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5 janvier 2025

Kuzmanovic Georges
3/1/2025

Pourquoi certains médias et analystes disent à ce point n'importe quoi ?

"L'économie russe est bout de souffle", "La Russie est à court de missiles", "L'armée russe a perdu 600000 soldats", "Poutine est malade / va être remplacé", etc.
Trois années de contre-informations. Des propos souvent grotesques, sinon délirants et ne parlons même pas des omissions et mensonges concernant l'état de l'Ukraine ou l'économie de l'Europe...
À quoi bon cette forfaiture continue ?
De quoi est-ce le nom ?
Cela n'a évidement aucun effet sur le réel - ceux qui tiennent ces propos le savent bien.
Cela n'a pas non plus d'effet sur l'adversaire.
Le seul objectif est de désinformer et de maintenir nos populations, ou une partie de la population dans l'illusion en construisant une image alternative de la réalité.
Ça sert à préparer à des sacrifices financiers, à avaler les politiques atlantistes et antisociales, à faire peur et en même temps à rassurer faussement sur notre puissance.
Ça sert à promouvoir l'OTAN et le fédéralisme européen.
Ça sert à berner le citoyen et à l'endormir.
« Nous savons qu'ils mentent. Ils savent qu'ils mentent. Ils savent que nous savons qu'ils mentent. Nous savons qu'ils savent que nous savons qu'ils mentent. Et, pourtant, ils persistent à mentir. » (Soljenitsyne)
Jak Umbdenstock / DNA

BIDEN REMET LA MÉDAILLE PRÉSIDENTIELLE DE LA LIBERTÉ À GEORGE SOROS

Marc Amblard

- 5/1/2025 - Certes, le militant milliardaire a rendu de gros services ($) au parti démocrate mais de là à lui décerner la plus haute distinction du pays, il fallait tout de même oser !
Cette crapule est propriétaire de fonds spéculatifs dont les bénéfices colossaux ont permis, via de multiples organisations (Open society, Democracy PAC…), de renverser des gouvernements, corrompre des élections, et surtout promouvoir le wokisme et le marxisme un peu partout sur la planète.
Il est notamment accusé d’avoir provoqué dans les années 90 la faillite de la Banque d’Angleterre en spéculant contre la livre sterling et d’avoir déclenché la grande crise monétaire asiatique de 1997-1998.
Il se targue également d’avoir financé des « révolutions de couleur » prétendument au nom de la « démocratie », et qui aboutissaient le plus souvent au renversement d’un dirigeant élu en faveur d’un opposant plus « progressiste ».
Mondialiste convaincu, il méprise au plus haut point des valeurs telles que la citoyenneté et le patriotisme. Son entité Open Society est une véritable pieuvre qui étend ses tentacules partout dans le monde pour lutter contre les frontières et favoriser les migrations illégales.
Aux USA et depuis de nombreuses années, il investit massivement dans des campagnes visant à installer des procureurs d’extrême gauche dans les grands districts. C’est également lui qui finance dans l’ombre des mouvements comme les Antifas, Black Live Matter et qui promeut dans la plupart des villes démocrates le définancement de la police et la dépénalisation des drogues. Pas étonnant, que ces villes « démocrates » qui affichent les taux de criminalité et de pauvreté les plus élevés du pays.
Rien qu’en 2024, Soros a versé 60 millions $ supplémentaires aux démocrates de la Chambre et du Sénat pour renforcer leurs chances d'être réélus.
En bref, ce gars est une véritable calamité dont le monde se serait très volontiers passé.
C’est pourquoi il fallait être doté d’une sacrée dose de cynisme et de malveillance pour le désigner comme récipiendaire de cette récompense nationale.
Décidément, le mandat Biden aura été une honte sur toute la ligne et jusqu’au dernier jour.

4 janvier 2025

Le capitalisme et ses larbins

Jacques COTTA

- 4/1/2025 - Avec mes vœux pour l'année 2025, je voudrais partager une interrogation : à quoi rime la comédie qui se joue à la tête de l'État et qui témoigne de la faiblesse du pouvoir et de son isolement ? Les ministres passent pour appliquer la même politique... Les larbins du capitalisme changent de visage.

Cliquer sur l'image (vidéo de 9min 39s) ↴
Ze Rhubarbe Blog

- 4/1/2025 - Comme on pouvait le lire hier dans le Figaro, les nouvelles normes soi-disant "écolos" à l'encontre des véhicules d'avant 2011 et les logements classés G visent spécifiquement les classes populaires et moyennes inférieures.
Les privilégiés qui roulent en Tesla ou grosses cylindrées récentes, bien plus catastrophiques pour l'environnement (si on prend tout en compte) que mon vieux Trafic de 2008, se marrent et lorgnent sur l'immobilier qu'ils vont pouvoir racheter à bas prix aux petits propriétaires, ceux qui eurent le malheur de croire qu'investir pouvait améliorer leurs petites retraites (narratif de l'époque Sarkozy).
Ce racket permanent par les serviteurs du grand capital, auquel les Gilets jaunes furent une réaction violemment contrée par les milices armées à la solde des mêmes, illustre la profonde corruption de tout un système, depuis sa tête à Bruxelles jusqu'aux mercenaires locaux adeptes de la Voie de la Gamelle.
Notre seule arme est la désobéissance permanente, et la dénonciation de l'idéologie totalitaire bien-pensante baignant dans l'hypocrisie, ce qu'on appelle aujourd'hui "progressisme".


RSA SOUS CONDITIONS : CE QUE NOUS DEVONS COMPRENDRE

Nicolas Maxime

- 2/1/2025 - Depuis le 1er janvier, les bénéficiaires du RSA doivent désormais effectuer 15 heures d'activité pour percevoir 607,75 euros par mois. En cas de non-respect de cette obligation, le versement de l'allocation est suspendu.
Quarante années de néolibéralisme auront provoqué une atomisation de la société faisant suite à l'effondrement des valeurs communes et des grandes idéologies collectives – gaullisme, communisme, christianisme. Dans ce cadre, les précaires sont devenus des boucs émissaires, des "assistés" constituant une charge pour la société.
Sur les réseaux sociaux et dans les médias, les néolibéraux se réjouissent de manière perverse de voir les précaires, enfin, contraints de "se bouger" et de contribuer à la société, sans tenir compte du fait que de nombreuses personnes en grande précarité seront probablement incapables de réaliser ces heures d'intérêt général.
L’offensive contre les bénéficiaires du RSA n’est qu’un prélude à une stratégie plus large visant à légitimer les attaques du Capital contre le bien commun, incarné par la Sécurité sociale et les services publics. Sous le prétexte de lutter contre l’assistanat, cette mesure contribue à alimenter une rhétorique culpabilisante qui oppose les travailleurs "méritants" à des prétendus "assistés".
La Sécurité sociale et les services publics, qui font partie du patrimoine français, incarnent une "identité sociale" qui dépasse les clivages partisans. Ces institutions, fruits d’une histoire de luttes, ont tissé un lien unique entre les citoyens, créant une forme d’attachement culturel à un modèle fondé sur l’entraide et la solidarité.
En ciblant les populations les plus précaires, les néolibéraux justifient le démantèlement des institutions qui incarnent la protection sociale, en les présentant comme des poids financiers insoutenables pour la collectivité.
L’objectif final de cette stratégie est de substituer à un modèle basé sur la solidarité universelle un système où l’accès aux droits fondamentaux dépend de conditions toujours plus restrictives et de logiques marchandes. Ainsi, derrière l’attaque contre les bénéficiaires du RSA, c’est tout un projet de destruction des conquêtes sociales qui se dessine, au profit des intérêts privés et du Capital, au détriment de la solidarité et des travailleurs.
Prisonniers de notre impuissance collective et de l’absence d’alternatives crédibles, nous sommes condamnés à choisir entre Macron et Le Pen, deux faces d’un même système. Pendant ce temps, en polarisant les débats sur des boucs émissaires comme les bénéficiaires du RSA, que l’on réduit à des "parasites", nous entretenons l’illusion de sauver un modèle à bout de souffle. Pourtant, le Capital, lui, a déjà désigné d’autres cibles à sacrifier. Cette diversion nous empêche de voir l’essentiel. Nous devons comprendre que la véritable menace vient d’un système économique, en voie de radicalisation, qui détruit méthodiquement les acquis sociaux, privatise les biens communs et impose une logique marchande à toutes les sphères de la vie.

2 janvier 2025

LES BOÎTES DE PANDORE DE L'OCCIDENT

Gabriel Nerciat
2/1/2025

Eh bien oui, voilà !
C'est bien joli de financer et d'armer des factions salafistes révolutionnaires arabes, pro-turques et anti-chiites en Syrie et en Libye, comme de faire des risettes aux bandéristes ukrainiens, certes couverts momentanément par un dictateur juif évadé d'un cirque, pour qu'ils aillent ensuite bouffer et éventrer du Russe dans le Donbass.
Seulement après, c'est comme tout : il faut assumer.
Les djihadistes du Levant surtout sont des gens susceptibles. Si des puissances mécréantes s'invitent dans leurs querelles internes et s'avisent de soutenir un peu trop ostensiblement l'une des factions islamistes devenue rivale de la leur, ils n'oublient jamais de faire payer la note à l'utilitarisme inconséquent des kouffars.
Les dirigeants français auraient dû le saisir dès les attentats du Bataclan, en 2015, par lesquels les sicaires de l'EI nous faisaient comprendre qu'ils n'appréciaient pas du tout les armes livrées par Laurent Fabius et la DGSE à la filiale locale d'Al Qaïda - celle d'où provient justement le nouveau maître de Damas si bien en cour à Washington et à Tel-Aviv.
Mais comme toujours, nous avons préféré regarder ailleurs, en pensant naïvement que les milices anarcho-marxistes kurdes des YPG suffiraient à nous préserver de nouveaux retours de bâton - tout en laissant Ursula von der Leyen se mettre complaisamment dans la main de leur ennemi juré Erdogan.
L'actuel président des États-Unis, lui non plus, ne sait pas trop quoi dire, en ce 2 janvier funèbre. Sa sénilité se révèle finalement, à quelques semaines de sa retraite forcée, un atout paradoxal.
Soyons charitables et ne nous moquons pas de lui.
D'ailleurs sommes-nous seulement en mesure de nous rappeler qu'il y a un quartier français à la Nouvelle-Orléans ?

Imaginons une autre Europe… sans eux

Pierre Duriot
Porte-parole du Rassemblement du Peuple Français


- 2/1/2025 - Entre l’épisode électoral roumain, la guerre en Ukraine, le scandale des vaccins et de la gestion Covid, la conscience d’une Europe qui n’est pas celle espérée par les peuples européens, fait son chemin. Elle n’est pas non plus celle espérée par les entreprises qui entrevoyaient des marchés et des échanges et qui se retrouvent avec des normes et des contraintes environnementales abracadabrantes. Cette Europe-là est celle des grands groupes transnationaux, particulièrement des groupes américains qui tirent le mieux leur épingle du jeu, on le voit sur le matériel militaire ou les vaccins. Pour autant, l’esprit européen des peuples est bien là et la question est de savoir si on peut changer l’Europe actuelle de l’intérieur, ou s’il faut en imaginer une autre. Et le moins qu’on puisse dire est que la volonté manque face aux scandales à répétition qui touchent l’entourage de von der Leyen et on se demande ce qu’il faudrait pour que les députés se réveillent enfin et se mettent à demander des comptes. On se souvient que pour les SMS de négociation avec les fabricants de vaccins, c’est niet. La communication des contrats passés avec Pfizer, c’est niet, il sont noircis aux trois quarts. Pour l’utilisation réelle de l’aide à l’Ukraine, c’est niet encore. On vient de comprendre qu’une station de ski de luxe avait été bâtie avec des aides européennes pour la guerre. Que faut-il, pour que les députés travaillent ? Hormis quelques-uns et surtout, quelques-unes, très peu audibles, finalement, tout le monde roupille et avalise les pires infamies.

On attend avec impatience l’arrivée de Trump à la Maison-Blanche et on sait que cela aura un impact, puisqu’il a déjà commencé, mais on aurait tort de penser que cela va tout résoudre et encore plus tort de penser que Trump fera grand cas de l’Europe en cas de guerre commerciale, le "make America great again" se fera sur le dos de l’Europe qui sera confrontée à une OPA inamicale des entreprises américaines et au déferlement des produits asiatiques bon marché, le tout sur un vieux continent très désindustrialisé, avec une pyramide des âges peu favorable et des systèmes éducatifs en perdition. Pour autant, tout n’est pas perdu, l’état de santé de la population américaine est pire que le nôtre et la Chine aussi, vieillit, sans parler du Japon. [...].

Et donc, on voit fleurir des propositions qui consisteraient en un recentrage sur les pays à l’origine de l’Europe, avec des niveaux de vie similaires : France, Allemagne, Pays-Bas, Espagne, Italie, Belgique, Luxembourg, Autriche. Avec comme objectif le rapatriement de nombreuses usines qui ont migré vers les pays les moins disant fiscalement et avec les plus bas salaires européens. Et une autre Europe, concentrique, avec les pays n’ayant pas encore le niveau des premiers. Mais il faut aussi sortir de pas mal d’autres choses, tant on se demande si elles ne sont pas spécialement pilotées depuis d’étranger pour affaiblir l’Europe. En premier lieu, la commission européenne qui a bien plus de pouvoir qu’on l’aurait imaginé, ou du moins, le pouvoir que veulent bien lui laisser les députés, par paresse et par suivisme.

Sortir également d’un certain nombre d’instance qui par nature, nuisent en permanence aux intérêts européens : la cour de justice européenne et la cour européenne des droits de l’homme, qui n’ont de cesse de sanctionner les États au bénéfice de migrants arabo-afro-musulmans, sans arrêt bénéficiaires de « droits » exorbitants, au détriment des peuples européens systématiquement condamnés à leur verser des aides sociales, à les loger, quand bien même ils seraient délinquants. Sortir également du pacte de Marrakech, signé par un vague émissaire de Macron et qui se résume, comme les deux organismes précédemment cités, à des instances de promotion de l’islam. Sortir enfin de l’OMS, machin manipulé par des intérêts privés, qui n’a de cesse de soumettre les États à des politiques de santé dictées par les géants pharmaceutiques.

L’idée force serait celle d’un collaboration entre États souverains, telle qu’imaginée par le Général de Gaulle, dans laquelle chaque pays retrouverait sa souveraineté en matière d’immigration, de maintien de l’ordre, d’industrialisation, de formation, de défense, tout en passant des accords de coopérations militaires, industriels, de reconnaissance de qualifications, au sein d’une assemblée collégiale et pas sous la coupe d’une commission européenne toute puissante, qui comme actuellement, fait la promotion de l’achat américain. Sortir de l’interdiction des véhicules thermiques en 2035, sortir de la fable du carbone et de la transition énergétique, qui ont été prétextes à des transferts d’argent public massifs vers des intérêts privés. Enfin, il faudra retrouver des indépendances, alimentaire, énergétique, militaire, informatique, spatiale… dans un paysage où presque tout est en panne.

Mais les dirigeants ne sont pas les bons, faibles, peu charismatiques, tous en difficulté dans leur gouvernance respective. Pointent bien Meloni, Orban et peut-être quelques autres, mais le compte n’y est pas. Et les perspectives de basculement sont minces tant tout est verrouillé : presse, systèmes électoraux, instances supranationales, influences étrangères, ONG… sont tous acquis à la ligne européiste et immigrationniste. Tout cela va se jouer dans les trois ou quatre prochaines années, soit l’Europe est capable du sursaut salvateur, soit nous terminerons pauvres, islamisés, libanisés...


Le groupe Telegram du RPF :
Yannick Lefrançois / DNA

Yann Thibaud

- 28/12/2024 - Avez-vous remarqué que les responsables et partis politiques que les médias mainstream taxent d'extrémistes ou de fascistes sont précisément ceux qui souhaitent la paix ?
Et que ceux qui se targuent d'être de parfaits et exemplaires défenseurs de la démocratie sont en réalité des bellicistes furieux et fanatiques ?
Inversion accusatoire, bien-pensance et hypocrisie étant la marque des temps que nous vivons aujourd'hui.
Et le désir ardent de faire la guerre sans motif réel, tant vis-à-vis des autres peuples que de leur propre peuple, étant la caractéristique de la caste qui nous gouverne.
Cette manie d'entrer en guerre contre des pays qui ne nous menacent aucunement pouvant, à mon sens, être qualifiée non seulement d'impérialisme, mais également de néo-colonialisme.
Je crois cependant que nous n'aurons pas la guerre, simplement en application de la fameuse loi d'attraction, qui énonce que c'est la résultante des pensées des peuples qui créent la réalité qui en découlera finalement.
Ainsi, puisque dans son immense majorité, notre peuple veut la paix, il y a tout lieu de penser que nous échapperons à la guerre.
Nous nous trouvons dans une situation tout à fait différente de celle qui a prévalu lors des deux guerres mondiales.
À cette époque, la propagande était crue et admise pratiquement sans aucune réserve.
Aujourd'hui, il en va tout différemment, grâce à l'éveil de l'humanité qui amène celle-ci à penser de plus en plus par elle-même et à ne plus adhérer naïvement à ce qu'on lui répète et répète encore.
À cet égard, l'accumulation de mensonges et d'illusions que nous avons vécue ces dernières années, nous a paradoxalement amenés à effectuer des pas de géant dans le processus d'éveil collectif du peuple humain.
Penser et réfléchir véritablement et profondément, s'informer et développer son sens critique, telle est donc notre sauvegarde ainsi que notre raison d'être sur terre !