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17 juillet 2025

L'édito de Thomas Bonnet : « Najat Vallaud-Belkacem : la "République des copains" ? »

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Jean Mizrahi
17/7/2025

L'Europe orwelienne est là, devant nous.
Nous sommes libres de nous exprimer tant que nous ne contrevenons pas à la doxa.

Denis Albisser

-17/7/2025- Il semblerait que les Allemands aient pris conscience de cette réalité, et c'est la raison pour laquelle le satrape américain de BlackRock devrait gicler prochainement.
Nous savons tous que l'Ukraine est devenue une colonie américaine depuis le coup d'État de 2014, et que la guerre contre la Russie a commencé à ce moment-là.
Dès lors, le nouveau régime n'a eu de cesse que de discriminer, persécuter et bombarder les populations russophones du Donbass.
Et, la Russie n'a pas eu d'autre choix, que d'intervenir pour protéger et libérer ces populations, ou fermer les yeux, et les laisser se faire massacrer.
Nous savons que les mondialistes européistes qui dirigent la plupart des pays européens ne font que servir la soupe aux USA, et aux dégénérés de Davos, qui sont prêts à tout pour conserver leur leadership.
Nous savons aussi que nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes, l'écrasante majorité du Système n'ayant pour préoccupation que de continuer à grouiller dans le Système.

16 juillet 2025

Gastel Etzwane

-15/7/2025- Ah, merci Emmanuel, on a enfin la confirmation officielle : vous ne décidez de rien. Il faut que la Commission européenne, institution non élue, vous donne la permission pour savoir ce qu’on peut faire chez nous. Une vraie souveraineté de carton-pâte, à l’image de votre présidence : soumise, déconnectée, décorative.
Et bien sûr, on retrouve vos lubies favorites : censurer, surveiller, contrôler. Sous prétexte de « protéger les enfants », vous préparez le terrain pour réduire encore un peu plus la liberté d’expression, et surtout la liberté d’informer. Car derrière le vernis protecteur, c’est toujours la même obsession autoritaire qui transparaît : filtrer ce que les citoyens peuvent voir, dire ou penser.

Regis de Castelnau
16/7/2025

Aurore Bergé garde-chiourme du mensonge


Nous avons appris la semaine dernière, la création par Aurore Bergé d’une « coalition » d’organismes privés associatifs que l’on peut légitimement qualifier d’officines pour se livrer à un travail de surveillance de la parole d’opposition qui se déploie sur les réseaux sociaux.

Le pouvoir politique minoritaire d’Emmanuel Macron dispose d’un monopole institutionnel de la parole publique. Ses différents agents relaient mécaniquement la parole présidentielle et ses mensonges. Comme vient de le faire par exemple, toute honte bue, le chef d’état-major des armées françaises lors d’une conférence de presse. Occasion pour lui de bafouer son devoir de réserve politique en reprenant tous les éléments de langage d’Emmanuel Macron et en les assortissant de mensonges grossiers.

Emmanuel Macron, fondé de pouvoir rappelons-le, des grands intérêts ploutocratiques qui sont les gouvernants réels de ce pays, dispose d’un système médiatique totalement dévoué, chargé de relayer et d’amplifier le mensonge. L’objectif étant d’installer dans l’opinion une perception de la réalité de la marche du monde complètement faussée. Le réel et la vérité, voilà les ennemis ! Et pour cela on ne lésine pas sur les moyens, tous les médias (audiovisuels et écrits) sont sous contrôle, animés par des « journalistes » dévoyés ou soumis. Tous les organes institutionnels de contrôle sont également verrouillés, notamment l’ARCOM, et le Conseil d’État.

Le problème, c’est qu’une parole d’opposition a émergé depuis quelques années au travers de l’intervention des citoyens sur les réseaux sociaux numériques. Ce qui au départ n’était que des « samizdat » confidentiels et l’expression difficile d’une parole dissidente a explosé. Et constitue désormais une source essentielle d’information pour les opinions publiques qui ne peuvent pas se résoudre aux mensonges dispensés par la parole officielle. L’existence de cette « contre-parole » terrorise les gens du pouvoir et ils n’ont de cesse que d’essayer de la bâillonner pour toujours. En multipliant les réglementations liberticides, en piétinant les principes constitutionnels qui proclament la liberté d’expression, en multipliant les procédures baillons, et en instrumentalisant la justice pour réprimer et intimider. Concernant les réglementations liberticides, plusieurs tentatives ont déjà eu lieu, et c’est à l’Union Européenne, spécialiste des mauvais coups, que l’on a délégué la responsabilité de définir le cadre du sale boulot.

La création de cette « coalition » par Aurore Bergé, autre agent chargé de la censure d’État après l’explosion en vol de la venimeuse Laetitia Avia, est clairement destinée à organiser la censure des réseaux sociaux. Il s’agit de la mise en place d’une sous-traitance à des officines privées d’une surveillance permettant de les sanctionner avant de les interdire. L’objectif est parfaitement clair : garder au pouvoir d’Emmanuel Macron le monopole de la parole publique en réprimant puis en supprimant toute parole d’opposition. Pour ce faire, on va confier ce rôle de flic à ces officines privées, probablement grassement payées pour cela. Comme on a pu le voir avec l’horrible précédent de l’affaire du « Fonds Marianne ».

C’est le troisième niveau du système médiatique Macron au service du mensonge : après le monopole de la parole institutionnelle, puis le relais par une presse aux ordres, on installe une surveillance des réseaux par des officines privées pour permettre leur censure.

J’ai été interrogé par le média TOCSIN sur la création de ce qui n’est rien d’autre qu’une police privée.

SUBSTACK
Vincent Verschoore

-15/7/2025- Affaire Epstein : suite à la mise sous cloche du dossier, le New York Times pose la question, sans se risquer à y répondre :

"Dans une note non signée publiée la semaine dernière, le ministère de la Justice et le FBI ont déclaré que les dossiers Epstein ne contenaient pas le type de preuves qui justifieraient d'enquêter sur d'autres personnes. Les enregistrements vidéo de matériel pédopornographique trouvés par les enquêteurs n'étaient pas, comme certains l'ont suggéré, des vidéos que M. Epstein avait enregistrées, de crimes commis par lui-même ou ses amis, mais du matériel qu'il avait téléchargé, a déclaré la procureure générale Pam Bondi.
Alors, que contiennent les documents que Mme Bondi et M. Patel ont refusé de divulguer ?"

Le sous-entendu est que Trump est impliqué, lui qui s'est longtemps vanté d'être un bon ami d'Epstein, et d'aimer comme lui les jolies femmes. Une amitié qui semble s'être rompue vers 2004.
Epstein avait un tas de bons amis, y compris tendance Démocrates, et toutes les sphères de pouvoir militent pour étouffer l'affaire.
Pour Elon Musk, grand allié de Trump, c'est une trahison inacceptable. La rabatteuse d'Epstein qui croupit actuellement en prison, Ghislaine Maxwell, demande à être entendue devant le Sénat. Il est très peu probable qu'elle y parvienne.
La pédocriminalité est au cœur des sphères de pouvoir, et ces gens ont les moyens de se protéger.


Votre logement est juste assez sous-occupé pour un nouvel impôt

H16
16/7/2025

Il y a quelques jours, BFM faisait le choix de relayer, avec insistance, une récente note de l’INSEE sur la place disponible dans les logements français, et concluait avec aplomb qu’« un quart des ménages vivent dans un logement trop grand par rapport à leurs besoins ».


L’article à l’accroche bien étudiée attire rapidement l’œil de l’internaute moyen : des millions de vues – pour un article de BFMTV, c’est assez rare tant cette source d’information est plus souvent brocardée que prise au sérieux – et des milliers de commentaires qui déclenchent assez logiquement l’intérêt des autres rédactions. Rapidement, la nouvelle est reprise un peu partout dans les autres médias (comme ici ou ), trop heureux de participer à leur tour.

En substance, que dit cette note ? Simplement qu’un quart des Français vivent dans des logements « sous occupés », c’est-à-dire dans lesquels il serait possible de loger une ou plusieurs personnes supplémentaires. Ce constat reflète à la fois le vieillissement de la population des propriétaires (les personnes âgées ne vivant généralement pas dans le même logement que leurs enfants) et le décalage entre les départements ruraux – où la sous-occupation est fréquente – et les départements urbains.

Devant ce constat, la plupart des commentaires glanés sur les réseaux et sous les articles de presse reflètent tous un même état d’esprit : sapristi, de quoi diable se mêle l’INSEE à définir ainsi ce qui constitue un logement trop ou pas assez grand ?

Pour certains, comme les économistes rompus aux productions régulières de l’INSEE, cette note n’a pourtant rien d’exceptionnel et ne devrait déclencher aucune vague de protestation : après tout, cela fait partie du rôle des instituts de statistiques de faire ce genre de calculs, et ils sont intéressants pour donner une idée de la situation et aider le pilotage des politiques publiques (ici, dans le logement et l’immobilier).


Cependant, le fait que cette note fut à ce point médiatisée n’est pas neutre. Cependant, outre un effet d’entraînement (plus on en parle et plus la presse en parle, plus la presse en parle et plus ça fait des chocapics), l’insistance de certaines chaînes à relayer la note n’a rien d’anodin.

En creux, cela montre surtout que si les internautes réagissent ainsi, c’est que de nombreux précédents existent. On pourrait revenir sur l’idée du « loyer fictif », déjà traité dans ces colonnes, dont la notion réapparaît régulièrement, ou même l’idée de rendre à peu près impossible la propriété privée d’un terrain, concepts issus de l’un ou l’autre think-tank socialiste et qui (ré)apparaissent avec vivacité lorsqu’il s’agit de trouver de l’argent pour un État de plus en plus impécunieux.

Or, la tendance actuelle – qui n’est définitivement pas à la baisse des dépenses de l’État et qui est donc à l’augmentation des taxations diverses – ne rassure personne, car tout le monde comprend comment cette étude, arrivant ici et maintenant, pourrait bien être utilisée pour, une fois encore, créer un nouvel impôt.

Ceci n’a absolument rien de farfelu, d’autant que, dans le même temps – coïncidence ? – différentes institutions européennes planchent sur la réduction de l’empreinte carbone des logements, ce qui passerait par – c’est pratique – la définition d’un nombre de mètres carrés autorisés par personne.


Il est donc difficile de ne pas voir dans la médiatisation tambour battant de cette étude de l’INSEE autre chose qu’une préparation des esprits à un nouvel impôt ou, à tout le moins, à une sorte de ballon d’essai en ce sens.

Et au-delà de cette question fiscale, cette étude déclenche d’aussi vives réactions car, fondamentalement, tout le monde comprend globalement les raisons qui aboutissent à cet état des lieux : la plupart des logements définis comme « sous-occupés » le sont par des retraités qui ont encore les moyens de vivre dans ces grandes maisons ou ces appartement spacieux. Pour eux, il est même généralement plus avantageux économiquement de continuer à vivre dans ces logements – quitte à payer cher l’entretien et le chauffage – que de payer des droits de mutations exorbitants lors d’un déménagement pour une habitation plus petite.

Au final, ces retraités ne vendent donc pas et le capital que représente ces biens reste donc « gelé » dans un immobilier trop cher pour la génération suivante, ce qui explique au passage la tension croissante sur le marché immobilier.

Cependant, l’actuelle situation économique du pays, et notamment les finances catastrophiques de l’État, pourraient bien résoudre très vite – et d’un coup sec – cette crise immobilière.


D’une part, il est assez probable que nos politiciens tenteront de taxer cette surface sous-occupée, d’une façon ou d’une autre. Rappelons qu’il existe déjà une taxation sur les logements vacants ; son extension logique vers les logements « sous-occupés » n’est qu’une affaire cosmétique pour un État aux abois financièrement. Or, avec cette nouvelle taxation, il y a fort à parier que l’État pourrait provoquer l’effondrement du marché immobilier qui n’attend qu’un signe, un mauvais frémissement pour le faire.

D’autre part, les personnes âgées sont, inévitablement, destinées à mourir (c’est le cycle de la vie, tout ça) ce qui, là encore, signifie assez logiquement une croissance rapide des biens disponibles sur le marché immobilier et une baisse de prix – la fiscalité de l’héritage étant essentiellement construite pour tabasser le nouveau propriétaire qui, dans bien des cas, doit vendre, même à perte, pour payer ses impôts. Mécaniquement, cela signifiera aussi une baisse des droits de mutation ce qui, pour l’État et les collectivités qui s’en gavent, pourrait s’avérer être une surprise amère tant il n’y sont pas préparés.

Ceci va rendre les ventes progressivement plus attractives, ce qui accroîtra le phénomène général. Et comme il y a en France beaucoup plus de logements que de familles à loger, il semble assez clair que lorsque la bulle immobilière éclatera, cela sera rapide et bien marqué.


https://h16free.com/2025/07/16/81374-votre-logement-est-juste-assez-sous-occupe-pour-un-nouvel-impot
Dessin de Philippe Delestre

15 juillet 2025

Régis de Castelnau
15/7/2025

Rubrique : conjugaison

J’interpelle,
tu interpelles,
il interpelle,
nous interpellons,
vous interpellez,
ils interpellent.

« Joli. Voilà une belle conjugaison. Pour interpeller vous avez l’air super forte.
Maintenant si vous conjuguiez le verbe renverser ? La Commission européenne corrompue et sa cheffe, la néonazie von der Leyen, par exemple ?
– Ah oui, mais non. Elle c’est ma copine, quand on se croise je lui fais des bisous. Moi si je suis élue et payée avec votre argent, c’est pour interpeller. C’est super important d’interpeller. Et puis c’est beaucoup de travail.
– En fait, vous vous foutez de notre gueule ?
– Oui, c’est ça… »