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22 avril 2024

Effet accélérateur du vaccin anti-Covid Pfizer sur les cancers ?

Vincent Verschoore

22/4/2024 - Une telle hypothèse vaut excommunication immédiate par le clergé covidiste, mais une toute récente étude pointe un tel effet d'un adjuvant au nom barbare, présent dans ces produits afin de protéger l'ARNm injecté des défenses immunitaires.
Traduction de l'abstract :
"En raison de l'urgence sanitaire créée par le SRAS-CoV-2, le virus responsable de la maladie COVID-19, la mise en œuvre rapide d'une nouvelle technologie vaccinale était nécessaire. Les vaccins ARNm, qui font partie des nouvelles technologies de pointe, ont suscité un grand intérêt et suscité beaucoup d'espoir. Le potentiel de ces vaccins à prévenir les hospitalisations et les maladies graves chez les personnes présentant des comorbidités a récemment été remis en question en raison de l'affaiblissement rapide de l'immunité des vaccins. Des preuves de plus en plus nombreuses indiquent que ces vaccins, comme beaucoup d'autres, ne génèrent pas d'immunité stérilisante, ce qui rend les personnes vulnérables aux infections récurrentes. En outre, on a découvert que les vaccins à ARNm inhibent des voies immunologiques essentielles, compromettant ainsi la signalisation précoce de l'interféron. Dans le cadre de la vaccination COVID-19, cette inhibition assure une synthèse appropriée des protéines de pointe et une activation immunitaire réduite.
Il est prouvé que l'ajout de 100% de N1-méthyl-pseudouridine (m1Ψ) au vaccin ARNm dans un modèle de mélanome a stimulé la croissance du cancer et les métastases, alors que les vaccins ARNm non modifiés ont induit des résultats opposés, ce qui suggère que les vaccins ARNm COVID-19 pourraient favoriser le développement du cancer. Sur la base de ces preuves irréfutables, nous suggérons que les futurs essais cliniques pour les cancers ou les maladies infectieuses n'utilisent pas de vaccins ARNm modifiés à 100 % en m1Ψ, mais plutôt des vaccins avec un pourcentage plus faible de modification en m1Ψ afin d'éviter la suppression de l'immunité."
Plus de trois ans après le début de cette vaste vaccination expérimentale de masse, de désinformation et de censure baignée de corruption, et face à la très faible efficacité de produits générant par ailleurs de nombreux effets indésirables, la science se penche sur les mécanismes moléculaires à l'œuvre. Mécanismes qu'il aurait fallu évaluer "avant", mais l'hystérie politico-sanitaire et la corruption en décidèrent autrement.


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