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28 août 2025

Joseph Huix

-26/8/2025- Notre ami Jean Pierre Colombies ancien patron de la police judiciaire parle aux policiers de la base.
Nous apprenons que le pouvoir politique est corrompu mais aussi les hauts cadres de la police ainsi que les cadres syndicaux de la police…
Il est temps de remettre de l’ordre dans notre pays la France.

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Catherine Moreau

-28/8/2025- Dans la France d'Emmanuel Macron, le Quai d'Orsay se mobilise pour importer en métropole des Gazaouis antisémites pro-Hitler logés par des directeurs d'établissements publics pour certains et employés par nos médias publics pour d'autres, mais se tait pour des intellectuels français, un écrivain, un journaliste retenus en otage en Algérie.
Abîme total.
Sidération vis-à-vis de ce qu'a fait le Président actuel de notre pays.
Enfin, pas vraiment.
Si je me tais sur ce réseau c'est bien parce que je ne suis en rien étonnée.
Dés l'annonce de sa candidature en 2016 pour la Présidentielle de 2017, j'ai dénoncé ses agissements et discours troubles (Alstom, son communautarisme, la culture, l'art français qui n'existent pas, son absence totale de sincérité avec ses "en même temps" permanents...).
En 2016 et 2017, j'avais partagé à plusieurs reprises le discours de Boualem Sansal du 14 décembre 2016 à la Fondation Varenne qui annonçait la trajectoire qu'allait suivre le Président.
Son premier mandat fut pour moi un cauchemar.
Le second est une tragédie.
Etrangement, ironie de l'histoire, en 2017, je m'étais positionnée pour le candidat qui avait mis la réduction de la dette et la lutte contre l'islamisme au centre de son programme.
Macron dés 2016-2017 aggravait la dette, vendait des fleurons industriels, sabordait notre agriculture, notre industrie nucléaire... et choisissait comme "conseiller" Y. Belattar qui manifestait aux côtés de Tariq Ramadan, et nommait à un obscur conseil élyséen sur l'Afrique la vice-présidente de Lallab, association soutenue par le violeur en série Tariq Ramadan.
Champion mon Frère.
En résumé, pour éviter les boules au ventre et des énervements devenus vains et inutiles, j'ai choisi le silence et la mise en parenthèse.
Ceux qui ont soutenu une personnalité double et insincère portent une responsabilité énorme dans ses deux mandats cauchemardesques.
Mais le cauchemar est ce que vivent enfermés dans les geôles de Tebboune Christophe Gleizes et Boualem Sansal (dont il doit se venger...) réduits au silence par son silence et son inaction alors que tous nos 23 (?!) consulats algériens en France auraient dû être réduits voire fermés depuis bien longtemps.
Qu'un Président français ait oser affirmer que la culture française n'existe pas explique son silence sur l'embastillement d'un écrivain et d'un journaliste français. On ne se bat pas pour ce que l'on considère ne pas exister.

Sarah Knafo
28/8/2025

Madame la Ministre,
Merci pour ce charabia sentimental. Maintenant, je vais vous répondre point par point.
1) Commençons par ce qui fera rire tous nos concitoyens : « la politique de la ville lutte contre l’insécurité, la déscolarisation, la saleté et le trafic de drogue. »
Alors, là, chapeau ! Vous venez imprudemment de dresser la liste de tous les domaines dans lesquels vous avez lamentablement échoué. Vous êtes ce cambrioleur qui laisse sa carte de visite sur les lieux de son crime. Depuis 1981, le trafic a explosé, la saleté a explosé, l’insécurité a explosé, la déscolarisation et l’analphabétisation ont explosé. Pourtant, les crédits de votre politique de la Ville ont, eux aussi, explosé. 117 milliards d’euros depuis 2010.
Un exemple : depuis 2014, 150 millions d’euros ont été injectés dans la réhabilitation du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère, un quartier de 2 300 personnes à peine (soit 65 000 euros par habitant !). Pour comparer, c’est la même somme qui fut promise par Gabriel Attal à la totalité des agriculteurs après leur légitime révolte. Et finalement ? Le quartier de la Monnaie est celui dont furent issus les assassins de Thomas…
2) Votre budget, parlons-en. Vous évoquez à dessein un chiffre de « 609 millions de crédits » à peine. Je dois vous avouer que je suis très étonnée : vous semblez n'avoir jamais lu le document de politique transversale (annexe loi de finances 2025) qui liste tous les crédits fléchés vers « les quartiers urbains défavorisés ». Vous êtes pourtant Ministre de la Ville… Ce document vous aurait appris que nous payons non seulement 549 millions pour le P147, mais encore 550 millions pour les infrastructures de transport, 573 millions pour l'accès et le retour à l'emploi, etc. etc. Le tout listé sur trois pages entières de crédits payés par notre argent, nous conduisant bien à 7,871 milliards d'euros par an pour la politique de la Ville. Donc soit vous ne lisez pas vos propres documents budgétaires, soit vous mentez à nos concitoyens. Dans tous les cas, grâce à vous, Juliette Méadel, ils découvrent qu’en sélectionnant une seule ligne comptable floue, les politiciens essaient toujours de leur mentir sur l’emploi véritable de leur argent. La vérité, c’est que la politique de la ville nous a coûté a minima 117 milliards d’euros de 2010 à 2023 d'après l’IFRAP, que ces crédits sont en augmentation constante, d’après la Cour des comptes, avec des résultats critiqués par l’ensemble de la classe politique.
Permettez-moi aussi de signaler un petit problème de logique dans votre raisonnement : si la politique de la ville coûtait vraiment 609 millions, et qu’en la supprimant, 6 millions de citoyens seraient « condamnés », cela signifierait qu’aujourd’hui, ils sont « sauvés » par 101,5 € chacun par an ? Soit la défaillance en mathématiques d’une ministre est alarmante, soit sa mauvaise foi est scandaleuse.
3) Les habitants de ces quartiers ne sont aucunement abandonnés, ils sont chouchoutés, choyés par l’Etat. Ils bénéficient d’avantages fiscaux, d’aides à l’embauche, de priorités diverses et variées, de contrats aidés, d’accès facilités aux prêts et aux financements publics, de subventions en tous genres, de programmes de formation spécifiques, d’un taux de logement social record, de milliards investis dans la rénovation urbaine, d’un meilleur accès à l’école et à la santé que les départements ruraux, d’installations culturelles flambant neuves, qui finissent parfois détruites en quelques mois, et j’en passe.
4) Pour ma part, je ne propose pas d’abandonner ces quartiers, je viens moi-même de Seine-Saint-Denis, je propose simplement de les traiter comme le reste de la France : nous avons une politique scolaire nationale, une politique de santé nationale, une politique de sécurité nationale. Pas d’exception, pas de privilèges. On replace la banlieue dans le droit commun. La République est censée être universelle : mêmes droits, mêmes devoirs, mêmes politiques pour tous. La politique de la ville crée l’inverse : un régime d’exception, une discrimination positive assumée, et des habitants qui n’ont aucun devoir, mais tous les droits. Cela ne peut pas fonctionner.
5) Madame la Ministre, si nous avons dépensé des milliards en pure perte et que la situation de ces quartiers ne cesse de se dégrader, c’est qu’il faut changer de logiciel. Même si vous êtes socialiste, vous devez comprendre que dépenser toujours plus ne sera jamais un gage de succès. Il faut donc opter pour une nouvelle politique, s’attaquant aux causes (l'immigration), davantage qu'aux effets. Qui a fait de nos quartiers populaires des zones de non-droit ? Votre socialisme. Qui a plongé le pays dans un marasme dont il désespère de sortir un jour ? Votre socialisme. C’est-à-dire vous, madame la ministre. Vous êtes personnellement comptable de toutes les erreurs, les fautes, les mensonges, commis par votre formation depuis quarante ans.
Vous m’accusez d’ignorance, de dogmatisme, de stigmatisation. Votre logorrhée n'a aucune prise : le réel est le réel, les faits sont les faits, et le peuple constate, et il note les noms de ceux qui l’ont trompé. Vous étiez inconnue au bataillon. Vous vous rêvez désormais célèbre.
Voilà les réflexions que vous auriez si vous pensiez vraiment à l’avenir de ces quartiers. Il semble, au contraire, que tout ce qui sort de votre bouche n’a qu’un but : protéger votre poste que vous allez perdre quand même dans dix jours.

27 août 2025

@IfopOpinion

68 % des Français favorables à la démission d’Emmanuel Macron

18/24 ans : 69 %
25/34 ans : 72 %
35/49 ans : 72 %
50/64 ans : 70 %
65 ans et + : 62 %

Artisans et ouvriers : 82 %
Chefs d’entreprise : 77 %
Actifs : 70 %
Inactifs : 66 % / Retraités 63 %
Cadres : 59 %


Finalement, Bayrou n’a été qu’une grosse perte de temps

H16
27/8/2025

Il était vaguement attendu, et, avec toute l’onctuosité d’un vieux cacique mou, Bayrou a parlé : le 8 septembre prochain, pour pousser son budget, il mettra l’avenir de son gouvernement en jeu devant les parlementaires.

Ah, décidément, rien de tel qu’une bonne louche de politique politicienne pour sauver un pays!


En effet, avec cette annonce, tout le monde s’accorde à dire que Bayrou met en place une sorte de « quitte ou double » dans lequel aucune des options (son départ ou son budget) ne satisfait personne. En outre, une fois l’annonce faite, les principaux partis (en l’occurrence, le RN, LFI, le PS notamment) ont clairement fait savoir qu’ils ne voteraient pas la confiance demandée, ce qui donne un très mince espoir au gouvernement actuel de rester en place.

Mais quelle que soit l’issue, on sait déjà que le peuple français vient de toute façon de perdre neuf mois.

Si Bayrou reste, le budget qui se mijote doucement n’apporte absolument aucune coupe ni redressement des finances et semble même accroître les problèmes déjà largement dénoncés.

S’il part (malgré s’être battu comme un chien pour supprimer des niches fiscales), non seulement le budget restera à faire, mais il faudra encore un mois pour désigner un nouveau gouvernement et un ou deux autres pour présenter un budget. Comme absolument aucune autre parti ne semble évoquer la moindre coupe franche dans les dépenses délirantes de l’État, on continuera donc à perdre du temps.

Parallèlement, les dépenses de l’État s’accumulent, les déficits se creusent vigoureusement, la dette continue d’enfler hors de toute proportion raisonnable (et même Bayrou l’a évoqué dans son pesant discours). Les marchés, déjà fébriles, vont continuer à montrer une nervosité croissante, aidant en cela Macron et sa clique à harper sur un « Nous ou le chaos » (l’andouille hystérique de Barrot a déjà commencé) leur permettant sans doute de faire pression sur un parlement bien plus intéressé par sa gamelle que par le sort du peuple français.


On l’a compris : tous, Macron comme Bayrou comme les autres partis, jouent la montre. Pour eux, la situation, aussi catastrophique soit-elle en réalité, ne justifie en rien de se presser pour trouver une solution. On peut faire durer le plaisir, Nicolas a payé jusqu’à présent, il peut encore continuer un moment.

Macron ne sert plus à rien au plan international mis à part prouver que l’universalisme fonctionne très bien à son encontre puisqu’il est maintenant universellement considéré comme un tocard. Sur le plan national, il n’a plus aucune portée et est méprisé par son peuple, seul un pourcentage risible croit encore en lui. Il ne peut plus influencer la vie politique du pays qu’au travers de la petite politique politicienne et, essentiellement, des jeux de calendrier comme celui auquel on assiste actuellement. De premier ministre nul en premier ministre impotent, on sent que le locataire de l’Élysée pense pouvoir tenir jusqu’en mai 2027, appliquant ici un « quoi qu’il en coûte » pour les autres avec une décontraction que seul les cuistres et les psychopathes peuvent déployer sans sourciller…


La suite de ce cirque dilatoire ? Elle va vous surprendre (ou pas).

Dans ce contexte, la manifestation de gauchistes prévue pour le 10 septembre, qui devait être l’occasion de rappeler que « Nicolas qui paie en a assez » va se transformer en « Faisons payer Nicolas encore un peu plus », exactement comme prévu.

Si Bayrou est finalement éjecté (ce qui est l’hypothèse la plus probable, mais pas encore certaine), gageons que son remplaçant sera encore plus insupportable. Or, si cette éviction se poursuit avec une dissolution, il n’est même plus impossible que le nouveau Premier ministre soit Marine Le Pen – révélant ainsi toute l’étendue de sa médiocrité en acceptant le poste – ou, pire encore, l’insipide Jordan Bardella, qui offrira à tous les autres partis l’occasion de carboniser le RN au pouvoir d’un pays en pleine déliquescence.

Du reste, une telle dissolution ne peut guère amener de changement drastique à la situation passablement bloquée que nous connaissons : soit le RN emporte une majorité suffisante, et la probabilité que ce parti ne continue pas la lancée socialiste du pays est à peu près nulle. Soit la situation reste globalement équivalente, avec l’alliance de carpes macronistes et de lapins socialo-écologistes pour une majorité qui ne tiendra pas plus d’un mois, et le pays continuera sur sa lancée socialiste.

Cette absence de changement fondamental pourrait bien déclencher une dégradation de la notation de la dette souveraine française par des agences de notation de plus en plus perplexe, pendant que le marché fera comprendre de toute façon que la situation n’est pas bonne en remontant les taux d’intérêt des OAT français.


Cette instabilité financière, couplée à cette magnifique instabilité politique et la belle pusillanimité de notre classe jacassante pourrait donner une occasion en or à Macron de pousser l’utilisation de l’article 16 de la Constitution, histoire de continuer son jeu de rôle du Chef de Guerre dont il n’est pas encore sorti.

Certes, ces dernières hypothèses ne sont pas les plus probables… Cependant, elles le sont toujours plus qu’une baisse des impôts pour tous les Nicolas, car oui, tout ceci, quoi qu’il arrive, va se traduire par une tempête de nouveaux prélèvements et de nouvelles fiscalités punitives.

Lorsque les choses vont mal, la denrée la plus précieuse est le temps. La France de Macron est exsangue de ressources humaines, de finances et maintenant, de temps. Nous avons perdu des décennies en choisissant le socialisme et en faisant perdurer un système social destiné à la banqueroute. Nous avons perdu des années avec des manœuvres politiciennes et électoralistes de bas étage, avec un centrisme du « En même temps » paralysant. Nous avons perdu des mois avec Bayrou.

À présent, nous risquons de perdre le pays.


https://h16free.com/2025/08/27/81825-finalement-bayrou-na-ete-quune-grosse-perte-de-temps

LA VRAIE FORCE DES CONS

Gabriel Nerciat

-27/8/2025- Une question m'assaille depuis longtemps : pourquoi Francis Lalanne, qu'absolument tout le monde décrit comme un imbécile planétaire patenté, saisit-il tout de suite, par exemple en matière de politique étrangère, ce que la plupart des analystes et commentateurs autorisés et surdiplômés ne parviennent toujours pas à comprendre après des années d'errement ?
Un doute me vient : et si les cons revendiqués étaient finalement bien plus malins, ou moins inhibés par rapport aux incongruités du réel, que tous ceux qui se croient un peu rapidement plus intelligents que la moyenne ?
Peut-être parce que certaines vérités sont trop aveuglantes et scandaleuses en même temps pour que leur révélation publique ou tonitruante ne finisse par ressembler à un acte d'impudeur qui effraie le type trop ouvertement épris de rationalité.
Reste que si j'étais Francis Veber, je tournerais un remake du Dîner de cons avec l'auteur-interprète de La Maison du bonheur dans le rôle de François Pignon (je l'ai vu une fois une scène avec Jean Piat, et ne l'avais pas trouvé mauvais du tout).
Je suis sûr que ça marcherait encore mieux qu'avec Jacques Villeret, et ferait un carton même en Pologne.


26 août 2025

Kuzmanovic Georges

-26/8/2025- La dette, nous dit François Bayrou, n’aurait pas été consommée par les gouvernements mais "dépensée pour protéger nos concitoyens". Étonnante confusion entre solidarité nationale et culpabilité collective. Qui sont les bénéficiaires des mille milliards de dette supplémentaires des deux quinquennats Macron ? Les Français qui comptent leurs euros à la fin du mois ? Les artisans étranglés qui mettent la clé sous la porte ? Les paysans écrasés par la concurrence étrangère ?
La réalité est simple : la dette, c’est l’euro et le libre-échangisme de l’UE. C’est la politique du franc fort pour entrer dans l’euro, puis l’euro surévalué qui ont condamné la France au chômage de masse, aux retraites anticipées, à la désindustrialisation et au creusement abyssal de notre déficit commercial. C’est le ruineux CICE inventé pour sauver artificiellement, par l’argent public, le peu d’activité productive que l’euro n’avait pas encore détruit. C’est la capitulation douanière et monétaire de nos dirigeants, pendant que les États-Unis dévaluaient volontairement le dollar. Voilà l’origine de la dette : elle finance notre déficit commercial, pas la prétendue "protection" du peuple.
C’est aussi l’Union européenne qui, par son marché de l’électricité, a sacrifié l’avantage compétitif de notre nucléaire pour plaire à l’Allemagne. C’est le libre-échange européen qui tue notre agriculture. Ce sont nos propres élites qui, depuis 50 ans, ont choisi la collaboration : collaboration monétaire, énergétique, agricole, industrielle. Fascinées par une Allemagne qui nous méprise, elles ont offert notre souveraineté et nos atouts sur l’autel d’une UE allemande, à la fois libérale et bureaucratique, impuissante et dictatoriale, et désormais même belligène.
Alors non, Monsieur Bayrou, ce n’est pas le peuple qui a "consommé" la dette. Ce sont des gouvernements successifs, des élites aveugles ou complices, qui ont trahi les intérêts de la nation. On ne gouverne pas impunément. Être chef, c’est assumer ses choix. Et c’est bien là que le drame français se trouve : dans des élites qui gouvernent contre leur peuple et qui, au moment du bilan, cherchent à lui faire porter la faute.
"On greffe de tout aujourd'hui : des reins, des bras, un coeur, sauf des couilles, par manque de donneurs" (Jacques Chirac - et je sais aussi qu'il fait partie des responsables, mais c'est un bon mot).
Les Français paient, les élites trahissent.
Macron et Bayrou c'est la quintessence des "élites" au pouvoir : coupables et jamais responsables !
Mais le politicard comme l'est Bayrou, s'il ne se sent jamais responsable, a souvent peur.
Bayrou, avec Macron, a choisi de soumettre son gouvernement au vote de confiance des députés à l'Assemblée nationale le... 8 septembre, car ils ont peur de la mobilisation populaire du 10 septembre.
L'un comme l'autre doivent démissionner !
On doit avoir une nouvelle classe politique, faite d'hommes et de femmes responsables et pourquoi pas qui ont montré leur compétence et leur responsabilité ailleurs. Les autres ont échoué.