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18 septembre 2025

Vincent Verschoore

La Food and Drug Administration (FDA) américaine s'apprête à présenter les preuves du décès de 25 enfants après avoir été vaccinés contre le coronavirus. Les conclusions devraient être présentées la semaine prochaine lors d'une réunion du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC).
Certains diront, comme d'habitude, que ce n'est pas grave vu que ça "sauve des millions de vies", affirmation hautement questionnable en-dehors de la population effectivement à risque, dont les enfants ne font pas partie.
Cinq ans après, la réaction frontale à cette vaste expérimentation de masse, imposée par les autorités politiques et médicales, reste forte. Les mensonges et la corruption des covidistes alimente un mouvement de rejet de l'autorité sanitaire, qui aux USA subit une purge sans précédent (et méritée), mais qui entraîne également une remise en cause assez fondamentale de décennies de politique de santé publique basée sur la vaccination.
On vient d'assister, au Congrès US, à une audition sur la vaccination où l'on parle d'une étude, non publiée par l'hôpital Henry Ford, démontrant que les enfants non vaccinés sont en bien meilleure santé que les vaccinés (par la panoplie des vaccins infantiles). Les pro-vax répliquent que l'étude est foireuse, mais nous n'y avons pas accès, rien n'est vérifiable.
Il est parfaitement légitime de questionner les politiques de santé publique, surtout dès lors qu'elles sont pilotées par l'industrie via une corruption généralisée (comme pour l'affaire des onze vaccins infantiles soudainement imposés par Édouard Philippe et Marisol Touraine, sous prétexte que les anciens vaccins uniques n'étaient plus disponibles...).
Un questionnement pourtant jugé inacceptable par les idéologues et les bénéficiaires du système, qui traitent d'office d'antivax, de complotiste, d'extrême droite etc., toute personne manifestant une curiosité pour le sujet. Ce qui ne fait qu'alimenter la dynamique de rejet, dans un monde où la santé des populations se dégrade malgré (ou à cause d') une médication massive.

Yann Bizien
18/9/2025

Quelques chiffres sur l'immigration en France et les conséquences sur le portefeuille des Français

L'Office Français de l'Immigration et de l'Intégration (OFII) paye environ 52 000 nuits d'hôtel par jour à des migrants en 2025.
Ceci représente un coût annuel de 1,2 milliard d'euros pour les Français.
Les demandeurs d'asile appelant l'OFII bénéficient d'un temps d'attente moyen de 30 secondes seulement.
L’OFII compte 31 directions territoriales et 7 représentations à l’étranger.
La France compte 1 062 centres d’hébergement pour migrants.

"Les étudiants étrangers occupent 33 % des logements CROUS.
66 % des étudiants étrangers n’obtiennent pas leur licence en 3 ans, et jusqu’à 75 % pour les étudiants maghrébins, si tant est qu’ils l’obtiennent.
60 % des aides d’urgence aux étudiants sont attribuées aux étudiants étrangers, alors qu’ils ne représentent que 14 % des étudiants." (Nicolas Pouvreau-Monti sur Cnews).
Parallèlement, en France, le nombre de salariés au SMIC est passé d’environ 1,7 million en 2015 à 2,7 millions en 2024.
Record en 2023 : 3,1 millions.
Soit 17,3 % des salariés contre 11,1 % en 2015.
Soit +1 million de personnes concernées en moins de 10 ans.
Le Gouvernement, les médias du service public, France TV, mais aussi Le Monde, BFMTV et LCI ne vous livreront jamais ces chiffres parce qu'ils sont emblématique des masses d'argent public, celui des contribuables, mis à la disposition de l'immigration.
(Source : DARES - Artemis - Strasbourg Policy Center - OFII)

17 septembre 2025

Pierre Duriot
16/9/2025

Trop drôle avec ses Rafale...

Extraordinaire Macron, toujours aussi doué en matière militaire. Le voilà qui envoie trois Rafale en Pologne pour abattre d’éventuels drones russes. Trois avions de chasse, une dizaine de pilotes, le staff au sol et le matériel, soit au bas mot, 50 000 euros l’heure de vol, le tout pour chasser des drones iraniens de fabrication grossière à 20 000 balles l’unité. Ce qui s’appelle écraser une mouche avec une masse d’arme. Peu importe, ce qui compte, c’est la com… quoi qu’il en coûte, il nous fait le coup à chaque fois, sauf qu’on n’a plus d’argent. Et même, ironie du sort, ces fameux drones ne sont peut-être pas plus russes que les Russes qui avaient soi-disant fait sauter le gazoduc Nordstream. Ce ne serait pas la première fois que le Zelensky nous la met à l’envers et qui sait, c’est peut-être lui qui a envoyé ces drones, pour obliger l’Europe à se remobiliser, vu qu’il y a avait du relâchement et que les opinions publiques européennes ne suivent plus. Je t’achète un drone bas de gamme, je te le repeins aux couleurs russes, je l’envoie au-dessus de la Pologne et je braque les caméras dessus… scénario largement possible, au point où on en est.


16 septembre 2025

Jean Mizrahi

-16/9/2025- L’Afghanistan est la cause perdue par excellence, le miroir d’une histoire où l’orgueil des empires vient se briser contre des montagnes hostiles et un temps figé. Les Russes y ont laissé une partie de leur jeunesse, les Occidentaux leur illusions, et tous se sont enlisés dans les sables mouvants d’un pays qui érige l’arriération en destin. Traditions misogynes, guerres claniques, religion omniprésente : autant de chaînes qui étouffent toute aspiration à la liberté. Là, l’espérance de vie demeure scandaleusement basse, la mortalité infantile tragiquement haute, et surtout, vingt millions de femmes sont effacées comme par une gomme implacable, reléguées hors du monde, réduites à n’être que matrices et domestiques.
On aimerait, par un exercice d’imagination presque cruel, pénétrer la conscience des féministes les plus militantes. Comment peuvent-elles détourner le regard devant ce gouffre ? Quelle mécanique intérieure leur permet d’accepter ce renoncement, ce silence assourdissant vis-à-vis de vingt millions de femmes privées d’existence ? Est-ce l’impossibilité d’affronter les causes réelles de cette oppression – culturelles, religieuses, politiques – qui les condamne au mutisme ? Ou bien l’intuition qu’aucune lutte n’est possible, que la tâche est si insurmontable qu’il vaut mieux l’esquiver ?
Mais ce silence n’est pas seulement une lâcheté : il révèle une cécité idéologique. Car l’obsession d’un petit territoire méditerranéen absorbe toutes les énergies, comme si l’univers se réduisait à quelques centaines de kilomètres carrés. Le reste du monde s’efface, devient une poussière secondaire, marginale, presque inexistante. Et dans cet effacement, des dizaines de millions de vies broyées disparaissent du champ moral de ceux qui prétendent incarner la justice.
Hannah Arendt parlait de la « banalité du mal » ; ici nous assistons à la banalité de l’oubli. Les grandes âmes progressistes, promptes à s’enflammer pour des causes lointaines qu’elles peuvent instrumentaliser, se dérobent devant la tragédie afghane, sans doute parce qu’elle met à nu l’échec de leur grille de lecture. Nietzsche avait raison : ce qui est insupportable n’est pas tant la souffrance en elle-même que son absence de sens. Et c’est précisément parce que la souffrance des femmes afghanes n’entre dans aucune narration commode qu’on préfère l’ignorer.
Ce manque d’honnêteté et de lucidité n’est pas seulement confondant : il est une faute morale. Le monde saigne un peu partout ; il ne devrait pas conduire à la sélectivité de nos indignations. Mais nos sociétés, repues de slogans, choisissent leurs victimes, comme on choisit un décor pour ses propres passions politiques. Pendant ce temps, l’Afghanistan reste la tombe des illusions et le silence complice de ceux qui, en se taisant, acceptent qu’un peuple tout entier, à commencer par ses femmes, soit rayé de l’humanité.
Yann Bizien
16/9/2025

Emmanuel Macron reçoit Karol Navrocky, le nouveau président de la Pologne à l'Elysée

Notre président comédien va pouvoir mettre en scène une nouvelle étape de son soutien militaire et financier inconditionnel à l'Ukraine et de son bellicisme anti-russe en recevant le président d'un pays membre de l'UE moteur du réarmement accéléré.
Emmanuel Macron va surtout nous reparler de son obsession de partager le parapluie de notre dissuasion nucléaire avec les pays de l'est.
Pour mémoire, avec son armée de terre, la Pologne aligne d'ores et déjà plus de 1.700 blindés de combat (contre seulement 515 en France) et 140 lance-roquettes. Et ce pays finance largement le complexe militaro-industriel américain.
Karol Navrocky, historien, conservateur, anti immigration, et souverainiste de 42 ans, a été élu largement en juin et contre la volonté de la Commission européenne à Bruxelles. Il vient d'ailleurs d'ordonner le retrait du drapeau européen de son bureau.
Pro Trump, comme Giorgia Meloni, qui l'a déjà reçu à Rome, le nouveau président polonais est évidemment l'homme qui dérange les européistes et les fédéralistes comme Emmanuel Macron.
En juin dernier, le peuple polonais a triomphé de façon souveraine. Il a repoussé dans les urnes les mondialistes, les progressistes, les fédéralistes, les européistes, les technocrates et les immigrationnistes en portant au pouvoir un candidat non conforme à la volonté de Bruxelles.
Il faut féliciter ce peuple courageux qui ne s'est pas laissé intimider et manipuler et qui a voté pour reprendre son destin en main.
C'est aussi le premier triomphe du mouvement politique MAGA en Europe qui refuse une Europe fédérale et bruxelloise qui piétine la souveraineté des vieux États nations et qui reste impuissante face à la submersion migratoire.

Gérald d'Orbe
16/9/2025

Deux "T" à "piètre", c'est un de trop, non ?
 
Votre diatribe haineuse n'a rien d'un éditorial, ma p'tite dame, elle n'est rien d'autre que le récit d'un perroquet amoureux de son Jean-Luc machin.
Je ne vais pas tarder à cesser mon abonnement à ce canard dans lequel, comme disait Coluche, « y'a un truc vrai : la date… » !

15 septembre 2025

Les chiens de garde 2.0 : l’affaire Legrand/Cohen ou le service public au service de l’ultra-centre

Kuzmanovic Georges
15/9/2025

Il y a des scandales qui révèlent tout un système. L’affaire Legrand/Cohen est une déflagration politique et médiatique, pourtant elle n’a rien de surprenant. Le voile s’est simplement levé sur la réalité des choses. Ne sont surpris que les naïfs puisque les exemples de connivences entre médias et politiques sont légion. C’est la démonstration, brutale et limpide, de ce que Serge Halimi appelait déjà dans "Les Nouveaux chiens de garde" la fusion entre élites politiques, économiques et médiatiques au service d’un même ordre social.
Thomas Legrand / Patrick Cohen, prétendus chevaliers blancs du journalisme, jurent, la main sur le cœur, ne faire que servir « l’intérêt général ». À voir.
Certains les croyaient bardés de principes, la réalité est celles de l’entre-soi et des connivences politiques, et même de classe. Car enfin, de quoi s’agit-il ? Pas d’une conversation de comptoir, pas d’un café pris entre amis (même si Legrand voudrait nous le faire croire avec sa candeur de faux naïf), mais bien de deux journalistes du service public rendant des comptes à des élus, promettant de saboter la campagne d’une candidate, en l’occurrence celle de Madame Rachida Dati, et de favoriser l’élection d’un autre à la présidentielle de 2027, Raphaël Glucksmann pour ne pas le nommer.
La vérité crue est que cela est de la manipulation électorale, ou au moins une volonté de manipulation électorale – et sûrement pas la première, on se rappellera, par exemple leurs éditos enamourés envers le candidat Emmanuel Macron, « Jupiter », « Mozart de la finance », « révolutionnaire », etc. Il ne s’agit ni plus ni moins que de trahison du contrat moral entre service public et citoyens.
À ces critiques, la réaction de la caste médiatique a été fascinante : Mediapart crie au coup monté de l’extrême droite, Le Point se demande ingénument si « les journalistes n’auraient plus le droit d’avoir des conversations de bistrot », le HuffPost s’inquiète seulement de la « bronca opportuniste »… Tous rivalisent pour défendre les deux compères. Comme le disait déjà Serge Halimi dans Les Nouveaux chiens de garde : la presse dominante n’est jamais autant soudée que lorsqu’il s’agit de protéger ses propres privilèges.
Car c’est bien de cela qu’il s’agit : une caste. Une bourgeoisie médiatique, bobo, européiste, atlantiste, économiquement néolibérale, mais qui aime à se donner des airs de gauche, mais seulement lorsqu’il s’agit de questions sociétales et qui a surtout l’immense pouvoir de décréter ce qui est le « Bien » et ce qui est le « Mal », sans jamais avoir à s’en justifier – du bushisme médiatique. Jean-Claude Michéa l’avait parfaitement vu : ce progressisme de façade masque mal une soumission totale au capitalisme mondialisé. Dans L’Empire du moindre mal ou Notre ennemi, le capital, il rappelle que l’alliance historique entre la gauche libérale-libertaire et le capitalisme néolibéral repose sur un accord tacite : laisser libre cours aux revendications sociétales (mariage, minorités, libertés individuelles) tout en sacralisant l’économie de marché et la libre circulation des capitaux. C’est exactement la matrice idéologique de Cohen, Legrand, Salamé et compagnie : se dire « de gauche » parce qu’on coche les cases progressistes, tout en soutenant la mondialisation et le néolibéralisme qui détruisent les classes populaires.

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L'article sur Thomas Legrand et Patrick Cohen :

Gilles Casanova

-14/9/2025- Puisque ce débat revient dans la bouche de ceux qui se félicitent d'un assassinat politique commis aux États-Unis contre un jeune proche de Donald Trump, j'en profite pour donner un point de vue qui va choquer les bien-pensants, mais auquel il me paraît nécessaire de bien réfléchir si l'on veut comprendre le monde dans lequel on vit.
C'est une étrange confusion qui fait croire que ce sont les armes à feu qui tuent et pas les humains qui décident d'utiliser ces armes à feu pour tuer.
Vous savez, en France il est interdit d'avoir une arme à feu, c'est dans le cadre de cette interdiction que les tueurs tuent. L'interdiction de la vente des armes à feu n'empêche pas les kalashnikovs et toutes les armes en provenance d'Ukraine de circuler librement dans nos banlieues.
Certes le fait qu'il soit plus facile de se procurer une arme à feu tend à rendre plus facile un certain type d'actes criminels, comme les tueries commises par des adolescents. Mais ce n'en est pas la cause, et ne change pas les conditions d'action du crime organisé.
Pour ma part, je suis hostile à la vente libre des armes à feu, mais je ne confonds pas celui qui tire et l'instrument qu'il utilise.
Et je ne considère pas, contrairement à tous ces gens qui se prétendent « de gauche » ou « antifascistes », que le fait d'être en désaccord sur ce sujet justifie la peine de mort !