Translate

Affichage des articles dont le libellé est [réchauffement climatique]. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est [réchauffement climatique]. Afficher tous les articles

9 avril 2024

MONTÉE DES EAUX ? VOUS ÊTES BIEN SÛRS ?

Marc Amblard

Depuis des décennies, les fanatiques du climat nous mettent en garde contre l'élévation du niveau de la mer qui engloutirait des zones côtières et même des îles entières.
Je vous renvoie aux thèses alarmistes d’Al Gore et autres escrologistes.
Au cas d’espèce, c’est précisément le contraire qui a été observé : la superficie des 13 000 îles examinées a en fait globalement augmenté.
C’est ce que montre une analyse des données satellite de 1990 à 2020. Cette étude menée par des universitaires chinois a été publiée le 18 mars 2024.
Comme d’habitude il y a le réel et le récit. Et la plupart des gens ne font malheureusement pas la distinction.
Bref, il n’y a aucune montée des eaux. Lisez l’étude.
Au demeurant, si c’était le cas, on se demande bien pourquoi les responsables politiques américains (comme Obama, Pelosi et tant d’autres) s’offriraient de magnifiques villas les pieds dans l’eau à Palm Beach ou Martha’s Vineyard.

Cliquer sur l'image ↴

11 mars 2024

Tiephaine Soter

Bonne nouvelle ! La perspective de voir l'Arctique privée de glace en été s'éloigne. Jugez-en donc :
 
- en 2012, l'Arctique devait ne plus avoir de glaces l'été dès 2016.

- en 2023, l'Arctique devait être libre de glaces en été dès 2030.

- en 2024, l'Arctique devrait être libre de glaces en été à partir de 2035.
 
Plus le temps passe, plus l'échéance recule.

5 janvier 2024

Pierre Duriot

Je me marre…
-43.6°C en Suède, une vague de froid s'abat sur les pays scandinaves, tout ça, ma brave dame, à cause du réchauffement climatique, parce que, plus la Terre se réchauffe, plus il fait froid l’hiver, un peu comme la pluie sèche de notre été dernier. Heureusement, pour circuler par ces températures, les Suédois, très écolos, ont massivement acheté des voitures électriques. Ca va leur faire l’occasion de voir comment elles sont habitables en cas de batterie à plat, la nuit, dans la neige.

6 décembre 2023

Radu Portocala

Les gazettes s’empressent de reprendre l’annonce du service européen Copernicus qui dit que 2023 a été l’année « la plus chaude de l’histoire ». Par la faute de l’homme - cela va de soi.
Parlent-ils de l’histoire depuis son insondable commencement ? Ce serait, bien entendu, parfaitement stupide, puisqu’ils ne peuvent pas savoir quel temps il faisait il y a quatre mille ans ou même deux mille.
Entendent-ils, par histoire, les même pas deux siècles qui se sont écoulés depuis que la température est mesurée et enregistrée dans des statistiques ? C’est également stupide, car la période est bien trop courte par rapport à la très longue vie de la Terre pour en tirer des enseignements péremptoires.
Mais il y a autre chose. Ces affirmations sont faciles à faire pour la simple raison que si des scientifiques les contestent, on peut toujours les faire taire, et, par ailleurs, elles sont invérifiables par le commun des mortels. On peut toujours dire à l’homme de la rue que, par exemple, le 5 juillet 2023 la température à la surface de la Terre a été plus élevée de 2 degrés que le 5 juillet 1886, il n’aura ni les moyens ni la volonté de se livrer à des vérifications.
On peut toujours, et très facilement, mentir à l’homme de la rue, lui induire des angoisses afin de le manipuler plus facilement.
La Royal Society de Grande Bretagne vient de publier une étude qui démontre qu’une augmentation de la température a été la cause et non l’effet (!) d’une plus grande concentration de CO2 dans l’atmosphère. Bien entendu, on n’en tiendra pas compte et on rangera ses auteurs parmi les complotistes dangereux.

27 septembre 2023

Delaurette : brûler Galilée deux fois

Gilles La Carbona


26/9/2023 - 1609 chercheurs, dont deux prix Nobel bientôt hors-la-loi, qui pourraient se retrouver en prison, selon le vœu de plusieurs députés français. Cachez cette science que je ne saurais voir. Pour cette compagnie d’élus, il n’y a pas à tergiverser avec les « climato-sceptiques », ils doivent être réduits à néant, emprisonnés, c’est là la conception de la science de ces élus, peu diplômés pour nombre d’entre eux. C’est aussi le vœu de Klaus Schwab, le non élu qui hurle à l’oreille des gouvernants, qui appelle les États à créer des camps de rééducation : le pauvre aurait eu un père nazi. Et nos gouvernants le suivent, obéissent sans se poser de questions, comme par le passé, quand on crevait les yeux des héliocentriques. Mais que disent ces 1609 hérétiques ? La déclaration rédigée par le Global climate intelligence group, plaide pour « une science du climat moins idéologique, tandis que les décisions politiques devraient être davantage basées sur les données scientifiques ». Ils poursuivent en affirmant que « les chercheurs doivent aborder de manière transparente les zones grises et les exagérations dans les projections climatiques, tandis que les politiciens devraient évaluer objectivement les coûts et les avantages potentiels de leur législation ». Selon ce rapport, « la science climatique a été dévoyée en une pseudo science sensationnaliste ».

Rappelons que les alarmistes nous ont, depuis 10 ans, gratifiés de déclarations effroyables. Al Gore en 2009 prédisait que « l’Arctique serait libre de glace d’ici 2018 ». Il n’en fut rien. La militante Greta Thunberg, dont les liens avec Soros ont été révélés à l’occasion d’une erreur de sa part, où un SMS indiquait ce qu’elle devait dire, avait tweeté en 2018, que « le changement climatique anéantirait toute l’humanité dans 5 ans ». Depuis le tweet a été retiré.

Leur rapport conclut sur la nocivité de la recherche de la neutralité carbone d’ici 2050, la jugeant irréalisable et dangereuse pour les économies mondiales. On ne peut pas dire que ces propos sont extrémistes, simplement mesurés, rappelant que la science ne saurait se cantonner à des oukases et à l’acceptation d’une seule vue des problèmes. C’est donc cela que réfutent nos élus, en proposant une loi pour éradiquer les « climato-sceptiques » des médias ? Pour eux la lutte contre le dérèglement climatique doit primer sur la liberté de la presse et même sur l’honnêteté scientifique. Stéphane Delaurette, artisan de la démarche, a regroupé tous les partis, sauf le RN, comme quoi l’idéologie est bien le fil conducteur. Le socialiste vert va même jusqu’à dire que le consensus scientifique ne peut pas être remis en cause. Les intégristes écolos ne reculent devant rien, de quel consensus parle-t-il ?

Que fait-il des 1609 chercheurs et des deux prix Nobel, qui ont eu le courage de se réunir et d’afficher une autre vision du climat ? Sans doute qu’il entend les emprisonner, méthode très stalinienne, et prônée par le WEF ? Sans contradiction point de débat scientifique, mais sa démarche emprunte à la science seulement l’alibi de la légitimité. Ce n’est qu’une excuse pour imposer une idéologie qu’il veut absolue et générale, quand elle n’apparaît que bancale et partisane. Curieux, quand on s’intéresse à cette fausse science qu’est le climat : c’est bien là le fond du problème, modéliser un avenir avec des composantes changeantes et aléatoires. Tout l’inverse d’une vraie science, si deux et deux font quatre, prévoir ce que sera le climat dans 10 ans reste problématique. Au-delà de ce constat, comment peut-on décemment voter une loi qui aurait pour effet de condamner une opinion, même fausse ? Bill Gates lui-même, grand argentier du truc, émet de sérieux doutes sur ses propres prophéties, ce 21 septembre et revient sur le catastrophisme affiché il y a deux ans. Faudra-t-il le faire taire lui aussi, qui finance pourtant le « camp décrété du bien » et dont s’inspire M. Delaurette ?

Nous ne cessons de le répéter au RPF, si la théorie est erronée elle se délitera d’elle-même, il n’est pas nécessaire qu’une loi vienne aider à démontrer son erreur. Pierre Nidal-Naquet faisait remarquer à l’époque de la loi Gayssot, qu’en prétendant imposer une vérité historique, la loi laissait entendre que cette vérité était douteuse puisqu’elle avait besoin du législateur pour être protégée, alors qu’elle nécessitait seulement, en la circonstance, que les historiens l’établissent. Il en va de même ici, si les scientifiques, et il faut comprendre l’ensemble des scientifiques, non ceux qui vont dans le sens de M. Delaurette, ne sont pas d’accord sur les évolutions envisagées du climat, une loi pour obliger à penser que c’est là l’unique vérité, ne sera qu’une escroquerie supplémentaire. Que vaut la liberté de penser pour un socialiste vert ? Rien, ils n’ont pas été instruits avec ces idées, pour eux il faut décréter ce qui est vrai, ce qui est bon, et s’y tenir sous peine de finir en camp de redressement. L’idéologie prime sur la réflexion et l’esprit. Bon nombre de députés qui ont rejoint ce dangereux personnage seraient bien inspirés de se retirer, avant qu’il ne soit trop tard. Que vaut un pays qui refuse le débat d’idées au motif qu’il peut remettre en cause le modèle envisagé ? Décréter tout seul qu’il est le porte-parole de la vérité, n’est ni plus ni moins que condamner une seconde fois Galilée.

Ce projet de loi est du même acabit, il s’appuie sur les mêmes fondements, à savoir exclure ce qui déplaît à la politique exigée par Davos et son gourou, au mépris de la réserve scientifique nécessaire. Une vision exclusive et partisane ne peut conduire qu’à des excès. Il est trop facile d’affirmer un consensus quand on écarte les voix dissonantes, au seul prétexte qu’il est dangereux pour la suite du plan, qu’elles s’expriment. On nous rejoue le coup de la science qui vantait des vaccins efficaces à 95 %, avant de concéder qu’ils n’évitaient que les « formes graves »… et encore pourrait-on dire maintenant, puisque le silence radio est devenu de mise.

Si Delaurette et ses amis refusent le débat scientifique, cela ne peut être que suspect, c’est un procès à charge, ou la défense n’a pas le droit de s’exprimer : du stalinisme pur et dur. Il est impossible qu’une semblable loi entre en application, sauf à vouloir rentrer dans l’obscurantisme le plus infâme, à retrouver les réflexes du Moyen Âge. L’Occident, par de telles attitudes, s’enfonce un peu plus dans la décadence et s’isole du reste du monde. L’Europe seule se prête à cette folie ruineuse et fonce vers le déclassement, entraînée par quelques vieillards en quête de pouvoir éternel. Le monde n’est pas devenu fou, c’est seulement le groupuscule promoteur d’une « nouvelle vision occidentale » qui déraille.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com

14 septembre 2023

Vincent Verschoore

L'idéologisation du débat, qui permet de justifier tout et n'importe quoi, nous impose soit d'adhérer à la doxa et de hurler avec les loups, soit de passer du côté sombre et se trouver assimilé aux vils complotistes d'extrême droite mangeurs d'enfants sachant à peine lire.
Donc, quand un prix Nobel de physique dit publiquement que les analyses et prédictions du Giec sont erronées, les portes des médias bien-pensants se referment et ses arguments mis à l'index.
Pourtant, ce que dit le Pr Clauser ne manque pas d'intérêt, et si un type comme lui, qui pourrait reposer tranquille sur ses lauriers en se taisant, prend un tel risque, c'est sans doute qu'il a de bonnes raisons.
En gros, le Pr Clauser dit que si les modèles du Giec sont faux, et sont donc incapables de prédire quoi que ce soit, c'est avant tout parce qu'ils ne prennent pas en compte les effets de la couverture nuageuse, qui agit comme un thermostat pour la Terre, et se focalisent trop sur le CO2, dont la quantité atmosphérique actuelle reste faible par rapport au passé.
Un CO2, qui plus est, permet de nourrir la flore et qui est donc nécessaire à la vie. Le Pr Clauser ne dit pas qu'il n'y a pas une dimension anthropique au climat, mais que ce n'est pas le problème. Il est évidemment loin d'être le seul scientifique, y compris chez les climatologues, à tenir un discours en contraste avec les annonces culpabilisatrices actuelles d'emballement climatique et de catastrophe imminente.
Il est nécessaire d'avoir un débat contradictoire public sur ces questions, afin d'en tirer des conclusions raisonnables et décider d'actions pertinentes.
Aujourd'hui, et surtout en Europe, des politiciens ineptes utilisent la peur climatique pour paupériser la population générale et enrichir leurs puissants amis. L'interdiction de location des "passoires thermiques", mettant à la rue des milliers de personnes et permettant aux nantis de racheter des biens à prix cassé, est l'exemple type du détournement mafieux de la "crise climatique".
D'autant que les mêmes achètent en masse du gaz de schiste américain, et les lignes aériennes n'ont jamais si bien fonctionné pour les emmener en vacances à l'autre bout du monde.

19 août 2023

L’horizon de confiance se réduit franchement

H16

C’était pourtant assuré, promis juré craché : l’été 2023 devait être le plus chaud bouillant jamais enregistré. Cependant, malgré l’utilisation de couleurs cramoisies pour les cartes météos dans tous les médias européens, les autorités ont eu bien du mal à faire oublier la canicule humide et la violente sécheresse asymptomatique qui a frappé l’essentiel de l’Europe jusqu’à présent…

Faisant un véritable concours d’inventivité numérique entre deux averses et les reportages expliquant quel pull mettre pour rester à la mode dans cet été frisquet, ils en viennent maintenant à prétendre que le mois de juillet écoulé était le plus torride jamais enregistré (pratique quand les enregistrements ne remontent en l’occurrence que sur une trentaine d’années). Vos yeux vous mentent ; vos frissons sont psychologiques ; c’est pourtant évident : on suffoque.


Cependant, malgré les exhortations médiatiques, les homélies régulières de BFMTV et LCI et les cartes de France en coloris écarlates, force est de constater que l’été est bien banal, médiocre même. Oubliant l’antienne pourtant répétée tous les hivers qu’on ne doit jamais confondre météo et climat, quelques clowns tristes répètent les mantras officiels que cette canicule, fantasmée d’un média officiel à l’autre, est le résultat indubitable de l’action humaine.

Eh oui, “♩ lorsqu’il fait froid, ♪ ce n’est pas le climat et lorsqu’il fait chaud ♫, ce n’est pas la météo ♬”…

Las. Le décalage entre la réalité, humide, et le discours (sec, torride, apocalyptique) est si grand que la propagande est maintenant impossible à gober par ceux, de plus en plus nombreux, qui comprennent l’agenda politique toxique derrière les discours hypocritement écologistes.

Chacun comprend, de moins en moins confusément, que les autorités mentent, de plus en plus fort.


Avec les informations qui s’accumulent de toutes parts et sur tous les sujets, chacun comprend aussi que les autorités ont menti aussi sur beaucoup d’autres sujets (et peut-être même tous ?) : l’impact réel de la pandémie n’a rien à voir avec ce qui en fut pipeauté pendant plusieurs mois ; l’efficacité puis la sécurité réelle des vaccins ne fait plus guère de doute (eh oui : combien se bousculent pour la cinquième ou sixième dose d’un produit qui ne devait en comprendre que deux au départ ?) ; l’absence de protection offerte par les masques ne fait plus de doute que dans les esprits les plus perdus…

De la même façon, ce ne sont plus des doutes qui se sont introduits dans l’esprit des observateurs au départ neutres de l’état général du pays ; qui peut encore croire aux fables d’une reprise tonitruante (ou même solide) ? Qui croit encore que les autorités actuelles ont effectivement le contrôle de ce qui se passe, tant sur le plan de la sécurité intérieure que sur le plan de notre sécurité extérieure (notre armée n’étant plus que l’ombre d’elle-même) ?

Qui croit encore aux belles paroles de la brochette de bouffons en charge du pays ? À présent, ceux qui n’ont pas encore compris qu’ils mentent sans vergogne sont ou bien idiots, ou bien complices. Les autres, sortant progressivement de la transe hypnotique dans laquelle l’hébétement et la peur les avaient plongés lors des événements de 2020, se rendent compte de leurs supercheries et, rapidement, réduisent la confiance qu’ils ont dans le système actuel.


C’est ainsi qu’inexorablement, le peuple réduit la confiance qu’il accorde dans le processus démocratique comme en témoigne l’augmentation de l’abstention, qu’il réduit aussi sa confiance dans les autorités de santé (qui lui ont menti sans vergogne au moins les deux années passées), qu’il réduit sa confiance dans le système d’éducation, infoutu d’instruire ses enfants, qu’il abandonne toute confiance dans les journalistes devenus de simples soldats d’une propagande grossière, qu’il ne croit plus aux discours lénifiants des industries directement bénéficiaires de la capture règlementaire éhontée, depuis Big Pharma jusqu’à Big Food en passant par Big Data, qu’il réduit sa confiance dans le système financier en général dont il se doute qu’il ne peut que lui jouer dans un avenir proche un tour aussi pendable que possible. D’ailleurs, le fait par les autorités de vouloir à tous prix pousser les CBDC illustre bien que ces autorités ont saisi l’érosion de leurs levier sur les individus qui, eux, veulent s’orienter vers des moyens indépendants d’elles.

L’horizon de confiance était jusqu’à présent étendu : les plus naïfs pouvaient encore faire confiance, depuis leur campagne, jusqu’aux autorités parisiennes lointaines dont ils pouvaient croire qu’elles œuvraient aussi, même vaguement, à l’amélioration de leur bien-être.

Ce n’est plus le cas : on sait qu’elles mentent, qu’elles fomentent des agendas dont le but, caché ou affiché, est directement contraire aux intérêts locaux. Petit-à-petit, on assiste (et on verra de plus en plus clairement) à un rejet violent des propositions de ces autorités. Avec ce rejet, beaucoup d’emplois, de fonctions et de postes, assis sur cette confiance, vont perdre de leur superbe, de leur utilité et devront s’adapter ou, plus simplement, disparaître rapidement.


Parallèlement, cette réduction de l’horizon de confiance imposera l’augmentation de l’autonomie et de la responsabilité individuelle : le mouvement de balancier qui avait poussé le curseur fort loin vers le “tout-à-l’État” va devoir revenir à mesure qu’un nombre croissant de gens se rendra compte que cet État est nul, fourbe, et ne roule que pour lui-même.

Ce mouvement est pour le moment lent, mais il n’ira qu’accélérant maintenant : l’apparition, discrète mais certaine et inéluctable, de milices de protections participera de ce mouvement, tout comme le retour à l’école à la maison après une explosion des inscriptions dans le privé ou la reprise en main par chacun de sa santé en limitant les interactions avec les autorités les plus fiévreuses à l’idée de filer du médicament en lieu et place d’accompagnement aux changements de mode de vie. L’apparition puis l’utilisation croissant de cryptomonnaies, de monnaies locales, d’or, de bitcoin n’est rien d’autre qu’un abandon de ces monnaies étatiques basées sur une confiance qui s’est évaporée ; le mouvement est lancé, il ne s’arrêtera pas.

Oui, l’horizon de confiance se réduit et ce n’est pas forcément une mauvaise nouvelle.


https://h16free.com/2023/08/16/74856-lhorizon-de-confiance-se-reduit-franchement

11 août 2023

Même la météo est dans l’opposition

Gilles La Carbona
Secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire


On nous avait pourtant certifié que l’été serait catastrophique. Nous allions manquer d’eau, cuire sous 50°, mourir de soif… bref le décor était planté, avec toute la force de conviction de la macronie. Les médias étaient briefés, les rédactions de météo aussi, les cartes repeintes en rouge vif, dès 30 degrés, le spectacle s’annonçait croustillant. Les prophètes de malheur s’en donnaient à cœur joie pour nous affoler. Et comme au temps béni de la fausse pandémie, BFM en rajoutait. Patatras, voilà que ce 8 août, dans le journal de TF1 de 13 heures, un reportage nous montre un céréalier breton dépité, face à sa récolte de blé qui germe sur épis, tellement il a plu. Déclarant que ce blé serait tout juste bon pour les animaux. Puis vient le tour de ce producteur de tomates, qui nous révèle que sa production a chuté à cause du manque d’ensoleillement du mois de juillet.

Que s’est-il passé ? Heureusement la journaliste conclut par : « La bonne nouvelle c’est qu’on aura assez d’eau pour irriguer ! ». Tout pourri sur place parce qu’il y a trop de flotte et elle veut en plus, arroser ? Si Sandrine Rousseau a écouté ces témoignages, elle doit être folle de rage. La reine de la météo, confondant à dessein température en plein soleil et sous abri, si ce n’est derrière un pare-brise, nous annonçait à l’Assemblée nationale, qu’il faisait 60 degrés en Espagne, et qu’on allait tous crever, si très vite on ne réduisait pas nos libertés et si on ne nous taxait pas un peu plus. Parce que chez les gauchistes, même ceux qui ne savent pas qu’ils le sont, la seule solution, c’est la taxe. Il pleut trop, on taxe, il fait trop chaud, on taxe, on pollue trop, on taxe, on manque d’énergie, on taxe bien entendu...

Voilà que tout le narratif sur le dérèglement climatique s’effondre face à la réalité. Quand on ment sur un virus, c’est assez facile de truquer les chiffres et de mettre en scène des hôpitaux débordés, qu’on soulage avec l’envoi de patients en hélicoptères, mais sur le temps qu’il fait, le quidam se rend bien compte qu’il pleut et qu’il se gèle. En gros, tout le mois de juillet a été pourri, sur quasiment toute la France, sauf sur le pourtour méditerranéen, où les températures ont globalement été au-dessus de 30°, ce qui n’est pas non plus exceptionnel pour un été. Ce qui l’est moins dans cette région, c’est de se lever début août et de constater qu’à 7h du matin il fait tout juste 13°. La croissance des légumes de saison est fortement ralentie et les rendements s’en ressentent. Le doux rêve des extrémistes du climat, bobos verts, fondamentalistes bornés, qui veulent un 25 degrés permanent, ont simplement oublié que l’été a besoin d’être chaud pour que les récoltes soient bonnes. Décidément quand ça ne veut pas ça ne veut pas pour Macron.

Il avait prédit l’effondrement de la Russie, et des victoires flamboyantes sur le front ukrainien, c’est raté. Il désirait dominer l’Afrique, c’est une déroute, et encore, il n’a pas osé aller se frotter à Wagner, on attend avec impatience sa décision. Il misait sur le climat pour venir nous dire : vous voyez, j’avais raison. Tout ce qu’il tente est voué à l’échec. La manœuvre qui a consisté à maquiller en rouge vif des cartes des températures strictement identiques à celles d’il y a vingt ans, a été un peu grossière. Ne manquerait plus que l’hiver soit très froid, pour que les conclusions du GIEC commencent à chanceler elles aussi et fassent douter le peuple. Pas de risque de ce côté-là, car des députés envisagent d’interdire toute contestation, ou remise en question du narratif climatique. C’est ainsi que ça se passe en religion, il est prohibé de contester les saintes Écritures. Par contre, en sciences, le doute et la confrontation des idées contraires sont la base. La science a donc été bannie des débats et en l’absence de consensus scientifique, comme pour le vaccin, on n’interroge à la télévision que les tenants de la version la plus angoissante pour les populations. Un peu comme quand il était obligatoire de penser que la Terre était le centre de l’univers...

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com

5 août 2023

Véronique Faucheux

Le diable aussi est représenté en rouge...
Et si l'enfer existe, ces gens connaîtront la caresse cuisante des flammes.
Ce sera bien pire que la "canicule".

24 juillet 2023

Chronique météo-climatique d'été

Michel Rosenzweig

Ça tombe bien je suis un passionné de climat ET de météo.
Encombrement nuageux de l'Atlantique jusqu'à Moscou (encore un coup de Poutine), le tout baigné dans un courant maritime polaire sur l'Europe de l'ouest jusqu'au sud.
Résultat : temps automnal, frais, pluvieux et sombre.
Et toujours aucune alarme météo sur les médias officiels.
Mais que fait le GIEC ?
Et cela va continuer ainsi pour les 14 jours à venir.
Quand ça canicule, y a du monde, mais quand ça bascule dans la fraîcheur de l'anomalie de saison, là y a plus personne.
Tiens au fait, des nouvelles de la sécheresse ? Des nappes phréatico-aquifères ? Là aussi, plus personne. Et pourtant il pleut, mais sans doute pas la bonne pluie. Normal faut que ça saigne...
Vont-ils se rattraper sur cette anomalie climato-météorologique pour continuer à alimenter l'angoisse et la peur ou choisiront-ils de l'ignorer pour conforter leur dogme en continuant à colorier les cartes en 50 nuances de rouge ?
Chiche.
En attendant il fait très sombre, gris, pluvieux et mossad (encore un coup des sionistes), comme en plein mois de novembre avec des températures en dessous des normes dans certaines zones.
Bref, nous avons eu l'été en juin et l'automne en été. Y a plus de saison ma bonne dame, c'est ce que je n'ai cessé d'entendre dans mon enfance et c'était il y a fort longtemps dans une autre galaxie, far far away...

15 mai 2023

Sécheresse, sobriété, dépouillement… Misère.

H16

Même si cela peut être encore un peu confus dans l’esprit de certains, il n’y a plus guère de doute : les prochains mois seront, en France, l’occasion de difficultés évidentes car chacun va devoir faire preuve de retenue, de mesure, de simplicité.

Lutte contre le gaspillage avec l’introduction obligatoire du compost, sobriété imposée par des ajustements malins de taxes sur l’énergie au point de transformer habilement les déplacements automobiles en luxe du 1% privilégié (et du 0,1% qui a courageusement abandonné la voiture pour le jet privé), petits messages subtils à la radio, à la télé, dans tous les médias de révérence pour bien faire comprendre que, d’une part, on va manquer de tout (ou à peu près) et que, d’autre part, ce sera sous une chaleur écrasante sans aucun accès à la climatisation, les glaces vanille-fraise et un peu d’eau claire, bref, l’information est partout.

Car oui, maintenant, tout le monde le sait et c’est devenu parfaitement évident, surtout depuis ces derniers mois que l’eau a sa propre bourse, comme le pétrole : la sécheresse frappe, durement, des trouzaines de départements français qui en viennent à manquer d’eau. Les habitants, hagards, errent dans les rues, un verre (désespérément vide) à la main et la langue pendante, en attendant que les services de l’État viennent à la rescousse pour étancher leur soif catastrophique provoquée par le climat lui-même devenu méchant par la faute difficilement expiable de l’Humanité.

Et pire que tout, parfois, quand il pleut, il pleut beaucoup dans une sécheresse asymptomatique qui parvient à faire déborder les nappes phréatiques, comme en Vendée. Grâce aux explications de médias au taquet qui permettent de comprendre que cette pluie provoque méchamment la sécheresse partout où elle ne tombe pas, le peuple doit se résoudre à l’évidence : une violente sécheresse humide nous attend dans les prochains mois.


Heureusement, l’administration veille. Des hommes d’État, que dis-je, des Chefs voire, osons-le, de véritables Leaders se sont levés et commencent à prendre des mesures fermes pour – enfin ! – remettre un peu d’ordre dans ce pays au bord d’une soif mortelle.

C’est ainsi que, dans des Alpes-Maritimes d’une siccité inouïe ou quasiment (n’ergotons pas devant cette situation dramatique), le maire de la commune de Châteauneuf-Grasse a décidé d’alerter les pouvoirs publics devant la consommation d’eau irresponsable de certaines personnalités installées sous sa juridiction.

Pensez-donc : des riches se permettent d’arroser leur pelouse et utilisent jusqu’à 2000 mètres-cube d’eau (alors qu’une famille normale n’en utilise que 120). Pire encore : étant riches, ils peuvent payer leur facture sans problème, voire les amendes lorsqu’ils sont attrapés à arroser alors que c’est interdit. Il faut trouver une solution, même si – comme le reconnait le maire, gêné aux entournures – on peut fort bien être un gros consommateur d’eau tout en étant en même temps un protecteur de l’environnement, évoquant ceux qui veillent sur plusieurs dizaines d’hectares de nature dans leur parc privé et qui contribuent à sauver des espèces végétales.

Quelle solution peut-on trouver devant ce comportement honteux ?

Rassurez-vous : ce serait bien naïf de croire que nos édiles, nos politiciens et nos administrations n’ont pas déjà quelques épais dossiers d’idées proposées par l’un ou l’autre cabinet de conseil chevronné, payé par l’argent gratuit des autres. D’ailleurs, il suffit de voir les dernières innovations législatives pour constater que les petits rouages administratifs tournent déjà à plein régime : dans un décret paru le 25 avril 2023 dernier, on apprend ainsi qu’est suspendue l’utilisation de l’eau chaude des lavabos sur les lieux de travail.

Dans le cadre de cette pauvreté sobriété énergétique que le gouvernement nous impose pour compenser ses décisions de plus en plus lunaires sur à peu près tout en matière d’économie et d’industrie en France, il apparaît donc que les locaux professionnels vont devoir se passer d’alimenter leurs sanitaires en eau chaude. Pour le moment, les douches ne sont pas encore concernées. Pas encore. Puis, plus tard, ceux qui avaient l’idée forcément saugrenue de prendre une douche sur leur lieu de travail devront s’habituer à la prendre froide ou y renoncer complètement. Gain d’énergie, gain d’eau, tout le monde y trouvera obligatoirement son bonheur.

À quand les toilettes sèches pour tous ?


Il faut le redire : tout ceci est la conséquence évidente d’un réchauffement médiatique climatique qu’on doit sans douter attribuer aux agitations trop carbonées des pays riches, et absolument pas à l’impéritie des autorités dans leur gestion de l’eau en particulier, et de toutes les ressources disponibles (y compris énergétiques) en général.

Oubliez l’absence de maintenance régulière des canaux et de la tuyauterie. Oubliez les fuites, massives, dans les réseaux de distribution qui ne sont plus à la charge de personne, les responsables publics ayant le seul courage d’accuser les opérateurs privés dont les connivences avec les pouvoirs en place leur permettent à leur tour de renvoyer la balle aux mêmes responsables dans un ping-pong politique extrêmement productif. Ne considérez jamais les petits sabotages détendus sous couverts d’opérations de maintenance qui tombent à pic alors que les petits cris stridents sur le mode “sécheresse” se font entendre ici ou là.

Oubliez ça.

Oubliez aussi les taxations vexatoires de toutes les énergies pour financer les lubies politiques du moment, comme vous devez oublier l’impression frénétique de monnaie de singe qui aboutit maintenant à une inflation galopante se traduisant par des coûts énergétiques délirants. Oubliez les contraintes, interdictions et directions politiques débiles qui ont toutes abouties à rendre la production électrique prohibitive, alors qu’on sait faire beaucoup et pas cher.

Oubliez ça aussi.

Concentrez-vous plutôt sur le fait que cette sécheresse est la punition de la Nature contre les excès de l’Homme, et que cette pluie qui fait déborder les nappes ne sont que les larmes de Gaïa devant notre absence de syntonisation harmonieuse avec elle, de notre refus obstiné de retourner à la misère et au dénuement.