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14 juillet 2025

Yann Bizien

-14/7/2025- En ciblant la Russie, Emmanuel Macron a déclaré hier soir que nos enfants ne toucheraient pas "les dividendes de la paix".
Le chef de l'État a repris une vieille notion que ma génération a beaucoup entendu au lendemain de la chute du mur de Berlin en 1989.
Nous savons tous pourquoi. Emmanuel Macron a décidé de tirer avantage de la guerre entre la Russie et l'Ukraine ainsi que de l'élection du très patriote et conservateur Donald Trump aux États-Unis pour accélérer son agenda personnel d'une Europe fédérale que les Français ont pourtant refusé en 2005.
Chacun sait ici que nos enfants ne tirent effectivement pas les dividendes de la paix. Leur horizon est beaucoup plus bouché que celui de ma génération. Avec davantage d'études, ils galèrent bien plus que nous à l'époque pour trouver aujourd’hui un emploi. Leurs entreprises font davantage faillite. Ils ne peuvent plus sortir en sécurité.
Paupérisation et insécurité physique, culturelle et économique ont donc gagné des millions de jeunes Français. Mais ce n'est pourtant pas à cause de la Russie de Vladimir Poutine.
Par ailleurs, tous mes camarades officiers récemment retirés savent parfaitement que la "menace russe" n'a rien de nouveau. Elle n'a pas changé d'échelle depuis 2008, année où l'OTAN a déclaré unilatéralement vouloir intégrer l'Ukraine dans la plus grande alliance politico-militaire de tous les temps. En 2015, la Marine nationale consommait déjà beaucoup de potentiel pour pister les sous-marins russes en Manche et mer du Nord, dans l'océan Atlantique et en Méditerranée.

Emmanuel Macron ment aux Français pour servir avant tout son intérêt personnel qui se situe à Bruxelles.

Le chef de l'État ignore complètement une grande évidence que plus aucun Français n'ignore : il y a bien une guerre civile hybride en France.
Elle se déroule sur un même sol, national. Elle est culturelle, communautaire, ethnique, religieuse, idéologique et politique. L'affrontement est effectif, asymétrique, du fort au faible. Dans cette guerre civile, on ne se dispute pas le monopole de la violence. Les assaillants sont toujours les mêmes. Les victimes tombent toujours du même côté. Cette guerre civile est effectivement menée par une racaille islamisée dominante qui a la nationalité française, la même que les victimes. Elle a un commandant en chef : Jean Luc Mélenchon. Elle est soutenue par un parti politique : la France insoumise.
En face de cette racaille islamisée, que beaucoup appellent la "cinquième colonne", d'autres Français dépossédés, démunis, dépourvus, désemparés et désarmés.
Les guerres civiles ne se ressemblent pas toutes. La nôtre a déjà fait de nombreuses victimes et a déjà provoqué des déplacements de populations sur notre sol national. Le centre-ville de nombreuses communes de France est quasiment entièrement communautarisé. Les blancs sont partis en périphérie.
Les officiers généraux ayant actuellement autorité sur nos armées sont complètement "macronisés". Ils ont oublié leurs devoirs pour la Patrie et pour tout un peuple déjà en danger, qui n'est toujours pas attaqué par la Russie mais qui est chaque jour exposé à une menace intérieure que plus personne n'ignore puisque nous la subissons tous.

13 juillet 2025

Jean-Michel Gorsse
13/7/2025

Le chef d'état-major des armées françaises, le général Thierry Burkhard, a déclaré que la Russie était la principale menace pour la France.
Le danger pour la France, ce n’est pas la Russie, c’est Macron et Ursula.
Un tandem ravageur : lui démolit la maison France pièce par pièce, elle rase les États membres à coups de règlements européens et de milliards qu’on n’a pas.
Macron détruit les hôpitaux, l’école, la justice, l’énergie nucléaire, les libertés publiques, la police de proximité, la diplomatie, et même la langue française, quand il ne la massacre pas à Davos entre deux poses mondialisées. Il ne gouverne pas, il liquéfie. Et il le fait avec une telle arrogance qu’on se demande s’il n’y prend pas un certain plaisir.
Von der Leyen, de son côté, n’a jamais été élue par personne, mais décide de tout : de ce qu’on doit subventionner, interdire, importer, penser. Elle prend les peuples de haut, méprise les frontières, moque l’idée même de nation, et déroule son programme comme un manuel de domination tranquille.
Et quand les peuples ne sont pas d’accord ? On sort le chéquier. Cent milliards par-ci, cinquante par-là. Ce n’est pas leur argent, alors ils arrosent. Et si ça ne suffit pas à faire plier, on sort l’arme atomique… française bien sûr, comme si la dissuasion nationale devait devenir un jouet communautaire pour bureaucrates bruxellois.
Ils ne gouvernent plus : ils administrent le chaos, habillés en progressistes, mais armés de tout ce qu’il faut pour anéantir la souveraineté, la liberté, et jusqu’au bon sens.
Ce n’est pas une politique, c’est une entreprise de démolition.
Et pendant ce temps, on explique aux Français que le vrai danger, c’est Vladimir.

Jean-Paul Brighelli
13/7/2025

Ça sent fichtrement mauvais

Le général Burkhard, dit "la voix de son maître", nous prévient il y a trois jours que la Russie (d'où tient-il son information ?) a désigné la France comme son principal ennemi.
Et demain 14 juillet, Napoléon Micron haranguera la France au fond des yeux (avez-vous remarqué qu'il regardait en fait au-delà de la caméra ?) pour expliquer qu'avec nos 3000 milliards de déficit il faudra faire un effort de réarmement, car la IIIème guerre mondiale est proche… Les retraités, qui n'ont pas vocation à se battre, ces planqués (lui non plus, vous me direz…) participeront en première ligne à l'effort de réarmement.
Ça, c'est l'étage un de la fusée.
Puis, une fois la peur installée – et nous savons depuis 2020 combien c'est facile –, on invoquera la nécessité de défendre le pays, et on fera jouer l'article 16, en cas de protestations populaires…
Il a réussi le coup avec le Covid. Pourquoi ne transformerait-il pas l'essai avec Poutine ?
Suspension des libertés d'expression et incarcération préventive des opposants – dans un pays infichu d'incarcérer de vrais délinquants et des fauteurs de trouble islamo-gauchisto-nazis.
Et report sine die des présidentielles.
Avec cette allure martiale typique des gens qui n'ont jamais tenu une arme dans leurs mains de patriciens, Napoléon IV sera en droite ligne pour être élu président à vie de l'UE. Elle est pas belle, la vie des autres ?
Allons, je prends les paris…

Gabriel Nerciat
7/7/2025

Physiognomonie d’un régime agonisant


Cela fait un demi-siècle, depuis la mort de Georges Pompidou et l’élection de VGE, que tous les sept ou cinq ans un énarque, ou à défaut un notable maire d’une grande ville de province (voire un simple prof d’économie agréé par Bruxelles comme Raymond Barre ou DSK), vient briguer les suffrages de la prochaine élection présidentielle avec comme seul et unique programme de faire perdurer encore quelque temps le régime social-libéral, européiste, technocratique, atlantiste et usé jusqu’au trognon qui a ravalé la France, naguère première puissance stratégique et nucléaire du continent et quatrième économie exportatrice du monde, au niveau d’un vulgaire vassal des Etats-Unis, endetté jusqu’au cou, ruiné comme un aristocrate déchu sous la Monarchie de Juillet, et astreint telle une ancienne colonie d’Afrique à verser chaque année un tribut de plusieurs dizaines de milliards d’euros à la Commission de Bruxelles et aux oligarchies bancaires apatrides détentrices des titres du Trésor de l’Etat.

Apparemment, les Français, surtout les plus âgés et les mieux lotis, adorent ce type de personnages et de projet.

Seule source d’espoir : au fur et à mesure que se succèdent les candidats, leur avachissement physique de plus en plus dégradé laisse transparaître presque charnellement le niveau de délabrement intellectuel et de corruption interne que cinquante ans de pouvoir sans alternance ont suscité en eux.

Et surtout, qu’on ne vienne pas me dire qu’il ne faut pas se moquer du physique des gens ou de leurs champignons épidermiques.

Comme disait Léonard, passé quarante ans tout homme est responsable de son visage, et la laideur ou la beauté ne sont jamais, dans le domaine politique, que l’expression irréfutable d’une souveraine ordalie.

Christian Dubuis Santini
13/7/2025

Champion frère ! (pour parler comme le président de notre présipauté) Olivier Véreux recevra cette année la Légion d’honneur, accompagné de deux autres héros des temps modernes décorés pour leurs exploits époustouflants : Éric Dupont-Mojito et Bruno Le Mohair !
We 💙 Macronistan !

Jesse JILL
Écrivain - Politologue
12/7/2025

APPEL AUX CHEFS D'ÉTATS-MAJORS

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Kuzmanovic Georges
13/7/2025

Sont élevés au rang d'officier de la Légion d'honneur :

• Alexis Kohler, secrétaire général de l'Élysée et bras droit de Macron, soupçonné de corruption – mais au-dessus des lois, puisqu’il se permet de snober une convocation de l’Assemblée nationale comme on décline une invitation gênante. La République, c’est lui. La transparence, pour les autres.

• Bruno Le Maire, ministre de l’Économie pendant sept ans, copilote zélé du naufrage budgétaire avec une dette publique alourdie de plus de 1.200 milliards d’euros. Mais rassurez-vous, il n’est "ni responsable, ni coupable" – juste décoré. Aujourd’hui, il propose tout bonnement de ponctionner les économies des Français pour réparer les dégâts qu’il a contribué à causer. La récompense de l'incompétence élevée au rang de stratégie d'État.

Pendant ce temps, 17.000 patrons de PME ont mis la clef sous la porte, 20.000 agriculteurs ont été ruinés, et des centaines de milliers de Français ont rejoint les rangs du chômage ou de la précarité. Eux n’auront droit qu’à une chose : regarder, à la télévision, leurs bourreaux recevoir des médailles.
(Il y a d'autres perles de cet entre-soi nauséabond dans la liste des décorés.)
C'était un moment de la "République irréprochable".

Gastel Etzwane

-9/7/2025- Urgences fermées la nuit ? Pas grave. On soigne l’Ukraine, on arme le monde, on gave les industriels de la défense. Les Français ? Qu’ils appellent le 15… s’ils tiennent jusque-là. “En même temps”, on ne peut pas tout faire : soigner ici ou dépenser ailleurs. Le choix est fait.

Yann Bizien

-13/7/2025- La France sans frontières, submergée, ensauvagée, fracturée, déclassée et surendettée est en voie de désintégration totale. Elle est dirigée et sabotée par un pervers narcissique qui stérilise toutes les oppositions devant un peuple dépossédé de ses attributs de souveraineté et de sa sécurité, tout ceci avec la complicité aveugle du haut encadrement militaire.
Les mêmes causes produisent les mêmes effets que le 10 mai 1940 : la débâcle, et "l'étrange défaite".
La France n'est plus une puissance mondiale. C'est désormais une ancienne puissance qui ne retrouvera jamais son rang avec Emmanuel Macron au pouvoir.
Ce n'est pas le bavardage permanent qui fait d'un pays une puissance. Par ailleurs, on ne fait pas une puissance en important massivement des individus qui nous détestent, en reculant devant l'islamisme, en bradant nos entreprises stratégiques et en abandonnant notre souveraineté à Bruxelles.