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22 février 2023

Le Dr Amine Umlil révoqué de ses fonctions sur décision du Centre national de gestion (CNG)

Vincent Verschoore

La volonté institutionnelle visant à casser le Dr Amine Umlil, qui avait osé témoigner (en mai 2022) devant une commission du Sénat sur les graves dérives de l'entreprise covidiste, illustre la corruption profonde de ce milieu dit de la "santé", qui tente encore de faire taire ses critiques par la violence.
« Ils me reprochent d’avoir manqué à mon obligation de réserve et de neutralité. Or, tous les articles du Code de santé publique – même le magistrat l’a admis le jour du conseil de discipline – expliquent que je ne suis pas tenu au devoir de réserve comme je ne suis pas fonctionnaire. » Ce samedi 4 février, le Dr Amine Umlil, pharmacien et responsable de la pharmacovigilance à l’hôpital de Cholet, a été notifié de la révocation de ses fonctions sur décision du Centre national de gestion, l’autorité administrative des praticiens hospitaliers. Une décision qui fait suite à sa comparution le 12 janvier devant le conseil de discipline du CNG pour répondre de ses critiques émises à l’endroit de la politique sanitaire du gouvernement lors de la crise du Covid-19.

Cependant,

« Dans un communiqué de presse en date du 6 février, l'Association médicale de défense de la déontologie et des droits des malades (AMDDDM) a souhaité apporter son soutien au Dr Amine Umlil, révoqué de ses fonctions sur décision du Centre national de gestion (CNG). "Comment est-il possible qu’un praticien hospitalier, convoqué par le Sénat du fait de son expertise reconnue en pharmacovigilance et en droit de la santé, dans le cadre d’une enquête menée par l’OPESCT (…) puisse subir un quelconque préjudice pour avoir accepté de répondre, sous serment, aux questions qui lui étaient posées par les parlementaires ?", s’insurge le collectif après avoir appris la nouvelle de la sanction dont il dénonce le caractère "sévère", "expéditif" et "arbitraire". »
(Source : FranceSoir)

Le Dr Umlil prépare son appel. Espérons que les crapules du CNG, qui représentent surtout les "médecins" corrompus qui se sont fait payer 900 euros par jour pour faire de l'abattage "vaccinal" au mépris des principes médicaux et éthiques les plus élémentaires, en prendront plein la gueule.