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19 août 2025

René Augras
18/8/2025

Zelensky était attendu à la Maison-Blanche non pas pour des pourparlers de paix, mais pour répondre des laboratoires biologiques, des milliards manquants et des réseaux mondialistes que Trump vient de révéler derrière la guerre en Ukraine !
 
Aujourd'hui, 18 août 2025, l'histoire s'écrit à la Maison Blanche. Le président Donald J. Trump ne rencontre pas Volodymyr Zelensky d'égal à égal, ni comme un partenaire. Il l'affronte comme le porte-étendard d'un projet mondialiste en déclin, qui a drainé des milliards, fait couler le sang à travers l'Europe et servi de base à l'une des plus grandes opérations de blanchiment d'argent des élites de l'histoire moderne.
Cette réunion n'a pas pour but d'instaurer une paix superficielle. Il s'agit de révéler qui tient réellement les ficelles – et ces ficelles sont en train de se rompre.

LA VÉRITABLE RAISON DE LA RÉUNION

Trump a déjà dévoilé son jeu en Alaska lors de sa rencontre avec Vladimir Poutine. Pour la première fois depuis des années, la Russie et les États-Unis se sont entretenus sans l'Ukraine. Ce seul fait a terrifié les élites. Pourquoi ? Parce que l'Ukraine a été leur poule aux œufs d'or : une plaque tournante pour les laboratoires biologiques, le trafic d'armes, les filières d'exploitation des enfants et d'interminables caisses noires déguisées en « aide ».
Des milliards d'argent public ont disparu dans des budgets secrets, des sociétés écrans et des comptes offshore. Des bureaucrates de Bruxelles aux initiés de Washington, tous se sont nourris du cadavre de l'Ukraine.
Maintenant, Trump les coupe. C'est pourquoi Zelensky a été traîné ici aujourd'hui, flanqué de Macron, von der Leyen, Merz, Rutte et des technocrates de l'UE : ils ne sont pas là pour protéger l'Ukraine. Ils sont là pour se protéger eux-mêmes, pour supplier Trump de ne pas faire s'effondrer le système qu'ils ont bâti sur des mensonges.

LA FAIBLESSE DE ZELENSKY RÉVÉLÉE

Zelensky a été présenté comme un héros de guerre, mais son masque tombe. Ses appels à l'adhésion à l'OTAN, son fantasme de « restauration » de la Crimée, son exigence de garanties du type de l'article 5 : tout cela n'est que du théâtre. Sans l'Amérique, l'Europe est impuissante. L'OTAN sans Trump est un cadavre. Et tout le monde dans cette salle le sait.
Trump a déjà dit la vérité : la Crimée a disparu. Le Donbass ne reviendra jamais. Le rêve ukrainien d’adhérer à l’OTAN est mort. Ce n’est pas une « proposition », c’est la réalité. Zelensky peut bien crier à la souveraineté, mais Trump s’en tient aux faits, pas aux fantasmes.
Derrière les caméras, des rumeurs circulent selon lesquelles le gouvernement de Zelensky est fracturé. Ses généraux en ont assez de voir leurs soldats mourir pendant que les élites occidentales sirotent du champagne à Bruxelles et à Davos. Ses soutiens oligarques craignent Trump car ils savent que leurs comptes offshore – engraissés par l'« aide » – sont tracés. Le régime de Kiev tout entier est une marionnette, et la main du marionnettiste glisse.

POURQUOI "LES ÉLITES" PANIQUENT ?

Il ne s'agit pas seulement de l'Ukraine. Il s'agit du système financier mondial que les élites ont enchaîné à la guerre. Chaque dollar d' "aide" était conditionné par les conditions du FMI, les marchés obligataires européens et les pots-de-vin versés aux entreprises de défense. Avant son effondrement, l'administration bidon de Biden utilisait l'Ukraine comme un canal de blanchiment. L'UE s'en est servie pour justifier le déploiement de l'identité numérique, l'augmentation des dépenses militaires et les campagnes de censure contre sa propre population.
Trump coupe désormais le pipeline. Il démantèle leur machine pièce par pièce.
C'est pourquoi ils ont envoyé les dirigeants européens à Washington aujourd'hui. Non pas pour soutenir Zelensky, mais pour s'opposer à Trump. Ils craignent que Trump et Poutine, en contournant leur prétendue « unité », ne mettent en place un cadre qui les rendrait insignifiants. Macron, Merz, von der Leyen, Rutte : ce ne sont pas des alliés, ce sont les administrateurs désespérés d'un empire en voie d'effondrement.

LES OMBRES MILITAIRES DERRIÈRE TOUT CELA

Des sources proches du renseignement militaire américain ont laissé entendre que la réunion d'aujourd'hui ne portait pas uniquement sur la politique. Il s'agissait de garanties de sécurité qui contournaient totalement l'OTAN. Imaginez : une coalition directe dirigée par les États-Unis, hors de l'OTAN, proposant des « forces de maintien de la paix » après un cessez-le-feu. C'est l'enterrement discret de l'OTAN, joyau de la couronne du contrôle des mondialistes.
Plus grave encore, des rumeurs émanant du Pentagone suggèrent que l'équipe de Trump a la preuve que des armes de l'OTAN sont détournées d'Ukraine vers le marché noir, aboutissant en Afrique et au Moyen-Orient, alimentant le chaos là où les élites souhaitent l'instabilité. Si ces preuves font surface, la crédibilité de l'OTAN sera détruite du jour au lendemain.

LA VUE D'ENSEMBLE

Cette réunion d'aujourd'hui est le cauchemar des mondialistes. Ils voient leur projet ukrainien leur échapper. Ils voient Trump dénoncer leurs laboratoires biologiques, leurs milliards volés, leurs réseaux de trafic. Ils voient Poutine s'asseoir avec Trump à leur place.
Zelensky n'est pas à Washington en tant que leader fort. Il est ici comme un pion introduit sur l'échiquier tandis que les véritables acteurs – Trump et Poutine – redessinent la carte. Les Européens s'accrochent à lui, non pas parce qu'ils croient en lui, mais parce que sans lui, tout leur discours s'effondre.
Le 18 août 2025, Zelensky apprend qu'il n'est plus le chouchou de l'Occident. Il est un handicap. Et Trump, campant sur ses positions à la Maison-Blanche, le dit clairement : " la machine de guerre s'éteint, le blanchiment d'argent des élites est terminé, et ceux qui tirent les ficelles derrière Kiev sont démasqués."
L'illusion se brise. Trump tient le marteau. Et aujourd'hui, il l'a porté droit au cœur de la plus grande escroquerie de l'élite mondiale.

Gabriel Nerciat
19/8/2025

CE QUE TRUMP ET ZELENSKY SE SONT DIT
 
- Voilà, tu piges ou pas ? C'est soit la carte et toi, soit la carte sans toi, soit toi sans la carte mais sans mes satellites et mes missiles aussi.
- Je sais pas lire une carte, président, je sais pas. Je sais planquer mon fric aux Caïmans, péter avec mon cul, lécher le vôtre, filer des armes à mes copains, mais les cartes, non, je peux pas ; ça me donne la migraine. Les cartes, c'est fasciste : dès qu'on en lit une, on se croit attaché quelque part.
- Tu n'as pas de chance. Moi c'est la carte qui m'intéresse ; toi je m'en fous. Regarde : il te reste 75% de ton pays, tu gardes Odessa, Dnipro et Kharkov que les Russes pourraient revendiquer autant que Donetsk ou Marioupol, et Poutine est même prêt à te laisser le nord du Dniepr avec Kherson et Zaporijia. Pourquoi tu veux vraiment me casser les burnes ? Qu'est-ce qu'il te faut de plus ? Tu t'en fous du Donbass, et tes patrons mafieux n'auront pas les terres rares que j'ai déjà préemptées.
- Je m'en fous de la carte, président. Ce ne sont pas vos burnes qui sont en cause, ce sont les miennes. Mes copains ukronazis vont me buter si je cède quoi que ce soit.
- Eh bien, alors, tire-toi de ce cloaque, et ne me fais plus chier. Je t'offre un casino en Cornouailles, si tu veux, avec les meilleurs gardes du corps. En prime je t'enverrai cet abruti de prince Harry pour faire croupier avec sa grue ; comme ça je fais d'une pierre deux coups. Sois sympa : dis oui !
- Aaaah, président, non. En Cornouailles il pleut, et Charles va m'inviter à herboriser tous les jours.
- Tu m'emmerdes. Je te livre à Poutine avant quinze jours si tu continues à chouiner. Des minables comme toi, j'en ai treize à la douzaine, si je veux, dans les cafés-concerts de Kiev. Si tu ne prends pas ma carte, tu iras jouer du cul chez Ursula ; ça te fera les pieds. Maintenant, j'ai faim. Ferme-la. Il faut que je donne la tétine à Macron.

Gastel Etzwane
18/8/2025

Ma réaction à la déclaration délirante de Macron selon laquelle « la guerre est revenue sur le territoire » :
 
1. Une dramatisation délirante et dangereuse
Affirmer que « la guerre est revenue sur le territoire » est une phrase totalement disproportionnée et mensongère. La France n’est pas en guerre, et aucune armée étrangère n’a franchi ses frontières. Une telle exagération ne relève plus de la lucidité mais d’un discours de panique entretenue pour justifier toujours plus de restrictions, de militarisation et de contrôle.

2. Un isolement pathologique
Alors que les grandes puissances – États-Unis, Russie, Chine, Turquie, Inde – multiplient les canaux de négociation et cherchent à stabiliser la situation en Ukraine, Macron choisit l’escalade verbale. Là où d’autres parlent d’accords de paix, lui ne parle que d’armement, de mobilisation, de guerre. C’est le signe d’une rupture avec la réalité géopolitique et diplomatique, et d’une dérive obsessionnelle.

3. Un bilan national désastreux
Depuis plus de sept ans, il a démontré sa capacité à abîmer la France :
• fracture sociale (Gilets jaunes, réformes imposées au mépris du peuple),
• gestion calamiteuse de la pandémie,
• destruction du pouvoir d’achat,
• soumission aux intérêts extérieurs au détriment de la souveraineté nationale.
Et aujourd’hui, il voudrait ajouter la psychose guerrière à la longue liste de ses méfaits.

4. Un président haï comme aucun autre
Rarement un chef d’État français aura été autant rejeté par son peuple, mais aussi méprisé à l’étranger. Il n’inspire ni respect, ni confiance, ni admiration. Partout, il est perçu comme un pantin arrogant, coupé des réalités, dont l’image ne cesse de ternir la place de la France dans le monde.

5. Un danger pour la nation
Quand un dirigeant perd tout sens de la mesure, qu’il entretient le climat de peur et se prend pour un chef de guerre sans avoir ni l’assise militaire, ni la légitimité populaire, il devient un danger pour son propre pays. Sa volonté de projeter la France dans des logiques guerrières alors qu’aucune menace directe ne la frappe montre une dérive psychologique préoccupante.
Emmanuel Macron n’est pas seulement un président impopulaire : il est devenu le symbole d’un dérèglement politique et mental inquiétant. Un homme qui fabrique des guerres imaginaires, qui instrumentalise la peur et qui s’accroche au pouvoir malgré son rejet massif. À ce titre, il est sans doute le dirigeant le plus nuisible qu’ait connu la France moderne, et il est urgent que cette spirale cesse avant qu’il n’entraîne la nation entière dans son délire.

Marc Amblard

FALSTAFF ET SES LAQUAIS ou UNE BELLE SOIRÉE

Gabriel Nerciat

-19/8/2025- Des chefs d'État ou de gouvernement européens, cornaqués comme des collégiens en sortie scolaire par la médiocre Ursula von der Leyen et le grotesque Mark Rutte, tous réunis à Washington autour de Trump en mondiovision tels des subordonnés au garde-à-vous devant leur patron désinvolte, rivalisant sans pudeur de courtisanerie et de servilités oiseuses face à un homme que tous, à l'exception peut-être de Meloni, considèrent d'abord comme un imbécile dangereux.
Si c'est cela, la force de l'Europe, que tous les analystes inféodés à la doxa euro-atlantiste ont célébrée pendant 24 heures, alors que serait exactement sa faiblesse ? Bruno Tertrais ou Jean Quatremer devraient nous le dire un jour.
Il y a quelques semaines, von der Leyen capitulait en Écosse en moins de deux heures sur les droits de douane américains ; hier Trump, sans même hausser le ton comme en février dernier dans le Bureau Ovale, contraint tous ces valets sans consistance à renoncer à tout projet de cessez-le-feu préalable à la conclusion de son traité de paix, ainsi qu'à toute perspective future d'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN (dont Macron parlait encore à Brégançon il y a moins de 48 heures).
En prime, sans doute pour fêter l'avènement de l'Europe-puissance chère au nouveau chancelier teuton, les gnomes ont promis d'acheter pour 150 milliards d'armes américaines à l'intention de Zelensky - lequel semble plus que jamais sur un siège éjectable.
La décisive question des cessions territoriales de Kiev n'a certes pas été (encore) abordée publiquement, mais si Poutine a donné son accord à une rapide entrevue avec le caudillo ukrainien, c'est qu'elle est bel et bien à l'ordre du jour.
Bref, la fin de la tragi-comédie approche, et Falstaff en rit déjà.
On espère au moins que le dîner en fin de soirée était copieux et bien arrosé.

18 août 2025

Monique Plaza

-18/8/2025- Les pays européens, en devenant membres de l’UE, ont bradé leur souveraineté économique, politique et socioculturelle.
Pris dans un carcan réglementaire supranational de plus en plus rigide, ils sont entraînés dans un gouffre sans fond par des dirigeants corrompus et psychopathes adhérant aux idéologies les plus anti-démocratiques, liberticides et totalitaires, voire les plus mortifères.
Les mises en garde des protecteurs clairvoyants de France contre cette structure (dont de Gaulle, Mendès France ou Séguin) n’ont pas été entendues et le vote clair des Français a été trahi.
Le bilan est catastrophique et les "gueux" que nous sommes devenus sous cette emprise orwellienne en subissent, impuissants, les conséquences, pendant que les "élites" hors sol paradent d’une manière de plus en plus cynique, désinhibée.
Sur le plan géopolitique, l’UE accumule les erreurs de jugement et se trouve aujourd’hui à l’Est dans le camp des faiseurs de guerre, pratiquant une russophobie inculte et absurde, soutenant contre vents et marées un petit dirigeant ukrainien corrompu qui pratique en tee-shirt le génocide physique et culturel du peuple qui l’a élu.
L’atlantisme béat de l’UE lui vaut aujourd’hui une humiliation sur laquelle – soyons honnêtes – nous ne pleurons pas tant nous sommes en colère.

La caste dirigeante se porte bien et vous emmerde

H16
18/8/2025

Ce n’est pas parce que la France va mal que nos dirigeants devraient être anxieux.

Bien sûr, ils ont (pour certains fort confusément) compris que la situation est catastrophique, et certains se doutent que les jours de la République sont comptés mais ce n’est pas une raison pour se laisser abattre : il reste manifestement quelques mois, quelques années peut-être, pour en profiter largement.

C’est donc sans surprise qu’on a observé, cette semaine, une avalanche de nouvelles toutes aussi croustillantes les unes que les autres, montrant que la caste dirigeante a décidé d’ouvertement piller le pays sans plus aucune considération pour l’éventuel qu’en dira-t-on.


Pour certains, ce pillage n’est pas directement lié à la conjoncture, mais constitue plus une question d’habitude : entraînés dès le plus jeune âge à gaspiller, faire n’importe quoi sans jamais devoir rendre des comptes pour les erreurs commises, certains usent et abusent des institutions françaises dans une décontraction complète et ce n’est qu’à la faveur de leurs débordements les plus grossiers, impossibles à camoufler, qu’on apprend leurs frasques.

Le cas de Patrick Mignola peut servir d’exemple en la matière : le ministricule en charge des relations avec le Parlement (eh oui, ce bidule existe !) enchaîne les fêtes particulièrement bruyantes au sein de l’hôtel de Clermont dans lequel siège le ministère dont il a la charge. Bruyantes à tel point que les voisins, excédés, s’en sont ouverts à la police pour tapage nocturne, et que cette information a fini par trouver une place dans les colonnes du Canard enchaîné.

Pour le fils Mignola, bon sang ne saurait mentir : il avait amplement démontré ses capacités de branleur coûteux en plantant la société de son père, ce dernier faisant dans la faïence (celle dont on fait les carrelages que son entreprise vendait avec succès jusque dans les années 2000). De la faïence, le fils est passé à la faillite avec rapidité.

Une telle réussite méritait amplement un maroquin, n’est-ce pas ?

Quand ce n’est pas un ministère, c’est un comité, une commission ou un institut que nos élites pillent et sabotent.

Avec l’Institut National de l’Audiovisuel, le peuple français avait déjà connu le bénéfice fort douteux du passage d’Agnès Saal qui y avait détourné pour 40.000 euros de fonds public (et fut condamnée pour cela) sous forme de frais de taxi. Rassurez-vous, malgré cette probité problématique, l’énarque avait été recasée sans grand dommage pour sa carrière.

Pour l’INA, son remplacement ne se traduit pas vraiment par du mieux : à la morale discutable d’Agnès Saal succède celle, encore plus souple, de Laurent Vallet qui vient tout simplement de se faire serrer pour un achat de cocaïne, et tant qu’à faire, à un mineur. L’affaire, qui s’était déroulée en juillet, n’avait guère inquiété l’institution et son ministère de tutelle (celui de la Culture) qui n’a agi qu’une fois l’information largement relayée, plusieurs semaines plus tard, en août, par ces réseaux sociaux dont nos élites voudraient bien se débarrasser – avec ces affaires, on comprend pourquoi.


Encore une fois, rassurez-vous : une fois rapidement mis à pied, Laurent Vallet sera prestement remplacé par Agnès Chauveau, dont le calibre permet déjà de garantir que l’Institut est dans des mains d’une intégrité équivalente, puisque cette dernière avait été, on s’en rappelle, virée de Sciences Po pour plagiat.

Décidément, la constance avec laquelle, lorsqu’on gratte un peu les différentes affaires qui émaillent nos institutions, on voit dégringoler les foutriquets par grappes entières, ne cesse d’envoyer un message clair : il n’y en a pas un pour rattraper l’autre, et la cooptation des parasites entre eux finit par donner un tableau d’ensemble particulièrement frappant.

Tous les postes à responsabilité sont maintenant occupés par des irresponsables, dont la caractéristique essentielle se résume à former une caste capable seulement de se tenir fermement les coudes, de former une coterie dont l’intérêt ne s’aligne absolument plus avec celui du peuple dont ils ont récupéré la charge par ruse, par tromperie ou par abus de faiblesse.

Ce n’est même plus une dérive qui ne toucherait que les sous-fifres et les hauts fonctionnaires recasés ici ou là, puisque cette semaine a aussi démontré que le quatrième personnage de la République (par rang protocolaire), à savoir la Présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, agissait avec la même morgue vis-à-vis des deniers publics que les autres tâcherons précédemment cités.

Il apparaît en effet que, selon un article du Canard enchaîné (qui semble en veine d’enquiquiner la Macronie actuellement), cette dernière aurait demandé à la garde motorisée des CRS en charge de sa protection – et de celle de sa résidence au Vésinet – de nourrir ses poules.

Bien évidemment, l’affaire éventée, la Présidente s’est rapidement fendue d’un communiqué : les poules ont démenti. Circulez (sans brigade de motards), il n’y a rien à discuter. Et même si l’on démontre ainsi que ces poules sont mieux protégées que les églises, l’arbre en mémoire d’Ilan Halimi et la flamme du soldat inconnu, Braun-Pivet en a profité pour – c’est pratique – annuler la garde de son domicile, histoire de montrer à quel point elle était rigoureuse dans l’utilisation des fonds publics.


L’Occupant Intérieur a pris ses positions. Il a construit ses lignes de défense, par la propagande non-stop, l’infiltration des médias et des université, la corruption de la justice et des institutions. Il ne refusera aucun sacrifice du Peuple, ne reculera devant aucune vilénie, devant aucune abjection si cela peut lui apporter quelques bénéfices immédiats, quelque consolidation de son pouvoir.

Cette caste est maintenant composée pour moitié de saprophytes et pour moitié de coprophages acharnés et tous semblent se repasser les postes dans une sorte de farandole répugnante où c’est à celui qui pillera le plus fort, parasitera le plus profondément et se moquera du bien public le plus visiblement possible.

Oui, la caste se porte bien, et elle vous emmerde.


https://h16free.com/2025/08/18/81717-la-caste-dirigeante-se-porte-bien-et-vous-emmerde

Yann Bizien
18/8/2025

La France va mettre 67 ans à éponger sa dette Covid contre 7 ans pour l'Allemagne et 26 ans pour l'Italie. Nous allons également devoir contribuer à la reconstruction de l'Ukraine évaluée à 500 milliards d'euros, quand le Premier ministre ne sait toujours pas comment faire 44 milliards d'euros d'économies sur notre budget. Le duo Macron - Le Maire a laissé un fardeau énorme pour les générations à venir. La France ne peut plus soutenir un effort de guerre. Ceux qui vous affirment le contraire, vous mentent.

17 août 2025

Yann Bizien

-17/8/2025- Macron est déconnecté et en disgrâce et Donald Trump le sait puisqu'il estime que tout ce que dit le président Français est "insignifiant". Le président des États-Unis sait également que la France est surendettée, désindustrialisée, déclassée, submergée, fracturée, menacée de l'intérieur et le pays le plus violent en l'Europe. Il sait également que nos armées n'ont pas assez de munitions, que Macron a perdu les deux derniers scrutins, qu'il n'a pas de majorité à l'Assemblée nationale, qu'il n'est pas soutenu par l'opinion et qu'il ne pèse plus rien en France comme à l'international.