Gastel Etzwane
-29/9/2025- Fin août, Macron, Merz et le Polonais Donald Tusk se sont déplacés pour tenir un meeting électoral en Moldavie aux côtés de Maia Sandu, candidate adoubée par Bruxelles. Von der Leyen, présidente de la Commission européenne, y va régulièrement ; Antonio Costa, président du Conseil européen, aussi ; et à chaque fois, Ursula annonce un nouveau chèque pour le pays.
C’est ça l’ingérence autorisée : soutenir une candidate qui ne représente personne, sous perfusion d’argent européen. Imaginez une seconde que Vladimir Poutine ait fait la même chose en venant soutenir un candidat anti-Union européenne : les médias en feraient des « breaking news » pendant des semaines et crieraient au scandale absolu.
Mais là, silence radio : on appelle ça « la démocratie ».