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14 septembre 2025

Vincent Verschoore
Ze Rhubarbe Blog

-11/9/2025- Une monnaie fiat (dollar, euro, etc...) ne peut pas survivre indéfiniment à une production de liquidités (qui enrichit surtout les grands spéculateurs) déconnectée de la création de valeur réelle. Or c'est aujourd'hui le seul moyen de satisfaire une population qui compare sa propre stagnation, voire sa paupérisation, à l'enrichissement obscène des gens au pouvoir et de leurs amis.
À un moment donné ça va forcément coincer, et soit la classe dirigeante aura pu mettre en place un véritable régime policier totalitaire capable de mater toute forme de rébellion (et ils y travaillent, on peut même dire que c'est l'objectif de la clique des Macron, von der Leyen & Cie), soit c'est la guerre civile.
Une solution alternative serait donc de revenir à une forme de monnaie stable, comme l'était l'or avant son remplacement par le dollar. Et ça, les spécialistes l'ont bien compris, ce qui explique la hausse de l'or et du Bitcoin, qui pour ses adeptes est un "or numérique" stable (sa masse finale de 21 millions de jetons est immuable), même si sa valeur reste volatile.
Cette émission de BFM, pour le coup, me paraît pertinente :

Vidéo de 25 min 32 s ↴
Yann Bizien

-13/9/2025- Zelensky publie un nouveau communiqué très alarmiste ce soir. Depuis plus de trois ans, il cherche à entraîner toute l'Europe dans une guerre qui n'est pas la nôtre.
Nous sommes tous les jours au bord d'une guerre pouvant s'étendre sur tout notre continent.
La "coalition des volontaires" menace toujours plus la Russie qui devient toujours plus agressive : c'est une "logique de guerre", pas de paix.
Depuis des mois j'affirme qu'il s'agit d'une mauvaise stratégie, que la Russie ne cédera jamais et que la France n'est pas du tout prête à entrer en conflit direct avec notre plus grand voisin, même avec quelques alliés européens qui sont eux aussi, dans la même situation que nous : de la dette, de la désindustrialisation, des centaines de milliers de clandestins, de la violence intérieure, une menace islamiste forte et un pouvoir fragilisé.
Halte au feu.

Marc Amblard

13 septembre 2025

Nicolas Dupont-Aignan
13/9/2025

Des centaines de milliers de manifestants à Londres pour dire STOP à la submersion migratoire. De l’autre côté de la Manche le peuple britannique enfin se lève pour défendre sa civilisation millénaire et ne pas mourir. Debout les Français !
Vidéo ↴
Gérard Boyadjian

-13/9/2025- Charlie Kirk, Tucker Carlson, Candace Owens, Joe Rogan, Dave Smith, Ben Shapiro, etc... auraient tous été inquiétés en France...

Vidéo de 10 min 13 s ↴
Tiephaine Soter

-12/9/2025- La multiplication depuis 20 ans (la crise bancaire de 2007) des questionnements autour de la résorption de la dette, a apporté des solutions multiples et variées, toujours très alambiquées, qui consistaient toutes à "responsabiliser les populations" par des restrictions des "dépenses sociales", sans baisse des prélèvements qui les alimentent.
Dans le même temps, les administrateurs de l'État n'ont eu de cesse d'augmenter leurs dépenses en "frais de fonctionnement" et autres "frais de bouche" : tout ce qui a été économisé d'un côté a été dépensé 3 fois de l'autre.
La solution est pourtant extrêmement simple, et avait été d'ailleurs testée et approuvée tant à Rome que sous Charlemagne : celui qui ne gère pas son administration comme prévu, dépense l'argent public qu'il n'a pas et oblige le recours à la dette, doit être responsable sur son patrimoine personnel. Cela vaut aussi bien pour le gouvernement et ses ministres que pour le petit chef de service au fin fond de la campagne creusoise.
Je vous garantis que la solution de la dette et du déséquilibre budgétaire qui touche la France depuis 50 ans se trouve dans cette seule et simple mesure.
On aurait le référendum d'initiative populaire ou citoyenne, ce serait quelque chose pour quoi je me battrais. Ça n'arrivera jamais sous la 5e République.
Pensez-y pour le prochain régime.


Natalia Routkevitch


-13/9/2025- Les discussions autour du meurtre du jeune activiste et podcasteur américain révèlent, entre autres, une chose intéressante : à quel point notre langage politique est devenu périmé et insatisfaisant.
Le débat, ainsi que la perplexité qu’a de nouveau suscité le port d’armes aux États-Unis, masque la question essentielle : la nature même du régime que nous appelons "République". Il ne nous vient pratiquement jamais à l’esprit que scander « Vive la République » tout en exigeant un État centralisé fort – monopolisant la violence, paternaliste et thérapeutique – constitue une contradiction fondamentale.
La République, dans sa conception classique, c’est l’union des hommes libres, propriétaires fonciers et nécessairement armés, capables de défendre leur mode de vie volontairement frugal, leur patrie et leur liberté. Dans l’Antiquité, le véritable citoyen était un citoyen en armes, et l’ordre public relevait de la responsabilité de la communauté civique elle-même. Il en allait de même dans la jeune république américaine : le port d’armes n’était interdit qu’aux esclaves. Il va de soi qu’un tel citoyen – propriétaire, armé et économiquement indépendant – ne pouvait en principe être soumis par aucune violence interne. L’accomplissement des devoirs publics, y compris le service militaire, faisait partie intégrante de l’existence des citoyens du polis et de la république.
L’idée de l’État moderne, qui monopolise la violence, est relativement récente : elle apparaît au XVIIᵉ siècle. Le « désarmement » des citoyens s’opère d’ailleurs progressivement et atteint son apogée au XXᵉ siècle, lorsque l’État prend des proportions inédites. Pourtant, aujourd’hui, l’existence d’un tel État nous semble aller de soi au point où l’existence même de ceux qui contestent cette organisation de la vie en communauté nous choque profondément. Détenir des armes, refuser de déléguer entièrement à l’État la défense de sa vie, l’éducation de ses enfants ou le soin de sa santé, paraît désormais complètement inconcevable, voire odieux.
Et pourtant, c’est l’ADN même de la République et du républicanisme que ces citoyens défendent, acceptant de mourir pour leurs idéaux. Car, quoi qu’on pense de ce jeune homme, il est mort pour ses convictions et a manifestement vécu en les pratiquant : il s’est comporté comme un citoyen actif, profondément impliqué dans la vie politique, n’ayant pas peur de défendre ses idées dans un débat en face-à-face sur l’agora, et de se confronter à des adversaires violents.
Pour les républicains, au sens classique, la République est une affaire de tous les jours, un ordre fragile à préserver, à maintenir et à protéger contre la corruption interne, et cela commence toujours par soi-même. C’est une aventure des individus libres, autonomes et responsables. En somme, des gens adultes.
Mais le monde moderne n’aime pas les adultes, pas plus que la République n’aimait l’infantilisme et l’immaturité...
Régis Debray le rappelait d’ailleurs, avec le sens de formule qui est le sien, dans un texte qui a fait date :
« La république, dans l’enfant, cherche l’homme et ne s’adresse en lui qu’à ce qui doit grandir, au risque de le brimer. La démocratie flatte l’enfant dans l’homme, craignant de l’ennuyer si elle le traite en adulte. Nul enfant n’est comme tel adorable, dit le républicain, qui veut que l’élève s’élève. Tous les hommes sont aimables parce que ce sont au fond de grands enfants, dit le démocrate. Cela peut se dire plus crûment : la république n’aime pas les enfants. La démocratie ne respecte pas les adultes ».

Yann Bizien

PLUS LA SITUATION INTÉRIEURE ÉCHAPPE AU CONTRÔLE D'EMMANUEL MACRON, PLUS IL EST OFFENSIF À L'EXTÉRIEUR

-13/9/2025- Sur les deux fronts, intérieur et extérieur, la politique de l'autruche est insupportable.
Notre élite politico-militaire, intellectuelle et bourgeoise, est en train de sacrifier la France et les Français sur ces deux fronts.
Elle nous enlève notre garantie de sécurité physique et culturelle en négligeant la menace intérieure et celle qui vient du sud.
Cette menace est clairement celle de la conquête violente et de la domination islamiste et du grand remplacement démographique et culturel.
À l'intérieur, nous risquons une guerre civile. Et cette élite regarde toujours ailleurs.
À l'extérieur, cette élite nous paupérise et nous entraîne dans un risque de guerre mondiale avec la "menace russe".
Le soutien financier et militaire nous coûte trop cher par rapport à notre situation budgétaire et économique. Une agence de notation vient d'ailleurs de déclasser la France.
Sur ces deux fronts, les solutions sont pourtant simples et connues des Français.
À l'intérieur, notre élite préfère la stratégie de la soumission, du renoncement, du pourrissement, de la faiblesse et, finalement, de la fatalité : nous sommes progressivement remplacés et dépossédés de la nation, de notre identité, de notre sécurité et de notre destin.
La solution, pourtant, existe. C'est celle du courage. Derrière Philippe de Villiers, au dessus de toutes les mêlées, elle est portée aujourd'hui par un seul parti politique dont la leader incontestable, à droite, est devenue Sarah Knafo. Il suffit de l'écouter honnêtement et sans préjugés pour admettre qu'elle a évidemment raison.
À l'extérieur, notre élite fait le pari de l'illusion stratégique du rapport de forces avec sa "coalition symbolique" des "volontaires" vidée de ses forces de jadis.
Ce "bluff stratégique" est un pari en trompe-l'œil. C'est une tactique mensongère.
Au lieu d'envisager un statut de neutralité de l'Ukraine et des rapports de partenariats économiques et commerciaux avec la Russie, pour diminuer le niveau de frustration de notre plus grand voisin, puissance nucléaire, notre élite bourgeoise et éduquée (elle se reconnaîtra), insiste dans la logique absurde, aveugle et dangereuse du rapport de forces et du risque évident d'une extension d'un conflit de très haute intensité et meurtrier auquel notre société surendettée, submergée, ensauvagée, fracturée, désindustrialisée, désarmée et extrêmement fragilisée ne pourrait pas survivre.
Il y a donc un nœud dur dans le processus de paix à l'est de notre continent. Et il y a un autre nœud dans le traitement de notre problème intérieur.
Le résultat, à ce stade, c'est le risque d'une guerre civile à l'intérieur et le risque d'une guerre mondiale à l'extérieur.
Ces deux nœuds sont l'œuvre de nos élites incapables de résoudre nos problèmes intérieurs et du monde. Trop d'orgueil, trop de narcissisme, trop d'ambitions personnelles, trop de tactiques politiciennes et électoralistes, trop de division, trop d'instabilité, pas assez de vision, de dignité, d'honneur, de courage, d'amour de la France et de respect du peuple.
J'agace et j'énerve cette élite européiste, multiculturaliste, politico-militaire, médiatique et intellectuelle, soumise à Bruxelles et aux banlieues, parce que j'affirme courageusement qu'elle se trompe gravement sur les deux fronts intérieur et extérieur.

Radio Classique

-12/9/2025- La participation de l’Orchestre Philharmonique de Munich au Festival de Flandre de Gand (Belgique) a été annulée car la position de son chef d’orchestre israélien vis-à-vis de l’offensive à Gaza n’est pas jugée assez claire, ont indiqué les organisateurs. Une décision qui suscite de vives réactions notamment en Allemagne et dans le milieu de la musique classique.

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