Translate

21 août 2025

Diapason

-21/8/2025- Une lettre ouverte publiée dans le “Guardian” demande l’annulation de la participation de la soprano russe aux deux productions qui devraient marquer son retour sur la scène londonienne.

L'EUROPE, RESPONSABLE ET COUPABLE

Gabriel Nerciat

-21/8/2025- D'après des hackers, certes de nationalité russe, membres du "groupe KillNet", qui ont réussi à pénétrer dans les données informatiques de l'état-major militaire ukrainien, l'Ukraine aurait perdu depuis le début de la guerre contre la Russie 1 million 700000 hommes (la plupart décédés ou disparus).
Si c'est vrai, c'est un chiffre supérieur à celui des soldats français morts au front entre 1914 et 1918.
Intox ou pas, on le saura un jour.
Mais si les chiffres de ce carnage sont confirmés, il faudra vivre désormais avec l'idée que les Européens (et les Britanniques, motion spéciale pour Boris Johnson) en sont les premiers responsables.
Sans l'appui financier et idéologique forcené qu'ils ont fourni à Zelensky en plus de l'appui logistique offert par l'administration Biden, l'effort de guerre kiévien n'aurait pu durer aussi longtemps, ou au minimum aurait dû être rationnellement interrompu après l'échec sans alternative de la contre-offensive ukrainienne de l'été 2023.
Ceux qui persistent à plaider pour que la guerre perdue de l'OTAN continue encore un an ou deux, qui plus est avec l'argent de nos impôts détourné par l'UE, devront à l'avenir être considérés et nommés comme les auteurs à la fois coupables et responsables de ce bain de sang.
Macron et les macroniens au premier chef, mais pas que.

20 août 2025

TOUS NOS GUIGNOLS EXIGENT UNE PAIX AUX CONDITIONS DU VAINCU !

Jacques Guillemain

-19/8/2025- Il faudra que Trump leur explique que c’est Poutine qui a gagné cette guerre.
Ils se croient tous encore en 1990, quand l’URSS était exsangue. Ils n’ont toujours pas réalisé qu’en 25 ans, Poutine a reconstruit non seulement son armée, mais tout son pays, le nettoyant des crapules sans foi ni loi qui l’avaient mis en coupe réglée après la chute du Mur.
Ils sont tous là : Macron, Meloni, Merz, Starmer, Stubb, Tusk, et von der Leyen. Ils font bloc derrière Zelensky, espérant peser dans le débat alors que Trump et Vance les méprisent, pour la plupart.
C’est assez sidérant. Tous les russophobes d’Europe exigent une paix aux conditions du perdant.
Donc, pas de concessions territoriales, pas de désarmement de l’Ukraine au nom de sa souveraineté, l’adhésion à l’OTAN ou à l’UE se fera selon les vœux du peuple ukrainien et non pas ceux du Kremlin. On continue d’armer l’Ukraine et d’alourdir les sanctions. Leur programme, c’est 50 ans de guerre froide supplémentaires.
C’est la paix, version Londres, Paris et Berlin, avec l’appui de leurs acolytes. Les vaincus tapent du poing sur la table en demandant à Trump d’en faire autant !
Le 16 août, les dirigeants européens hostiles à tout rapprochement avec la Russie et opposés à toute concession à Poutine ont publié un communiqué commun dont voici l’essentiel :
« Mettre fin aux tueries en Ukraine et mettre un terme à la guerre d’agression menée par la Russie et parvenir à une paix juste et durable. »
La guerre d’agression de Poutine ?
Tout le monde espère la fin des tueries. Mais ce n’est pas la Russie qui a renversé le régime prorusse en place à Kiev en 2014. C’est la CIA. Ce n’est pas Poutine qui a mené la guerre contre les populations russes du Donbass pendant huit ans, guerre qui a fait 15.000 morts. Poutine n’a fait que voler au secours du Donbass qui appelait à l’aide.
« Nous réaffirmons clairement que l’Ukraine doit bénéficier de garanties de sécurité inébranlables pour défendre efficacement sa souveraineté et son intégrité territoriale. »
Les garanties de sécurité pour toute l’Europe, il y a bien longtemps que Poutine les réclame. Son ultime tentative pour éviter la guerre a été effective en décembre 2021. Mais Américains et Européens, qui voulaient cette guerre, lui ont ri au nez.
Quant à l’intégrité territoriale, parlons-en :
– la simple autonomie du Donbass, sans concession territoriale, aurait évité la guerre. Mais Kiev a fait le choix d’enterrer les accords de Minsk de 2015.
– l’annexion de la Crimée russe en 2014, ce n’est que la juste réponse de Poutine au dépeçage de son alliée la Serbie, amputée par la force otanienne de la province du Kosovo, au mépris le plus total du droit international.
« Aucune restriction ne doit être imposée aux forces armées ukrainiennes ni à leur coopération avec des pays tiers. La Russie ne peut avoir de droit de veto sur le chemin de l’Ukraine vers l’Union européenne et l’OTAN. »
En 35 ans, l’OTAN est passée de 16 à 32 membres. Cinq pays de l’Alliance entreposent encore sur leur territoire des armes nucléaires américaines. L’Occident n’a jamais accepté la fin de la guerre froide et les Européens le confirment aujourd’hui par leur refus de négocier.
« Notre soutien à l’Ukraine se poursuivra. Nous sommes déterminés à renforcer nos efforts pour maintenir l’Ukraine forte, afin de mettre fin aux combats et d’aboutir à une paix juste et durable. »
C’est bien un refus de leur défaite qu’expriment les Européens, totalement inconscients de la puissance militaire russe. Poutine n’a jamais décidé d’une mobilisation de masse. Il pourrait aligner 20 millions de soldats face à une Europe désarmée. Aboyer comme des roquets ne sert à rien.
C’EST UN PAYS MAFIEUX ET CORROMPU QUE L’EUROPE SOUTIENT ET AMBITIONNE D’ACCUEILLIR.
Combien de milliards se sont évaporés vers les comptes offshore des oligarques ? Combien de « généreux » donateurs occidentaux ont bénéficié de très juteuses rétrocommissions ? Beaucoup passent à la caisse pendant que le peuple est saigné à blanc.
NOUS APPROCHONS LES DEUX MILLIONS DE MORTS ET BLESSÉS CÔTÉ UKRAINIEN. Évidemment, ce sont là les chiffres de l’historien militaire Marc Legrand, pas ceux de Zelensky qui divise tout par dix, tout en clamant que les Russes perdent 2000 soldats par jour.
À ce jour, les positions russe et ukrainienne sont irréconciliables.
Par conséquent, si le refus des réalités militaires perdure dans le camp européen, il est clair que Poutine n’aura plus qu’une solution : poursuivre la guerre jusqu’à la capitulation de Kiev.
Mais combien de vies faudra-t-il encore accepter de sacrifier en attendant la paix ?
L’Europe serait mieux inspirée de se préparer à une guerre civile, compte tenu de l’inexorable montée de l’islamisme qui poursuit son djihad, plutôt que de combattre un peuple européen, blanc et chrétien. Mais nos dirigeants sont des irresponsables, inconscients des vraies menaces, menant leur petite guerre personnelle contre le Tsar, par pure russophobie. L’histoire jugera.

Paul Dupert

-20/8/2025- L'affaire Permanove c'est vraiment la fin du rêve internet. Au début des années 2000, on imaginait un monde kantien de webonautes curieux, se transmettant des papiers scientifiques en un clic, lisant des papiers de philosophie sur des blogs spécialisés, bénéficiant d'un accès incommensurable au meilleur de la culture, aux films d'Eisenstein et aux livres du 19ème siècle en pdf.
Résultat : trois sadiques ahuris bolossent en live deux baptous fragiles, dont un handicapé.
Et personne n'échappe au Zeitgeist, à l'esprit sadique du temps, car ceux qui, compréhensiblement choqués, s'indignent de l'affaire, appellent à commettre les pires sévices sur les trois streamers, et espèrent, évidemment, qu'ils ramasseront la savonnette le plus tôt possible.
C'est la leçon d'Orange mécanique : les individus violents sont les produits du monde violent, et quand, confronté à ce qu'il peut produire de plus spectaculaire, il croit s'en tirer en désignant et en appelant à l'extermination des monstres, il dévoile sa propre violence, latente, souvent, explosive, parfois.
500 000 abonnés à leur chaîne : les streamers, qui manifestement, n'avaient pas que l'amour à s'offrir en partage, ne sont que la face immergée de l'iceberg. L'écume de l'utilisation d'internet.
Ça manque d'un Victor Hugo naïf et "social" dans le débat, pour rappeler que les monstres d'une société sont le produit de la société.
Bien sûr, l'immense majorité des gens seraient bien incapables de pareilles séances de sadisme. Mais qu'on leur donne l'occasion de gagner 10 000 euros par mois pour se faire, et on en reparle !
Banalité du mal. Elle avait pas tort, Arendt. Il avait pas tort, Kubrick.
Isabelle Lagny
20/8/2025

Mon expérience avec la GRIPPE SAISONNIÈRE

J'ai attrapé la grippe en 1969. J'avais 8 ans. La vraie. Mon cerveau allait plus vite avec la fièvre. Je faisais mes devoirs au lit. J'ai eu des antibiotiques (et pas de Doliprane). J'ai été parfaitement guérie.
Par la suite je n'ai JAMAIS été vaccinée contre la grippe, car à mon travail (médecin) je constatais que la majorité des vaccinés s'enrhumait immédiatement après l'injection.
De plus je serrais la main de tous mes patients de médecine du travail (des milliers), même l'hiver. Je n'ai jamais été malade de la grippe depuis 1969 alors qu'il est très probable que par le contact des mains et en embrassant systématiquement mes amis, j'ai fréquenté plusieurs virus grippaux à petite dose au cours de ces trente années d'activité.
Je m'en défendais naturellement grâce à mon alimentation suffisamment variée et équilibrée j'imagine.
Ce que j'ai appris récemment :
Avec l'âge il faut stimuler son immunité naturelle car elle diminue. Prendre des compléments alimentaires tels que la vitamine D, du magnésium et du Zinc pour une action efficace sur l'immunité.
Faire doser son taux de vitamine D dans le sang pour ajuster la posologie : il faudrait essayer d'arriver vers 80 ng/ml pour une efficacité réelle sur l'immunité. Le dosage sanguin n'est pas remboursé par la sécurité sociale en Macronie. Ça coûte environ 15 à 23 euros selon les labos. Mais se supplémenter en vitamine D, c'est le rempart le plus efficace contre les infections virales et bactériennes. Alors on se fait ce cadeau à la rentrée ? Prix d'un plat au restaurant. Et on prend des ampoules (à demander à son médecin) ou des gouttes de vitamine D3 accessibles sans ordonnance (exemple sur la photo).
Infos officielles sur le VIDAL pour la vitamine D :
Vitamine D - Complément alimentaire - VIDAL https://share.google/QtR1XETFPVgFxXWbw

Monique Plaza

-20/8/2025- L’une des méthodes les plus efficaces pour détruire une langue, c’est de réduire sa richesse lexicale, syntaxique, sémantique et pragmatique à l’oral et à l’écrit. La complexité de la pensée et sa liberté d’exercice en pâtissent gravement.
Les "nouveaux théoriciens de la pédagogie" qui sévissent depuis des années ont parfaitement rempli leur mission de destruction dans l’école publique française. Sous le prétexte de ne pas "stigmatiser" les enfants les plus en difficulté et de ne pas "imposer" aux enfants des apprentissages fondamentaux, ils ont mis en cause les méthodes éprouvées, les ont remplacées par des méthodes approximatives ne tenant aucun compte des connaissances acquises sur le développement cognitif de l’enfant.
Sur ce plan là aussi, la France a été attaquée de l’intérieur.

Marc Amblard
20/8/2025

USA
Le président Trump s'apprête à signer un décret interdisant le vote par correspondance, devenu disproportionné, ainsi que les machines à voter, trop facilement manipulables.
Les démocrates y sont totalement opposés.
Une bataille judiciaire se profile et elle sera aussi passionnante qu'incertaine.

Faut-il rappeler que les États-Unis sont le seul pays au monde à recourir massivement au vote par correspondance. Les autres y ont renoncé en raison des fraudes électorales massives constatées.
On sait également que les États démocrates y ont bien plus recours que les États républicains (les chiffres officiels sont disponibles en ligne). Il est donc assez logique que la gauche américaine cherche à maintenir en place un système dont elle a largement bénéficié. Surtout depuis la période Covid qui a fourni un prétexte pour promouvoir ce type de scrutin hors contrôle (69% des voix « exprimées » en novembre 2020).
On saisit alors toute l’importance des enjeux que présente un tel décret. Cependant sa légalité pose question.
Les 50 États seront-ils contraints de le respecter ?
NON (a priori). Pourquoi ? Parce que les États sont « indépendants » et la Constitution donne à chacun le droit d'organiser ses propres élections.
MAIS… (vous allez voir, c’est subtil) le vote par correspondance favorisant la fraude, chaque faux bulletin annule in fine un bulletin valide. Autrement dit, si je vote légalement pour un candidat républicain et qu’un faux bulletin est produit au profit du candidat démocrate, ma voix est neutralisée. Je suis donc de facto privé de mon vote. Et ça, c’est clairement une violation des droits civiques…
Or, il est de la compétence du gouvernement fédéral (Maison-Blanche) de garantir les droits civiques de chaque citoyen américain. C’est clairement stipulé dans la Constitution.
Nous allons donc assister à une série d’actions judiciaires destinées à attaquer et invalider le décret Trump. Les avocats constitutionnalistes vont pouvoir s’en donner à cœur joie. Nul ne peut prédire la décision finale des juges. Mais, à tout le moins, le débat sur la fraude électorale est désormais ouvert et ça, c’est une bonne chose car aucun pays ne peut se prévaloir d’être une démocratie sans un système d’élections sûres et honnêtes.

19 août 2025

René Augras
18/8/2025

Zelensky était attendu à la Maison-Blanche non pas pour des pourparlers de paix, mais pour répondre des laboratoires biologiques, des milliards manquants et des réseaux mondialistes que Trump vient de révéler derrière la guerre en Ukraine !
 
Aujourd'hui, 18 août 2025, l'histoire s'écrit à la Maison Blanche. Le président Donald J. Trump ne rencontre pas Volodymyr Zelensky d'égal à égal, ni comme un partenaire. Il l'affronte comme le porte-étendard d'un projet mondialiste en déclin, qui a drainé des milliards, fait couler le sang à travers l'Europe et servi de base à l'une des plus grandes opérations de blanchiment d'argent des élites de l'histoire moderne.
Cette réunion n'a pas pour but d'instaurer une paix superficielle. Il s'agit de révéler qui tient réellement les ficelles – et ces ficelles sont en train de se rompre.

LA VÉRITABLE RAISON DE LA RÉUNION

Trump a déjà dévoilé son jeu en Alaska lors de sa rencontre avec Vladimir Poutine. Pour la première fois depuis des années, la Russie et les États-Unis se sont entretenus sans l'Ukraine. Ce seul fait a terrifié les élites. Pourquoi ? Parce que l'Ukraine a été leur poule aux œufs d'or : une plaque tournante pour les laboratoires biologiques, le trafic d'armes, les filières d'exploitation des enfants et d'interminables caisses noires déguisées en « aide ».
Des milliards d'argent public ont disparu dans des budgets secrets, des sociétés écrans et des comptes offshore. Des bureaucrates de Bruxelles aux initiés de Washington, tous se sont nourris du cadavre de l'Ukraine.
Maintenant, Trump les coupe. C'est pourquoi Zelensky a été traîné ici aujourd'hui, flanqué de Macron, von der Leyen, Merz, Rutte et des technocrates de l'UE : ils ne sont pas là pour protéger l'Ukraine. Ils sont là pour se protéger eux-mêmes, pour supplier Trump de ne pas faire s'effondrer le système qu'ils ont bâti sur des mensonges.

LA FAIBLESSE DE ZELENSKY RÉVÉLÉE

Zelensky a été présenté comme un héros de guerre, mais son masque tombe. Ses appels à l'adhésion à l'OTAN, son fantasme de « restauration » de la Crimée, son exigence de garanties du type de l'article 5 : tout cela n'est que du théâtre. Sans l'Amérique, l'Europe est impuissante. L'OTAN sans Trump est un cadavre. Et tout le monde dans cette salle le sait.
Trump a déjà dit la vérité : la Crimée a disparu. Le Donbass ne reviendra jamais. Le rêve ukrainien d’adhérer à l’OTAN est mort. Ce n’est pas une « proposition », c’est la réalité. Zelensky peut bien crier à la souveraineté, mais Trump s’en tient aux faits, pas aux fantasmes.
Derrière les caméras, des rumeurs circulent selon lesquelles le gouvernement de Zelensky est fracturé. Ses généraux en ont assez de voir leurs soldats mourir pendant que les élites occidentales sirotent du champagne à Bruxelles et à Davos. Ses soutiens oligarques craignent Trump car ils savent que leurs comptes offshore – engraissés par l'« aide » – sont tracés. Le régime de Kiev tout entier est une marionnette, et la main du marionnettiste glisse.

POURQUOI "LES ÉLITES" PANIQUENT ?

Il ne s'agit pas seulement de l'Ukraine. Il s'agit du système financier mondial que les élites ont enchaîné à la guerre. Chaque dollar d' "aide" était conditionné par les conditions du FMI, les marchés obligataires européens et les pots-de-vin versés aux entreprises de défense. Avant son effondrement, l'administration bidon de Biden utilisait l'Ukraine comme un canal de blanchiment. L'UE s'en est servie pour justifier le déploiement de l'identité numérique, l'augmentation des dépenses militaires et les campagnes de censure contre sa propre population.
Trump coupe désormais le pipeline. Il démantèle leur machine pièce par pièce.
C'est pourquoi ils ont envoyé les dirigeants européens à Washington aujourd'hui. Non pas pour soutenir Zelensky, mais pour s'opposer à Trump. Ils craignent que Trump et Poutine, en contournant leur prétendue « unité », ne mettent en place un cadre qui les rendrait insignifiants. Macron, Merz, von der Leyen, Rutte : ce ne sont pas des alliés, ce sont les administrateurs désespérés d'un empire en voie d'effondrement.

LES OMBRES MILITAIRES DERRIÈRE TOUT CELA

Des sources proches du renseignement militaire américain ont laissé entendre que la réunion d'aujourd'hui ne portait pas uniquement sur la politique. Il s'agissait de garanties de sécurité qui contournaient totalement l'OTAN. Imaginez : une coalition directe dirigée par les États-Unis, hors de l'OTAN, proposant des « forces de maintien de la paix » après un cessez-le-feu. C'est l'enterrement discret de l'OTAN, joyau de la couronne du contrôle des mondialistes.
Plus grave encore, des rumeurs émanant du Pentagone suggèrent que l'équipe de Trump a la preuve que des armes de l'OTAN sont détournées d'Ukraine vers le marché noir, aboutissant en Afrique et au Moyen-Orient, alimentant le chaos là où les élites souhaitent l'instabilité. Si ces preuves font surface, la crédibilité de l'OTAN sera détruite du jour au lendemain.

LA VUE D'ENSEMBLE

Cette réunion d'aujourd'hui est le cauchemar des mondialistes. Ils voient leur projet ukrainien leur échapper. Ils voient Trump dénoncer leurs laboratoires biologiques, leurs milliards volés, leurs réseaux de trafic. Ils voient Poutine s'asseoir avec Trump à leur place.
Zelensky n'est pas à Washington en tant que leader fort. Il est ici comme un pion introduit sur l'échiquier tandis que les véritables acteurs – Trump et Poutine – redessinent la carte. Les Européens s'accrochent à lui, non pas parce qu'ils croient en lui, mais parce que sans lui, tout leur discours s'effondre.
Le 18 août 2025, Zelensky apprend qu'il n'est plus le chouchou de l'Occident. Il est un handicap. Et Trump, campant sur ses positions à la Maison-Blanche, le dit clairement : " la machine de guerre s'éteint, le blanchiment d'argent des élites est terminé, et ceux qui tirent les ficelles derrière Kiev sont démasqués."
L'illusion se brise. Trump tient le marteau. Et aujourd'hui, il l'a porté droit au cœur de la plus grande escroquerie de l'élite mondiale.

Gabriel Nerciat
19/8/2025

CE QUE TRUMP ET ZELENSKY SE SONT DIT
 
- Voilà, tu piges ou pas ? C'est soit la carte et toi, soit la carte sans toi, soit toi sans la carte mais sans mes satellites et mes missiles aussi.
- Je sais pas lire une carte, président, je sais pas. Je sais planquer mon fric aux Caïmans, péter avec mon cul, lécher le vôtre, filer des armes à mes copains, mais les cartes, non, je peux pas ; ça me donne la migraine. Les cartes, c'est fasciste : dès qu'on en lit une, on se croit attaché quelque part.
- Tu n'as pas de chance. Moi c'est la carte qui m'intéresse ; toi je m'en fous. Regarde : il te reste 75% de ton pays, tu gardes Odessa, Dnipro et Kharkov que les Russes pourraient revendiquer autant que Donetsk ou Marioupol, et Poutine est même prêt à te laisser le nord du Dniepr avec Kherson et Zaporijia. Pourquoi tu veux vraiment me casser les burnes ? Qu'est-ce qu'il te faut de plus ? Tu t'en fous du Donbass, et tes patrons mafieux n'auront pas les terres rares que j'ai déjà préemptées.
- Je m'en fous de la carte, président. Ce ne sont pas vos burnes qui sont en cause, ce sont les miennes. Mes copains ukronazis vont me buter si je cède quoi que ce soit.
- Eh bien, alors, tire-toi de ce cloaque, et ne me fais plus chier. Je t'offre un casino en Cornouailles, si tu veux, avec les meilleurs gardes du corps. En prime je t'enverrai cet abruti de prince Harry pour faire croupier avec sa grue ; comme ça je fais d'une pierre deux coups. Sois sympa : dis oui !
- Aaaah, président, non. En Cornouailles il pleut, et Charles va m'inviter à herboriser tous les jours.
- Tu m'emmerdes. Je te livre à Poutine avant quinze jours si tu continues à chouiner. Des minables comme toi, j'en ai treize à la douzaine, si je veux, dans les cafés-concerts de Kiev. Si tu ne prends pas ma carte, tu iras jouer du cul chez Ursula ; ça te fera les pieds. Maintenant, j'ai faim. Ferme-la. Il faut que je donne la tétine à Macron.

Gastel Etzwane
18/8/2025

Ma réaction à la déclaration délirante de Macron selon laquelle « la guerre est revenue sur le territoire » :
 
1. Une dramatisation délirante et dangereuse
Affirmer que « la guerre est revenue sur le territoire » est une phrase totalement disproportionnée et mensongère. La France n’est pas en guerre, et aucune armée étrangère n’a franchi ses frontières. Une telle exagération ne relève plus de la lucidité mais d’un discours de panique entretenue pour justifier toujours plus de restrictions, de militarisation et de contrôle.

2. Un isolement pathologique
Alors que les grandes puissances – États-Unis, Russie, Chine, Turquie, Inde – multiplient les canaux de négociation et cherchent à stabiliser la situation en Ukraine, Macron choisit l’escalade verbale. Là où d’autres parlent d’accords de paix, lui ne parle que d’armement, de mobilisation, de guerre. C’est le signe d’une rupture avec la réalité géopolitique et diplomatique, et d’une dérive obsessionnelle.

3. Un bilan national désastreux
Depuis plus de sept ans, il a démontré sa capacité à abîmer la France :
• fracture sociale (Gilets jaunes, réformes imposées au mépris du peuple),
• gestion calamiteuse de la pandémie,
• destruction du pouvoir d’achat,
• soumission aux intérêts extérieurs au détriment de la souveraineté nationale.
Et aujourd’hui, il voudrait ajouter la psychose guerrière à la longue liste de ses méfaits.

4. Un président haï comme aucun autre
Rarement un chef d’État français aura été autant rejeté par son peuple, mais aussi méprisé à l’étranger. Il n’inspire ni respect, ni confiance, ni admiration. Partout, il est perçu comme un pantin arrogant, coupé des réalités, dont l’image ne cesse de ternir la place de la France dans le monde.

5. Un danger pour la nation
Quand un dirigeant perd tout sens de la mesure, qu’il entretient le climat de peur et se prend pour un chef de guerre sans avoir ni l’assise militaire, ni la légitimité populaire, il devient un danger pour son propre pays. Sa volonté de projeter la France dans des logiques guerrières alors qu’aucune menace directe ne la frappe montre une dérive psychologique préoccupante.
Emmanuel Macron n’est pas seulement un président impopulaire : il est devenu le symbole d’un dérèglement politique et mental inquiétant. Un homme qui fabrique des guerres imaginaires, qui instrumentalise la peur et qui s’accroche au pouvoir malgré son rejet massif. À ce titre, il est sans doute le dirigeant le plus nuisible qu’ait connu la France moderne, et il est urgent que cette spirale cesse avant qu’il n’entraîne la nation entière dans son délire.