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8 septembre 2025
Christian Dubuis Santini
-8/9/2025- Dimension historique du PS : des sociétés primitives il a reproduit la brutalité clanique, de l'Antiquité il reconduit l'esclavage, au Moyen Âge il a emprunté la domination féroce, du capitalisme il copie hypocritement l'exploitation cynique... et au socialisme il a pris le nom.
-8/9/2025- Dimension historique du PS : des sociétés primitives il a reproduit la brutalité clanique, de l'Antiquité il reconduit l'esclavage, au Moyen Âge il a emprunté la domination féroce, du capitalisme il copie hypocritement l'exploitation cynique... et au socialisme il a pris le nom.
Paulina Dalmayer
-7/9/2025- Une tranquille revanche sur l’Histoire. Et c’est aussi rudement crâneur que faire paraître un papier sur la fulgurante réussite économique de la Pologne à quelques jours de la dégringolade annoncée de la France… Mais que faire, tandis que les Français s’écharpent et rêvent d’une paralysie plus paralysante que l’usuelle, les Polaks retroussent leurs manches, toujours aussi incrédules quant au fait que le PIB polonais per capita ait rattrapé celui du Japon (sic !).
Mon analyse du miracle polonais dans le dernier numéro de la Revue des Deux Monde, dont je vous recommande la lecture de la première à la dernière page, à moins que vous ne soyez occupés à être bloqués.
Photo : Non, ce n’est pas Chicago, c’est Varsovie.
Gabriel Nerciat
8/9/2025
MAXIME SOCIOLOGIQUE
Au XXIe siècle, à l'ouest du monde, tout le monde est, a été ou sera complotiste.
C'est l'une des maximes sociologiques les plus indubitables par quoi l'on peut saisir un pan de la rationalité des sociétés modernes occidentales en voie de dislocation.
De façon assez naturelle, ceux qui dénoncent le complotisme de la manière la plus véhémente au nom de la raison des élites sont aussi ceux qui l'adopteront de la manière la plus évidemment décomplexée dès que leur responsabilité personnelle sera mise en jeu.
7 septembre 2025
Catastrophe : la France déjà en mode Russie des années 90
Régis de Castelnau
7/9/2025
7/9/2025
Chacun sait qu’il est plus facile de raconter l’Histoire quand on connaît la fin. Et pourtant…
Pendant une dizaine d’années, membre du (vrai) PCF et appartenant à son Bureau de politique extérieure (la POLEX), j’ai occupé un certain nombre de responsabilités internationales. Après l’arrivée de Michael Gorbatchev au pouvoir (1985), mes activités couvraient également le domaine économique. En 1987, j’eu l’occasion de rencontrer Gorbatchev à Moscou et je dois dire que perestroïka et glasnost aidant, j’étais plutôt optimiste concernant une rénovation du « socialisme existant ». Pour rapidement déchanter devant le spectacle du chaos qui s’installait. Aidé par une course à l’Occident et ses « valeurs » de cupidité et de cynisme. Mon dernier voyage d’affaires s’y déroula en décembre 1990, et devant le tableau qui se donnait à voir, je décidai de mettre fin à l’expérience et réorientais mes activités professionnelles. Honnêtement, je n’envisageais pas à ce moment-là l’effondrement de l’Union soviétique quelques mois plus tard. Si celle-ci me surprit quand même, la catastrophe politique, économique et sociale qui se déroula ensuite m’apparut comme la suite normale de ce que j’avais moi-même constaté. Et que tout était en place pour ce qui fut une course à l’abîme. La Russie, son État détruit, fit la terrible expérience d’une anarchie la mettant sous le contrôle d’un capitalisme violent et sauvage, d’une corruption géante, et d’un gangstérisme violent. Les conséquences sociales de la catastrophe furent pour la population d’une formidable violence.
Tout le monde connaît ou devrait connaître cette séquence historique à laquelle l’arrivée de Vladimir Poutine à la tête du pays permit de mettre fin. Alors, pourquoi y revenir aujourd’hui ? Parce que l’Union européenne, confrontée à une crise politique, économique et sociale considérable, est déjà dans une situation voisine. Boris Eltsine successeur de Gorbatchev dans la destruction de l’URSS, qui avait été installé par l’Occident à la tête de la Russie était un ivrogne corrompu. Mais que dire des dirigeants européens actuels, grands utilisateurs de sachets de poudre, complètement incompétents quand ils ne sont pas carrément des psychopathes. En Grande-Bretagne, le premier ministre élu avec moins de 30 % des suffrages grâce un système électoral antidémocratique, affiche en permanence son air ahuri, symptôme de son incompétence. Il a succédé à Liz Truss terrifiante imbécile, précédé elle-même par Boris Johnson incarnation parfaite de la vénalité, du mensonge et de la nullité politique. Sur fond d’un pays qui s’effondre, au bord de la guerre civile ethnique avec un État insolvable et incapable ne serait-ce que d’entretenir les infrastructures du pays alors qu’il a renoncé à en construire de nouvelles. L’Allemagne quant à elle, ayant pris toutes les décisions énergétiques contraires à ses intérêts, confrontée elle aussi à une récession économique qui pourrait s’avérer dévastatrice, a jugé bon de se doter d’un nouveau chancelier. Belliciste russophobe, éructant quotidiennement des menaces à l’égard de la Russie que son prédécesseur de 1933 n’aurait pas répudiées, il vient d’annoncer à son peuple que l’État-providence c’était fini, parce qu’il avait besoin de pognon pour attaquer Moscou en mode Barbarossa 2.0. Les Allemands ont aussi installé à la tête de la Commission européenne, une néonazie stupide et corrompue.
La France quant à elle, membre de la grotesque troïka « coalition des volontaires » est en crise politique insoluble depuis près de deux ans après les défaites électorales successives d’un psychopathe infantile installé à l’Élysée par un coup d’État concocté par la haute fonction publique socialiste, approuvé par l’oligarchie et finalisé par l’appareil judiciaire. La situation économique et financière est désastreuse. Choisi pour ce faire, Emmanuel Macron poursuit son travail de destruction. À coup de corruption géante il poursuit la désindustrialisation de la France. L’État est désormais incapable de contrôler une partie de l’espace public abandonné à la pègre et à un lumpenprolétariat violent. Faute de moyens, les grands services publics, sécurité, justice, éducation, santé, transports, poursuivent leur effondrement. Désormais à plus de 16 %, le taux de pauvreté en France continue sa montée inexorable.
Face à cette situation qu’ils connaissent, paniqués les dirigeants minoritaires qui dirigent les grands pays européens, se lancent dans la diversion d’une fuite en avant guerrière dont ils n’ont aucunement les moyens. Accompagnée d’une véritable fascisation du fonctionnement de leurs démocraties représentatives malades, à base de féroces répression judiciaire et policière des opposants, d’adoption systématique de lois liberticides, et de censure revendiquée ou occulte.
Alors, si l’on regarde les choses en face, il ne faut pas craindre l’arrivée d’une catastrophe du type de celle que la Russie a vécue dans les années 90 après la chute de l’URSS. Et pour une bonne raison.
Nous y sommes déjà plongés.
Gilles Casanova
-7/9/2025- La Russie explique qu’une cause de la guerre est la présence de troupes de l’OTAN infiltrées sur le territoire ukrainien.
Macron propose donc pour garantir la paix de placer des troupes de l’OTAN en nombre sur le territoire ukrainien.
Il est clair que pour cela il faudrait détruire la Russie.
Macron voudrait bien, mais la vie c’est plus dur que les rêves adolescents !
[Et le pauvre Olivier Faure lui emboîte le pas, quelle pitié…]
Yann Bizien
-7/9/2025- Nous vivons et nous subissons le cumul et la « cascade » de toutes les crises possibles.
La France est submergée, surendettée, ensauvagée et bloquée. Elle a perdu sa grandeur, sa puissance, son indépendance, sa souveraineté, ses capacités à investir, à produire, à innover et à rayonner. Les Français ont été dépossédés de leur sécurité physique, culturelle et économique.
Le pays n’est plus au bord mais déjà au fond de l’abîme.
La 5ème République est en train de mourir devant nous, dans les mêmes conditions que la 4ème en mai 1958, sous des combines pitoyables et des petits arrangements de circonstances et d'intérêts.
Des gouvernements hybrides, illégitimes, éphémères, chutent les uns derrière les autres dans un climat politique instable et virulent. Ils sont sous la pression et la « féodalité de l’État profond socialiste et de la « République des juges » qui nous imposent une double préférence : « l’étranger avant le national et le coupable avant la victime ».
Il ne s’agit plus de savoir si nous allons chuter.
L’horizon des Français est bouché dans ce bourbier.
Le pouvoir a perdu pied. Il ne maîtrise plus rien. Il glisse vers l’autoritarisme, le mensonge, l’européisme, l’immigrationnisme, la guerre, la répression, le régime des partis et la confiscation du pouvoir. Il tourne en rond depuis 50 ans, incapable de résoudre nos problèmes faute de dirigeants lucides, courageux, responsables, visionnaires et stratèges.
La confiance entre le peuple sacrifié et un pouvoir tacticien attaché à ses privilèges et à ses mandats est rompue.
Emmanuel Macron n’a pas de majorité à l’Assemblée nationale et ne peut plus avoir de gouvernement pour diriger démocratiquement notre pays.
Pour Philippe de Villiers, il n’y a plus de chef, donc plus d’État.
La priorité, pour tous les Français, est donc parfaitement claire : il nous faut un nouveau chef de l’État.
Il s’agit désormais de savoir avec qui et comment nous allons nous redresser.
Il y a dans ce pays une crise de régime, une crise politique, une crise économique, une crise financière, une crise migratoire, une crise sécuritaire, une crise démographique, une crise culturelle, une crise identitaire, une crise civilisationnelle, une crise existentielle et une crise géopolitique.
Philippe de Villiers nous rappelle dans le JDD que nous avons perdu les réflexes qui nous sauvaient lorsque l’on se retrouvait au bord du gouffre. Il évoque « l’éclipse de la conscience nationale », et des réflexes qui n’ont plus pour but de défendre la France, de la sauver et de veiller à la préservation de sa puissance et des intérêts de son peuple.
Il l’affirme depuis des années et nous pouvons le vérifier chaque jour : « le pronostic vital de la France est engagé ».
Notre pays est en urgence absolue.
Philippe de Villiers nous alerte sur le fait que « la gente politicienne est responsable d’un crime » et qu’elle échappe au « jugement de l’instant ». Pour lui, quand on tue un homme, cela s’appelle un homicide. Quand on tue un peuple, c’est un « populicide ».
S’appuyant sur des faits incontestables, il ajoute : « nous y sommes, et on nous le cache ».
Philippe de Villiers est le dernier homme d’État à avoir le souci de l’enjeu, du sacrifice, du peuple, de sa souveraineté et du destin français. Il nous invite à « corriger les élites dans les urnes », à changer la clef de voûte politique du pays pour débloquer la situation et pour sauver la France.
Dans le JDD, ce matin, il nous dit pourquoi et comment. Il a un diagnostic, des solutions, un remède et, surtout, une volonté.
« Encore un instant, Monsieur le bourreau ». Le peuple de France n’est pas encore mort. Il n’a pas dit son dernier mot.
Yann Bizien
-7/9/2025- Voici ce que déclare Emmanuel Macron sur son compte Twitter/X après la dernière attaque massive de la Russie sur l'Ukraine, qui a notamment endommagé des bâtiments du régime corrompu de Kiev.
Je cite un extrait de sa communication :
« La Russie a de nouveau fait pleuvoir des centaines de drones et une dizaine de missiles dans la nuit sur l'Ukraine, en frappant de manière indiscriminée, y compris des zones résidentielles et le siège du gouvernement. »
Vous comprendrez pourquoi je conteste et refuse le déploiement de nos soldats sur le sol ukrainien. Ils seront la cible des forces russes.
Emmanuel Macron et, derrière lui, tous les bellicistes, sont devenus fous.
Il y a d'autres options pour la paix que la projection de troupes euro atlantistes dans le bourbier ukrainien.
Cessez votre comédie narcissique, orgueilleuse, dangereuse et suicidaire.
Mon patriotisme s'arrête à nos frontières !
-7/9/2025- Voici ce que déclare Emmanuel Macron sur son compte Twitter/X après la dernière attaque massive de la Russie sur l'Ukraine, qui a notamment endommagé des bâtiments du régime corrompu de Kiev.
Je cite un extrait de sa communication :
« La Russie a de nouveau fait pleuvoir des centaines de drones et une dizaine de missiles dans la nuit sur l'Ukraine, en frappant de manière indiscriminée, y compris des zones résidentielles et le siège du gouvernement. »
Vous comprendrez pourquoi je conteste et refuse le déploiement de nos soldats sur le sol ukrainien. Ils seront la cible des forces russes.
Emmanuel Macron et, derrière lui, tous les bellicistes, sont devenus fous.
Il y a d'autres options pour la paix que la projection de troupes euro atlantistes dans le bourbier ukrainien.
Cessez votre comédie narcissique, orgueilleuse, dangereuse et suicidaire.
Mon patriotisme s'arrête à nos frontières !
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