Translate

10 février 2023

COVID 19 : ÇA CLOCHAIT DÈS LE DÉBUT

Marc Amblard

- 8/2/2023 - Je ne sais pas vous mais dès le démarrage de cette affaire, j’ai senti que quelque chose ne tournait pas très rond dans le récit des médias et des autorités. Une odeur de tromperie, de mise en scène macabre. Comme une pièce de théâtre mal jouée. Ou plutôt, surjouée.
Trois ans après le lancement des hostilités, il était alors intéressant de recenser très brièvement les dix indices qui ont suscité, en notre for intérieur, les plus vives réserves :
1. Dès les premiers cas, l’OMS annonce officiellement une pandémie avec probablement des millions de morts. Étonnamment rapide.
2. Des médicaments dont l’efficacité n’était plus à prouver et surtout sur le marché depuis 70 ans, ont fait l’objet d’un classement en substance vénéneuse deux mois avant l’apparition du virus. Inédit.
3. À l’opposé, l’administration de substances dangereuses a été facilité, notamment dans chez les personnes âgées (Remdesivir, Rivotril…)
4. Les médecins ont été privés de leur liberté de prescrire (par des non médecins). Une première dans l’histoire de la médecine.
5. Une exceptionnelle mise en scène des morts et des cas sur les écrans de télévision.
6. Des confinements imposés alors que ces méthodes n’avaient plus cours depuis des siècles.
7. Survenance de nouveaux concepts comme les « malades non malades » (cas asymptomatiques).
8. Des sommités internationales, professeurs de médecine, chercheurs, encensés jusque-là, sont devenus soudainement des charlatans aux yeux des grands médias.
9. Les recommandations émanaient de l’OMS dont l’un des plus importants contributeurs est également un actionnaire majeur des deux plus grands laboratoires pharmaceutiques.
10. Le 18/10/2019 à New-York, le Johns Hopkins Center for Health Security, en partenariat avec le Forum économique mondial et la Fondation Gates, ont organisé l'Event 201, un exercice de répétition pré-pandémique.
Avouez que, mis bout à bout, ces quelques indices auraient dû faire douter les esprits les plus endormis. Non ?
Il n'est pas question de nier l'existence d'un virus mais, à tout le moins, de s'interroger sur la pertinence de son traitement médiatique et des mesures catastrophiques mises en place.