Translate

24 juillet 2025

Marc Amblard

USA - LA COMMISSION DE LA CHAMBRE DES REPRÉSENTANTS VOTE L'ASSIGNATION À COMPARAÎTRE DU COUPLE CLINTON POUR SES LIENS PRÉSUMÉS AVEC JEFFREY EPSTEIN

-24/7/2025- Les Clinton et plusieurs anciens hauts fonctionnaires du ministère de la Justice dont le directeur du FBI James Comey, le procureur spécial Robert Mueller et les procureurs généraux Loretta Lynch, Eric Holder, Merrick Garland, Bill Barr, Jeff Sessions et Alberto Gonzales figurent sur la liste des assignations à comparaître afin d’être entendus dans le cadre de l’enquête sur l’affaire Epstein.
Le Ministère de la Justice, de son côté, a déposé une requête pour que les témoignages qui en sortiront soient rendus publics.
Ces informations tranchent nettement avec la récente déclaration de l’actuel président des Etats-Unis désireux de refermer le dossier. Selon certains proches, il aurait finalement cédé sous la pression de sa base électorale et des représentants MAGA.
Que Clinton, Epstein et Obama soient vivement remerciés : sans eux, l’été 2025 n’aurait pas la même saveur.

 ↴

23 juillet 2025

Yann Bizien

-23/7/2025- Le général d’armée aérienne Fabien Mandon, actuel chef d’état-major particulier d'Emmanuel Macron, ex-chef du cabinet militaire du ministre des Armées, a été nommé ce matin en Conseil des ministres chef d’état-major des armées françaises, en remplacement du général Thierry Burkhard qui vient de faire une quasi déclaration de guerre à la Russie à la demande du chef de l'État. Emmanuel Macron nomme ainsi son plus fidèle officier général à la tête de nos armées. J'en profite pour rappeler au général Mandon, dont le parcours sous les étoiles est très politique, que nos armées sont avant tout celles de la nation et du peuple, pas uniquement celles d'un homme, encore moins celles, exclusivement, d'un chef d'État sans majorité, en échec et en disgrâce.

France-Soir
Publié le 23 juillet 2025 - 16:47

Luc Ferry sur LCI à propos du conflit en Ukraine... la vérité prendrait-elle enfin le chemin des mainsteams

(vidéo) cliquer sur l'image ↴

Que se passe-t-il dans les médias mainstreams ? Le grand retournement serait-il déjà dans les starting-blocks ?

Dans une intervention marquante sur LCI, Luc Ferry a affirmé sans détour : "la Russie a gagné la guerre que l’Ukraine a commencé." Cette déclaration, loin des narratifs biaisés qui ont dominé jusqu’ici, met en lumière une réalité que beaucoup refusaient même d'entrevoir. Ferry a également rappelé : "c'est l’Ukraine qui a déclenché cette guerre avec la guerre du Donbass" et qu’il s’agissait d’une "connerie monumentale." Ces propos confirment ce que de nombreux observateurs avertis savaient déjà, à savoir que la guerre a été initiée par des choix catastrophiques ukrainiens, et la Russie a depuis consolidé sa position. LCI, en donnant une tribune à Ferry, autorise une parole que l'on aurait il y a encore peu décrite comme dissidente, mais qui permet enfin de faire entendre une vérité jusque-là impensable, marquant un tournant décisif dans la manière dont ce conflit est perçu.

L’autorisation de tels propos sur LCI, bien que surprenante de prime abord, s’inscrirait-elle dans une logique où la réalité géopolitique commence à s’imposer, où le déni devient trop lourd à porter, malgré les soubresauts des pouvoirs politiques et militaires en mal de propagande ? Ferry a souligné que "les quatre oblasts en question sont occupées par la Russie" et que "l’Ukraine ne les reprendra pas de sitôt," une vérité qui semble incontournable, et que les médias occidentaux ont trop longtemps occultée. Cette intervention n’est pas une exception isolée, mais le signe d’un début de reconnaissance de faits. La fatigue de la guerre, les échecs militaires ukrainiens et les coûts économiques pour l’Occident poussent inexorablement vers une réévaluation du discours officiel. La réalité factuelle, longtemps étouffée, commence enfin à percer, et il est temps de l’accepter pleinement, c'est le message que LCI nous renvoie.

https://www.francesoir.fr/politique-monde/luc-ferry-sur-lci-la-verite-enfin-dite-sur-le-conflit-ukraine-russie
Gilles Casanova
23/7/2025
Pierre Duriot
23/7/2025

Dialogue presque imaginaire…

EM : Tu vois Thierry, ton discours sur la menace russe, c’était très bien, tout le monde y a cru.
TB : Vous rigolez président, personne n’y croit au contraire. La menace russe, pensez donc, Poutine est à 2000 kilomètres et il nous ferait la guerre pour nous prendre quoi ?
EM : On s’en fout de ça Thierry, ce qui compte, c’est la communication, il faut que tout le monde ait peur de Poutine et soit prêt à filer du fric pour acheter des armes aux Américains.
TB : Certes, mais moi, ça ne me fait pas rire, je ne compte par redire de telles conneries en public.
EM : Ben alors, je te vire, en payant grassement, je vais bien trouver un 5 étoiles pour raconter ce que je veux.

LOI DUPLOMB... DANS L'AILE !

Jacques Cotta

-22/7/2025- La loi Duplomb est officiellement censée répondre aux difficultés des agriculteurs français qui s’étaient notamment manifestés dans les mobilisations et blocages de 2024. Le gouvernement alors affolé avait juré ses grands dieux de faire tout ce qu’il faudrait pour « diminuer les normes », « alléger les obligations », « amoindrir les contrôles » des agriculteurs afin de « défendre leur compétitivité » notamment vis-à-vis des productions importées d’autres pays de l’union européenne. Macron en personne s’était engagé. Du coup, Duplomb fait son apparition.
La pétition lancée par une étudiante de 23 ans surprend par le nombre de signatures recueillies en quelques jours. Des centaines de milliers d’abord, puis un million, puis un million cinq cent mille, et plus encore de citoyens de toute la France ont donc signé pour exiger le retrait de cette loi. Et les responsables politiques de tout bord, partisans de la loi ou opposés, s’en sont donné à cœur joie.
Pour les uns, Sandrine Rousseau en tête, à qui on reconnaîtra volontiers de dire tout haut ce que nombreux de ses amis « verts » ou de la FI pensent tout bas, « la rentabilité des agriculteurs je n’en n’ai rien à péter ». En d’autres termes, ce qui reste de paysans en France peut simplement disparaître une bonne fois pour toutes. Ainsi seront réglées les questions de pollution et seront éradiquées les menaces qui pèsent sur la biodiversité et la nature.
Pour les autres, monsieur le sénateur LR Duplomb en tête, accompagné de la plus grande partie des macronistes et du RN, la loi a pour objet « la défense de nos agriculteurs » menacés par la concurrence et abandonnés par la gauche. Ce débat est un débat de dupes, car Monsieur Duplomb et ses partisans n’ont que faire des agriculteurs et paysans. Ce qui compte pour eux, c’est une production agricole le moins cher possible, car toute augmentation poserait le problème des moyens pour se nourrir et donc l’augmentation des salaires et la répartition des richesses.
C’est cette question politique et sociale qui est le cœur du débat que tous prennent bien garde de ne pas aborder, car alors on toucherait vraiment aux questions qui fâchent.
Depuis des décennies, la recherche d’une production agricole à moindre coût est la priorité de tous les gouvernements. Les victimes sont d’abord les paysans eux-mêmes qui vivent souvent dans des conditions que le moindre citadins s’empresserait de fuir sans hésiter. Les secondes victimes sont les citoyens dans leur ensemble, contraints de trouver dans leur assiette des produits qui au nom du prix délaissent la qualité et la sécurité alimentaire. Des OGM aux pesticides en tout genre, la liste des cocktails imposés est longue sans même que le consommateur n’en soit réellement informé. « Il faudrait responsabiliser le consommateur pour qu’il mange mieux et plus sain » entend-on parfois. On omet juste de préciser qu’il ne suffit pas de savoir et vouloir, il faut aussi pouvoir. La question des salaires – ceux des paysans qui souvent survivent en deçà du seuil de pauvreté, et des citoyens dans leur plus grande majorité – est décidément incontournable.
Deux questions émergent du débat :
Faut-il au nom de la survie des agriculteurs accepter comme une évidence une nourriture empoisonnée ?
Évidemment non !
Faut-il au nom de la sécurité alimentaire accepter la liquidation de ce qui reste d’agriculteurs en France, broyés par la concurrence internationale qui utilise tous les produits que nous refusons ici ?
Evidemment là encore non !
Alors ?
La loi Duplomb est une réponse dévoyée aux préoccupations du monde paysan.
Elle vise officiellement « à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur » et prévoit notamment de faciliter les projets d’élevages intensifs, de « mégabassines » et la réintroduction à titre dérogatoire et sous conditions de l’acétamipride, pesticide de la famille des néonicotinoïdes. Considéré comme un « tueur d’abeilles », ce pesticide est interdit en France depuis 2018, mais autorisé en Europe jusqu’en 2033. Il est réclamé par les producteurs de betteraves ou de noisettes, qui estiment n’avoir aucune alternative contre les ravageurs et subir une concurrence déloyale face aux agriculteurs européens.
Rien n’est bon dans cette affaire :
• l’élevage intensif: c’est le développement d’une agriculture qui liquide les petits agriculteurs (au nom de la rentabilité justement), qui favorise la nourriture industrielle portée notamment par les responsables de la FNSEA qui n’ont pas grand-chose à voir avec les paysans.
• les mégabassines : c’est la menace sur les nappes phréatiques et sur l’écosystème dans son ensemble.
• l’acétamipride, pesticide de la famille des néonicotinoïdes : menace directe sur la biodiversité, sur la santé des insectes… et des humains.
Il faudrait se soumettre pour être concurrentiel dans le cadre européen car l’union européenne serait incontournable, intouchable. C’est exactement pour la même raison, soumission à l’Union européenne, que Sandrine Rousseau propose la liquidation des agriculteurs. Les agriculteurs savent très bien que c’est l’Union européenne le problème avec la concurrence libre et non faussée qui, dans l’agriculture comme dans l’industrie ou les services, organise régression, misère, liquidation.
Tout cela est inacceptable.
C’est l’Union européenne qui doit être mise en cause pour donner toute sa cohérence à l’opposition à la loi Duplomb sans mettre en danger notre agriculture, en soutenant nos agriculteurs.
L’Union européenne, l’aimer ou la quitter ?
Le sort réservé à nos paysans et à leur production donne le signal. Il est temps de prendre le large et de réfléchir à quelques mesures d’urgence :
• interdire toute importation de productions qui ont « bénéficié » de produits ici interdits, pesticides ou autres.
• mettre en place un système d’aide aux agriculteurs concernés, betterave, noisette ou autres…
• favoriser les petites structures et non l’agriculture industrielle, garantie d’une prise en compte de la biodiversité et d’une gestion de l’eau compatible avec les besoins.
• organiser une conférence salariale pour permettre à chacun de se nourrir en payant le juste prix une nourriture de qualité.
La question est bien politique, sociale et économique… Certains s’interrogent sur les raisons exactes du succès de la pétition contre la loi Duplomb. Il y a sans doute une volonté écologique, mais là n’est pas l’essentiel. Derrière l’initiative de cette pétition, c’est non seulement l’opposition à Duplomb qui s’exprime, mais à Macron pour l’ensemble de son œuvre, à Bayrou et son gouvernement pour la rentrée qu’ils préparent avec un budget synonymes pour les Français « de sang et de larmes ». En réalité avec Duplomb, c’est Macron et Bayrou qui sont en ligne de mire.
À bas la loi Duplomb, Macron l’européiste et Bayrou dehors ! Voilà sans doute ce que dit le succès de cette pétition.

Liberté d’expression : l’étau se resserre encore

H16

-23/7/2025- Enfin, les Français ont été entendus ! Et c’est par la voix de leur inestimable Président, Emmanuel Macron, que la nouvelle a été rendue publique dans une joie et une allégresse visible de toute la classe dirigeante française : la Commission européenne vient de confirmer la possibilité pour les États membres d’interdire les réseaux sociaux sous un certain âge ! Youpi !


Pas de doute, comme le dit l’actuel locataire de l’Élysée, c’est une véritable victoire pour ce qu’il présente être « la protection de nos enfants » (enfin, les nôtres, pas les siens puisqu’il n’en a pas – et ce n’est pas un hasard). Assurant dans la foulée que « la France sera au rendez-vous », Macron semble donc frétiller à l’idée qu’un contrôle strict va être mis en place sur internet (et, par voie de conséquence, sur les réseaux sociaux – ça tombe bien, non ?).

La nouvelle semble d’importance puisqu’avec Macron, c’est toute la médiocratie qui s’est réveillée en pleine frétillance : allumée comme un jukebox de bar-PMU des années 70, Cunégonde Valérie Hayer s’est fendu de l’un de ces tweets inénarrables dans lequel elle se réjouit donc de la prochaine interdiction des réseaux sociaux au moins de 15 ans poussée tant par la France de Macron qu’au niveau européen :


Passons bien vite sur l’aspect technique de cette interdiction dont on attend avec gourmandise la mise en place pratique. Entre l’usage évident, simple et déjà démocratisé d’un VPN qui rendra une bonne partie de ces mesures parfaitement caduques, il apparaît assez clair que n’importe quel gamin accèdera à internet au travers d’appareils qui seront, plus que probablement, enregistrés au nom de ses parents.

Il est dès lors évident que toute contrainte qui se voudrait efficace devra reposer sur les adultes, les parents ou tuteurs des enfants prétendument ciblés ici : ce seront ces adultes qui devront autoriser ou non l’accès, ce seront ces adultes qui seront rendus responsables en cas d’infraction – pensez « amendes » comme pour HADOPI jadis mais en plus complexe et plus futile – et ce seront ces adultes qui, très concrètement, subiront les emmerdements qui vont être mis en place pour faire mine de sauver les enfants des horreurs des intertubes.


L’idée que les problèmes observés – enfants qui accèdent à des ressources pour adultes sur internet, harcèlement en ligne, etc. – pourrait provenir d’un abandon de la responsabilité parentale au profit de l’État ne semble effleurer personne : d’une part, cela irait contre le discours dominant qui fait des enfants la propriété de l’État, du berceau au cercueil, pour en faire de bons citoyens formatés et obéissants. D’autre part, cela reviendrait à rappeler leur responsabilité aux parents, effort supplémentaire rarement compatible avec le besoin d’un électeur-contribuable mou et docile.

La suite est évidente : on va devoir pister les adultes !

On commence d’ailleurs à entrevoir les contours de ce qui va se mettre très concrètement en place : moyennant l’utilisation imposée et pas du tout intrusive d’une identité numérique délivrée par une instance de l’État – qui ne coûtera pas trop cher, rassurez-vous – les individus pourront (ou pas) accéder à certaines ressources sur internet.

Apparemment, un projet pilote incluant la France, l’Espagne, l’Italie, le Danemark et la Grèce va être lancé prochainement avant que son application à l’ensemble de l’Europe ne soit proposée pour fin 2026 et rassurez-vous, aucune fuite de données des tierces parties qui vérifieront les âges ou stockeront ces identités numériques n’aura jamais lieu : tout a été pensé et taillé comme la plupart des autres projets informatiques gérés par les États.

Bien sûr, cette étape ne sera pas la dernière puisqu’avec quelques technologies simples (VPN notamment), l’ensemble de ces barrières sera contourné rapidement. En toute bonne logique, l’Europe, cornaquée par la France, réclamera l’interdiction de ces outils.

La différence avec ce qui se passe en Chine, derrière le Great Firewall, ne sera alors même plus marginale mais ne déclenchera aucune prise de conscience : ceux qui ne veulent pas comprendre ne comprendront pas qu’il s’agit bel et bien de censurer les intertubes et notamment les réseaux sociaux, tant ces derniers permettent d’échapper au matraquage propagandiste des médias traditionnels.


Chaque mois qui passe est l’occasion pour les dirigeants actuels, notamment en France, d’ajouter de nouvelles contraintes à la liberté d’expression, et toutes vont dans le même sens : tout est fait pour enfin faire cesser l’expression d’opinion – notamment politiques – dissidentes.

La caste politique actuellement au pouvoir en Europe a compris qu’étiqueter leurs opposants avec des qualificatifs aussi infâmants que possibles (nazis, fascistes, racistes, extrémistes, complotistes, pro-Poutine et j’en passe) fonctionne de moins en moins bien : petit à petit, les peuples maltraités, insultés par leurs dirigeants, finissent par ne plus porter attention à ces stigmatisations qui ne marchent que par ostracisation notamment dans les médias traditionnels, qui, bien malheureusement pour la caste dirigeante, perdent leur pouvoir au profit d’internet et notamment des réseaux sociaux.

L’attaque de ces réseaux est donc logique, tout comme l’interdiction des partis qui se lèvent contre les narratifs officiels : judiciarisation politique contre Marine Le Pen en France, interdiction pure et simple ou détournée pour l’AfD en Allemagne, ostracisation d’Orban, … les exemples abondent.


L’Union européenne et la France sombrent dans la dictature. Oh, on n’y est pas encore évidemment, mais on s’y coule doucement, petit à petit comme on rentre dans une mer trop froide, un pied après l’autre, lentement, jusqu’aux genoux d’abord, puis plus haut jusqu’enfin au nombril où, à ce moment, on se décide à rentrer tout entier ; le pays n’en est peut-être qu’aux genoux, encore qu’avec la période COVID, il a largement mouillé les cuisses, pour ensuite se dire qu’après tout, il était encore trop tôt et reculer un peu.

Mais avec les dernières décisions et projets de lois de plus en plus consternants dont ces colonnes se faisaient l’écho récemment, avec ces dernières déclarations, avec ces dernières expérimentations, avec la pénalisation de l’enquête sur X – tellement réalisée à charge que la direction de la plateforme s’est fendue d’un communiqué à ce sujet – et cette volonté d’en finir avec des réseaux sociaux ouverts à tous sans le contrôle du Grand Frère État, comment ne pas voir la trajectoire prise ?

On se rassurera en se disant que la France est devenue la dictature la plus démocratique du monde.


https://h16free.com/2025/07/23/81429-liberte-dexpression-letau-se-resserre-encore

22 juillet 2025

Régis de Castelnau

Rubrique : thérapie. A priori, ça marche.


OBAMA BIENTÔT CITÉ À COMPARAÎTRE ?

Marc Amblard
22/7/2025

CBN NEWS : Le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, a déclaré devant les caméras que le Congrès envisage d’assigner l'ancien président Barack Obama. Chef d'accusation : avoir collaboré avec les agences de renseignement américaines aux fins de lier le président Donald Trump à la Russie lors de l'élection de 2016...
Selon la Directrice du renseignement américain, Tulsi Gabbard : « Les implications de cette affaire sont tout simplement historiques. Plus de 100 documents que nous avons publiés vendredi détaillent et apportent des preuves de la manière dont ce complot de trahison a été orchestré par le président Obama, quelques semaines seulement avant son départ, alors que le président Trump avait déjà été élu ». « Ce n'est pas une question démocrate ou républicaine ; c'est tellement grave qu'elle devrait préoccuper chaque Américain, car elle touche à l'intégrité de notre république démocratique. »