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6 septembre 2025

Robert Kennedy

Les données de comparaison entre «vaccinés» et «non vaccinés» sont le plus gros piège statistique de cette pandémie.
Voici la tromperie :
Vous n'êtes PAS considéré comme «vacciné» avant deux semaines après votre deuxième injection. Pendant les six premières semaines, le vaccin est censé être inefficace. Les taux d'infection et de mortalité augmentent.
Mais tous ces décès sont attribués au groupe «non vacciné».
Cela crée une illusion d'efficacité élevée du vaccin pendant les deux premiers mois. Ensuite, la protection diminue considérablement.
Au bout de 7 mois, l’efficacité n’atteint pas seulement zéro : elle chute en territoire négatif.
Cela signifie que vous êtes plus susceptible de contracter le COVID que quelqu’un qui n’a jamais été vacciné.
Ce n'est pas une théorie. Ce sont des données, et elles se vérifient dans tous les pays du monde.
Ils nous ont vendu un bouclier temporaire qui nous rend finalement plus vulnérables, puis ils ont truqué les statistiques pour masquer le déclin.

Gilles La Carbona
5/9/2025

Sa guerre… ? Il n’y arrivera pas.

Macron veut sa guerre et il fait tout pour y parvenir. Derrière les gesticulations qui le secouent à intervalles réguliers, sans produire autre chose que du vent, il reste la menace réelle d’un dérapage dont il serait capable. Car l’homme est maintenant seul, et donc potentiellement encore plus dangereux. Que penser des déclarations faites avec son grand ami Zelensky sur l’envoi, une fois la paix signée, détail à ne pas négliger, de troupes en Ukraine ? Rien. D’abord parce que la réponse russe a été immédiate, c’est niet ! Ensuite parce que la grande cohésion européenne doit quand même faire face aux refus italien, et espagnol, à la réticence allemande. Ça commence à faire beaucoup non ? Sans compter les pays européens de l’Est, proches du front et pas très enthousiastes. La Russie n’acceptera qu’une chose, que l’Ukraine vaincue soit démilitarisée, ceci impliquera donc qu’aucune troupe étrangère ne stationne sur son sol.
Dans la foulée, la schizophrénie des sanctions a repris les deux hommes. C’est à se demander s'ils ne vivent pas dans une bulle, ou une faille temporelle. Dix-neuf paquets n’ont pas eu raison de la puissance russe, et ils auraient soudainement trouvé l’ultime, la plus efficace ! On croit rêver devant autant d’absurdité. La seule chose qui pourrait forcer le respect, si ce n’était pas le comble de la bêtise, c’est cette constance à rester sur cette ligne qui n’a prouvé qu’une chose, son inefficacité. Mais non, on insiste, c’est dire la vision stratégique qu’ils ont et surtout la pertinence des solutions qu’ils proposent. Ils raisonnent toujours comme si nous étions en 1950, des vieux dans des corps de jeunes : surprenant ! Ils sont nus, seuls et impuissants, mais refusent d’avouer qu’ils ont perdu. La réalité est inacceptable, donc ils la nient et se persuadent qu’un énième paquet de sanctions permettra de faire ce que dix-neuf n’ont pas réussi. C’est un peu comme les armes magiques. À chaque fois elles devaient renverser les situations sur le front. Il y a eu les chars Leopard, on allait voir ce qu’on allait voir… on a vu en effet. Les Russes avaient promis le même sort qu'à ceux du III Reich dans la célèbre bataille de Koursk en 1943, ils ont tenu parole. Ensuite il y a eu les F16, mais le front inexorablement recule au profit des Russes. La consigne en Occident demeure ferme, ne pas en parler, rejeter cette réalité, trouver des faux semblants pour minimiser l’avancée russe, et la situation de plus en plus critique des troupes ukrainiennes. Finalement ils avancent mais pas si vite, pas de percées flamboyantes, donc ça ne compte pas. Voilà ce que nous vendent les éditorialistes subventionnés.
Et pourtant l’Ukraine s’effondre, doucement, inexorablement, et plus la chute est longue à venir plus elle sera totale. Mais les stratèges européens ne l’entendent pas de cette oreille. Ils ont imaginé depuis le début un scénario dans lequel la Russie allait être économiquement asphyxiée et militairement défaite. C’est exactement l’inverse qui se produit. Chaque jour de nouveaux mensonges sont diffusés pour tenter de faire croire, non plus que l’Ukraine va gagner – sans l’avouer, ils n’ont plus les moyens de prétendre à un renversement de la situation –, mais que l’Europe va jouer un rôle important dans le traitement du conflit. La paix finira par arriver et elle se réglera sans eux. Ils se sont disqualifiés en confondant diplomatie et deal de quartier, où les menaces et les insultes ont pris le pas sur le dialogue et la géostratégie. La finesse des raisonnements est absente des rangs européens, et ça se voit. Macron a besoin de cette guerre pour faire croire à sa puissance, à son leadership européen et accessoirement effacer ses ardoises en les noyant dans la guerre... il en va de sa survie politique qui est mal engagée.
Contraint de dissoudre l’Assemblée nationale si Bayrou tombe le 8 septembre, sa position sera ébranlée à l’international, elle est déjà fortement inconfortable, d’autant que ses amis semblent le lâcher. Sarkozy en tête qui annonce déjà la couleur avec de futures alliances avec le RN. Mais Macron n’écoute personne, ne voit rien, il suit une feuille de route qui va d’échec en échec avec la violence du désespoir qui anime parfois les fins de règne… fait-il cela tout seul ou a-t-il des commanditaires ?
Autre erreur, celle d’avoir confisqué les avoirs russes et de s’en être servi, en le disant, pour armer l’Ukraine. Quel message donne-t-on au reste du monde en agissant de la sorte ? Tout simplement que laisser son argent en Europe est dangereux et qu’il vaut mieux investir ailleurs. Les Russes ne se sont pas pour autant affolés. Ils ont simplement dit qu’ils compenseraient ces pertes en prenant des terres… Ne sont-ils pas en train de nous dire qu’Odessa tombera dans l’escarcelle, privant l’Ukraine d’une façade maritime faisant de ce pays une nation sans intérêt économique. De plus ils ont suffisamment d’avoirs, notamment en livres sterling pour s’amuser aussi ! La raison a fui depuis trop longtemps le camp autoproclamé du bien, il n’y a guère que Meloni qui peut encore être écoutée par les grands de ce monde. Tous les autres se sont comportés comme des chefs de clan en lieu et place d’hommes d’État. En France, il reste à savoir ce que feront les parlementaires si Macron, furieux de voir Bayrou défait, décide seul pour l’Ukraine histoire de punir les Français de ne pas avoir été assez fous pour l’aduler et lui vouer un culte de la personnalité qu’il s’est ingénié à construire sans en avoir ni le talent ni l’envergure.


5 septembre 2025

Régis de Castelnau
5/9/2025

Rubrique : Séraphin Lampion

La « coalition des chihuahuas » a donc demandé à Macron d’aller japper dans le poste pour nous expliquer comment le trio s’était transformé en meute. 26 roquets ensemble dis donc !
« Vous allez voir ce que vous allez voir. On va aller faire de la réassurance en mettant en place des trouposols sur le territoire ukrainien. Mais attention, les trouposols on va les mettre par terre, sur l’eau et en l’air, non mais ! On n’a pas les soldats, pas les armes, pas le matos, on n’a plus les moyens de les produire, plus de pognon pour les acheter, mais c’est pas grave parce qu’on est super fort en « réassurance ». Meilleurs que Séraphin Lampion, vous savez celui des « Assurances Mondass ». Parce qu’en fait on a eu une super idée. Comme les Russes ont déclenché la guerre pour ne pas avoir l’OTAN à leur frontière, eh bien, après le cessez-le-feu qu’ils ont dit – un cessez-le-feu, c’était même pas en rêve avant un traité de paix prévoyant la neutralité de l'Ukraine –, on va leur recoller les trouposols de l’OTAN sur le terrain pour assurer la paix. Ça les moujiks, comment qu’ils vont pas être trop surpris par cette manœuvre tactique de grand style. Meilleurs que Sun Tzu, Clausewitz et Jomini réunis. »
Cliquer sur l'image (vidéo de 9 min 35 s) ↴

4 septembre 2025

Jak Umbdenstock

Kuzmanovic Georges
4/9/2025

Le mouvement du 10 septembre : Célérusses ! (évidemment)

La dette, la crise financière qui s’annonce, les crises migratoires, économiques et sociales, la criminalité, les grèves, la bureaucratie maladive, l’effondrement scolaire en France, la casse de l’hôpital public, la paupérisation, la crise du logement, la destruction de Nord Stream, les notes des agences de notation : c’est AUSSI les Russes !
(évidemment).
Par contre, si l’on ose dire que quelques milliardaires ont confisqué l’économie, verrouillé les médias et acheté une partie de la classe politique, là, miracle ! On devient automatiquement… un agent du Kremlin.
Et quand, depuis plus de quatre ans, on explique que la crise ukrainienne ne peut que renforcer stratégiquement la Chine, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre, que les BRICS progressent à grande vitesse pendant que l’Europe décline, que le néolibéralisme détruit nos États et sabote notre industrie, que les politiques de sanctions occidentales jouent contre nous et nous discréditent, que le projet néocon d'hégémonie occidentale sous bannière américaine est un échec total et qu’en plus on s’avise de chercher à comprendre pourquoi tout cela arrive… alors là, pas de doute : nous sommes AUSSI des agents du Kremlin.
(évidemment).
En fait, c’est facile d’être un expert toutologue de plateaux télés. C'est comme les médecins de Molière : à tous maux, un seul remède, une bonne saignée !
Sic transit gloria mundi.


LR ET LES CENTAURES

Gabriel Nerciat

-4/9/2025- Ce matin, au micro d'Apolline de Malherbe, Laurent Wauquiez a affirmé tranquillement qu'il ne censurerait pas un éventuel futur gouvernement de gauche (au nom de la stabilité institutionnelle, foi de coccinelle).
Même si cette déclaration est déjà en soi énorme, pratiquement personne ne l'a reprise ni commentée ; littéralement, tout le monde s'en fout – à part le pauvre Bruno Retailleau déboussolé qui s'est empressé, dans l'indifférence générale, de démentir le propos, démontrant ainsi qu'il n'exerce aucune autorité sur le parti qu'il prétend diriger.
Avant-hier, j'ai lu que les derniers sondages d'opinion créditent LR de 10% d'intentions de vote en cas d'élections législatives anticipées.
Mais franchement, même 10%, ça reste énorme, étant donné la somme des médiocrités, des trahisons et des échecs sans nombre que ce parti cadavérique a accumulés depuis sa création chiraquienne, avant de finir par se vendre en désespoir de cause à la Macronie.
D'ailleurs, chers contacts FB, vous en connaissez, vous, des électeurs LR ?
Je veux dire : des vrais, des militants nationaux, pas des fans de tel ou tel notable local genre le maire de Chalon-sur-Saône ou celui de Cannes, d'ailleurs eux-mêmes en rupture de ban avec leur parti.
A mon avis, on a bien plus de chance de rencontrer un centaure, comme dans le dernier film de Jean Cocteau.
Un être mi-homme mi-cheval a plus de probabilité d'être qu'un ilote orléaniste ou démocrate-chrétien qui se fait complaisamment chevaucher par un social-démocrate macronien.

3 septembre 2025

Accueillir 100 000 blessés de quoi ?

Gilles La Carbona

-2/9/2025- Sur ordre de Macron, paraît-il, les hôpitaux sont sommés de se préparer à recevoir des milliers de blessés de guerre. L’info a été relayée plusieurs fois et ne paraît pas être une fausse nouvelle. Soit, mais on a le droit de rester dubitatif tant ces dernières années les lits ont été supprimés et au plus fort de la crise Covid, la capacité d’accueil s’est révélée très insuffisante. Même s’il y a eu une intox fabuleuse sur le volume des hospitalisations Covid qui se sont révélées, après coup, situées autour de 2 à 5 % de l’activité générale. Depuis, la situation s’est continuellement détériorée. Les désirs du pouvoir semblent une fois de plus relever du fantasme, plus que de la réalité. Macron pense que les services hospitaliers vont être en mesure d’accueillir des milliers de blessés, le chiffre de cent mille a même été évoqué, ce qui ressemble aux cinq cent mille morts qui étaient attendus pour le Covid et qui heureusement n’eurent pas lieu, ou aux millions d’arbres qu’il allait planter, ou au Liban qu’il allait sauver, ou à tout un tas de trucs qui ont disparu de l’actualité, faute de réalisation. Pour autant, ce qu’il faut retenir de la nouvelle, c’est une fois de plus la volonté de faire peur, d’affoler la population, mais cette fois dans un but bien précis.
Celui de justifier de ses préparatifs et de la menace russe pour peut-être déclencher l’article 16, celui des pleins pouvoirs. D’abord recueillir autant de blessés si loin du front semble une idiotie, sauf à prétendre que la guerre serait sur notre territoire. Ou alors, la France se propose d’être une base arrière et d’accueillir les blessés des autres, sur un front situé plus à l’est. Techniquement nous l’avons déjà dit, il est matériellement impossible que la Russie envoie des troupes pour occuper simultanément l’Allemagne, la Roumanie, la Pologne et donc la France. S’il s’agit d’une attaque nucléaire, l’affaire est tout autre, mais là ce ne sont pas cent mille blessés qu’il y aura c’est au moins dix fois plus et il n’y aura plus d’hôpitaux. Soyons sérieux, ces scénarios sont absurdes… enfin, ils le seraient si à la tête des principales nations européennes nous n’avions pas des fous qui, devant la catastrophe économique et sociale qui se déploie sous leurs yeux, n’avaient d’autre solution que d’embraser le continent européen pour en finir une bonne fois pour toutes et effacer leurs ardoises. Leur seule issue est la guerre totale, dont ils ne sortiront pas vainqueur, mais pour eux c’est toujours mieux que de devoir affronter le jugement des peuples, ou peut être des tribunaux, pour certaines affaires.
Qu’importe si rien ne subsiste après eux, ils seront à l’abri, très loin. Le danger est bien là, dans cette fuite en avant, ce désir mortifère de masquer leurs échecs dans une guerre qui verra l’Europe se faire désintégrer. La situation en France est préoccupante et l’est aussi pour le reste de l’Europe, non pas face à la menace russe, mais face à l’islam conquérant qui s’exprime partout par la violence. La chute de Bayrou, préméditée ou pas, pourrait déboucher sur la volonté du chef de l’État de récupérer les pleins pouvoirs et d’assouvir sa soif de mort, de guerre, de destruction. On murmure que l’armée regimberait, certes, mais les officiers prennent-ils la mesure de l’escalade qui pourrait survenir après l’activation de l’article 16 ? Face à cette menace, qui n’est peut-être qu’absurde gesticulation une fois de plus, les parlementaires français seront très vite confrontés à la question de la destitution de Macron. Selon la suite qui sera donnée à la chute probable de Bayrou, ils devront aller vite pour décider de la destinée qu’ils entendent offrir aux Français. Soit les protéger et virer Macron, et ainsi apaiser non seulement notre nation mais aussi le reste du monde, soit approuver qu’un homme seul scelle dans le sang et les larmes le sort des nôtres et d’une partie du continent européen.
Persister à ne pas envisager la destitution de Macron en supposant que la situation suffise à le faire démissionner, est une erreur. Il l’a dit, il ne partira pas de lui-même, il faut se rappeler qu’il a un profil psychologique très particulier. Accepter de le laisser maître du jeu c’est acquiescer au projet fou d’entrer en guerre avec la Russie, dont on sait qu’elle restera invincible, avec un arsenal nucléaire dont nous n’avons pas le dixième et qu’elle se redressera toujours plus vite que nous, puisqu’elle n’a même pas plié un genou depuis trois ans. Macron n’a plus de solutions démocratiques. Dissoudre ne lui apportera pas une majorité, c’est pourtant ce qu’il devrait faire. Mais il peut aussi se moquer de cette défiance et décider de nommer dans l’urgence un autre premier ministre, toujours macroniste et qui tombera dans la foulée. Il ne lui restera plus que deux options, soit déclencher l’article 16, soit faire un référendum en mettant son mandat en jeu. Connaissant le personnage, jamais il ne se remettra en question. Son credo est : j’ai été élu démocratiquement, peu importe ce qui se passe depuis, il y est, il y reste. Les parlementaires devraient pourtant écouter le peuple, et ce dernier s’exprime depuis quelques jours par le biais d’une pétition officielle sur le site de l’Assemblée nationale, qui en quelques jours, a atteint plus de 130 000 signatures, pour voir Macron destitué. Ils doivent être vigilant et songer à le sortir constitutionnellement, faute de quoi, ils seront responsables de la suite qui, si elle est conforme aux délires de l’homme, sera un drame pour notre nation. L’heure des choix personnels s’efface devant ceux de la survie de notre nation, les députés et sénateurs en ont-ils conscience ?


Yann Bizien

-2/9/2025- Voici une campagne de publicité (payée par nos impôts) pour promouvoir la nouvelle présentatrice (payée par nos impôts) du JT d'une chaîne publique (payée par nos impôts) que des millions de contribuables, asphyxiés par l'impôt, ne regardent plus.
Il y a partout des économies à faire, François Bayrou.
Mettons un terme à ce régime macroniste qui étouffe les contribuables et qui les prend pour des imbéciles