit pour des entités dont les performances et les services échappent à tout contrôle et tout reproche. Leur qualité diminue. Leurs prestations s’évaporent. Leurs temps de traitement augmentent. Leurs coûts montent en flèche. Leurs déficits s’accumulent.

Les couinements des Nicolas, 30 ans, qui payent sont à peu près inaudibles.

Ainsi, et c’est encore moins visible, la multiplication des lois, décrets et autres règlements dans tous les domaines aura provoqué, en 50 ans, une situation intenable où tout joue contre des populations de plus en plus pauvres.

Car oui, ce sont bien les plus pauvres qui paient le plus lourd tribut aux règlementations délirantes que les politiciens mettent en place au prétexte de venir en aide, justement, aux populations précaires.

Et c’est là, entre la gencive de la population et la dent de la production de richesse que les bactéries des impôts invisibles attaquent.


Partout, des impôts invisibles

Le principe de précaution aura, par exemple, définitivement écarté toute création de richesse en France dans le domaine des OGM, du nucléaire, des gaz de schistes et de tant d’autres domaines liés aux nouvelles technologies. On peut ergoter pendant des heures sur les risques (parfaitement hypothétiques) de ces technologies pour justifier l’absence de tout développement correspondant, mais à l’évidence, des dizaines de milliers d’emplois ne seront pas créés pour coller à un principe que, rappelons-le, aucun autre pays ne s’est collé à la patte avant de trotter. À l’évidence, la France a décidé n’avoir pas besoin de ces emplois, des taxes et cotisations afférentes, et des richesses produites.

Et l’absence de ces créations constitue bel et bien un impôt puisque la richesse qui n’aura pas pu être créée entraînera non pas un manque à gagner (qui serait, en tout état de cause, parfaitement hypothétique), mais un coût, bien réel celui-là : puisqu’on ne veut pas de ces technologies, on devra se rabattre sur des solutions plus coûteuses. On devra payer les produits directs ou dérivés plus chers. Tout comme l’absence de tracteur rendrait l’agriculture prohibitive de nos jours en France, l’absence de ces technologies, que ces interdictions ont empêchées, ont un coût, direct, pour tout le monde.

Et je n’évoque même pas les disparitions d’emplois provoquées par la mise en place des normes lorsque les entreprises concernées les prennent de plein fouet : les chômeurs résultant représentent là encore un coût direct et bien réel qu’on ne mettra jamais au débit de ces réglementations pléthoriques.

Il y a pire encore : la dégringolade permanente de lois, règlements, de normes et de contraintes imposées par l’État provoque une atmosphère de défiance et entame le moral des citoyens. Combien d’entre eux, qui se seraient lancés dans l’aventure entrepreneuriale, abandonnent avant d’avoir créé ? Combien d’opportunités manquées ? Combien partiront et créeront de l’emploi ailleurs, faisant bénéficier d’autres pays de la manne de taxes et de cotisations qu’ils créeront avec leurs idées qui furent découragées ici ? Quel est le coût, réel, bien palpable, de cet impôt sur le moral, puisque ces citoyens, formés ici, profiteront à d’autres ?

Le pire des impôts invisibles

Mais le pire de tous ces impôts, et celui qui touche de plein fouet et sans la moindre pitié les classes les plus pauvres, c’est l’impôt sur le temps.

Cet impôt temporel est visible dans les paperasseries administratives, les démarches à la con, les obtentions de permis divers et variés dont tant n’ont qu’une pure fonction de collecte de taxe. Cet impôt temporel est visible dans la multiplicité des interlocuteurs, dans l’incurie consommée et méticuleuse de tel service administratif public à propos de tel autre.

Cet impôt temporel, vous le payez lorsque vous devez vous lever très tôt pour aller faire une queue épuisante à la préfecture… En pure perte parce qu’il vous manque ce p*$£n de formulaire ou de papier qui n’était pas demandé lorsque vous avez téléphoné.

Cet impôt temporel, vous le payez lorsque vous devez arriver des heures avant un vol pour passer des contrôles de sécurité parfaitement inutiles.

Cet impôt temporel, vous le payez aussi lorsque vous devez contester des amendes, des majorations ou des prunes diverses et variées alors qu’elles ne sont pas dues, pas adressées à la bonne personne ou simplement pas règlementaires.

Mais l’impôt temporel le moins visible, mais le plus coûteux, est celui qu’on paye tous les jours lorsqu’on doit s’imposer des tâches ou des déplacements qui ne sont motivés exclusivement que parce qu’au départ, l’État est massivement intervenu et a provoqué une situation à laquelle on ne peut pas échapper. Cet impôt, bien qu’invisible, est immense, ses dégâts monstrueux, et son assiette d’autant plus inique qu’elle est presqu’exclusivement basée sur les populations les plus pauvres.

Car ce sont ces populations précaires qui, par exemple, passent le plus de temps dans leurs voitures, dans les transports en commun.

Ce temps passé à ne rien faire d’autre que voyager est un temps qui ne sera pas passé à instruire et éduquer ses enfants. Ce temps ne sera pas utilisé pour améliorer ses conditions de vie, ne pourra pas servir à accroître sa formation, son savoir, sa propre éducation, et, par voie de conséquence, son futur.

Le temps passé dans les voitures se traduit mécaniquement par des dépenses supplémentaires en essence, dépenses qui s’additionnent à la maintenance d’un véhicule de plus en plus complexe à mesure que les lois punissent les automobiles éco-crassouses.

Ce temps passé parce qu’on habite loin de son lieu de travail est la conséquence directe de l’intervention de l’État dans la gestion des infrastructures, dans le marché de l’immobilier, dans le marché de l’emploi, dans celui de la sécurité (ou de son absence).

Ce temps passé à rapiécer, à bricoler, à récupérer, à trouver des méthodes pour dépenser moins, autrement, mieux, ce temps là est une conséquence directe de la présence de l’État dans chaque interstice de votre vie.

Ce temps passé dans les transports, à attendre qu’un train ou un bus daigne arriver, qu’une motrice soit remplacée, qu’un caténaire soit réparé, qu’une certaine catégorie de personnel renonce à continuer sa grève, ce temps là, jamais rattrapé, est très majoritairement une conséquence directe de l’intervention de l’État dans votre vie.

Ce temps passé à lutter contre les administrations, à se déplacer d’un lieu inutilement éloigné d’un autre, à accumuler des frustrations, à batailler pour simplement joindre les deux bouts est un temps qui, en plus, finit par attaquer votre santé.

C’est un temps qui signifie vite fatigue, stress, éloignement des proches et perte du fameux lien social dont on nous rebat les oreilles cyniquement.

L’impôt sur le temps, bien qu’invisible, est le plus cher, le plus douloureux et le plus directement lié aux exactions de l’État.

Lutter contre l’obésité de l’État, c’est d’abord diminuer cet impôt, c’est rendre le bien le plus précieux qu’il soit à l’homme libre : du temps.

24 juin 2025

Alexis Haupt
Philosophie

D’une certaine façon, l’Homme moderne vit dans le monde des médias. Si la télévision et la radio désirent que les humains parlent d’un sujet, il leur suffit de le « passer aux infos ». S’ils souhaitent que les humains n’abordent pas tel autre sujet, il leur suffit de ne pas en parler. Tout ce qui ne figure pas dans les « textes sacrés » des médias est considéré comme délirant ou anodin.
Encore une fois, il s’agit là d’une véritable posture religieuse en cela que ceux qui regardent les médias ne veulent pas savoir, mais croire. L’Homme moderne ne regarde pas les informations pour s’informer, mais pour savoir quels sont le récit à soutenir, la doxa du moment ou les sujets importants, ceux dont il faut parler.
Évidemment, il fait cela à son insu, la soumission intellectuelle est un processus inconscient. C’est du reste pour cela qu’il s’agit d’un fléau si puissant. Notre Homme du 21e siècle pense avoir une opinion fraîche et personnelle sans se rendre compte qu’il ne débat que de sujets autorisés dans un bocal.

À MES CONTACTS TRÈS (NÉO)-CONS

Gabriel Nerciat

-24/6/2025- Mes chers contacts pro-guerre, pro-Israël, pro "regime change" ou néo-cons très cons, je ne peux pas vous citer tous car vous êtes finalement assez nombreux malgré les départs dus aux récentes fâcheries intempestives, mais sachez que je ne suis pas le mauvais bougre que vous croyez et que ce soir je pense à vous.
Je sais que qu'après la grandiose enfilade que Donald vous a mise il y a quelques heures en plein dans le popotin alors même que vous étiez tout juste en train de vous réveiller de l'extase du troisième opus parodique de Tom Gun, vous devez avoir très, très mal dans vos fondements aujourd'hui.
Mais sachez que ce n'est pas grave.
D'abord parce que vous le méritez bien.
Et ensuite parce que Donald le Grand va bientôt rouvrir les échanges commerciaux avec l'Iran.
Même avec des taxes à l'import, vous pourrez vous procurer cette envoûtante pommade persane chantée par Apollinaire et aussi suave qu'un poème de Saadi, qui atténuera vite les douleurs anales engendrées par cette correction.
J'y ai pensé dès hier soir, en voyant la gueule de Gilles-William Goldnadel dans l'émission de Pascal Praud, qui était déjà en soi, avant même la capitulation humiliante de Bibi, comme une vague promesse de bonheur.
René Chiche

-22/6/2025- Jadis, l'année était rythmée par des fêtes populaires à l'ambiance bon enfant où la violence était une exception. Aujourd'hui, pas une fête sans émeutes, violences et dégradations.
Chaque fois, les pouvoirs publics se contentent de "condamner fermement" en attendant les suivantes. C'est évidemment pathétique.
Aussi n'est-il guère étonnant que la majorité silencieuse, si peu soucieuse au fond de prendre parti entre la droite et la gauche, aspire avant tout au rétablissement de l'ordre qu'il est redondant de qualifier de républicain, la sécurité et la tranquillité étant les conditions principales de toute vie en société.
Il en va de même pour l'école, où l'on occupe la jeunesse sans l'instruire. Ceux qui qualifient d'extrême droite le désir de vivre en sécurité ou celui de renouer avec une école qui instruit vraiment font clairement partie du problème. Je sais d'expérience qu'ils sont imperméables à toute argumentation et qu'il est plus sage de les ignorer que de vouloir les convaincre.
J'ai en revanche le plus grand respect et la plus grande admiration pour ceux qui oeuvrent en silence à maintenir ce que d'autres cherchent bruyamment à détruire : l'armée de l'ombre des gens qui font leur travail sans se mettre en avant car la satisfaction du devoir accompli leur suffit.
Ce sont eux qui font le pays.
Il ne se passe pas un jour sans que je pense à eux.