Yann Bizien
-7/10/2025- C'est le modèle extrême du pervers narcissique : aucune empathie pour le peuple. Il ignore les désirs des autres. Une besoin obsessionnel de pouvoir, de domination, de contrôle, d'emprise, de manipulation, de dévalorisation et de culpabilisation pour esquiver ses responsabilités. Aucune capacité à reconnaître ses torts. Les seuls coupables, ce sont toujours les autres. Le pervers narcissique provoque, humilie, clive, sabote, déconstruit et isole. Il retourne habilement toutes les situations à son profit. Il n’est jamais fautif. Il cherche le conflit, à brouiller (Ukraine, Proche-Orient), à punir (les Gilets jaunes, les antivax) et à rabaisser (les Français qui ne sont rien...). Le pervers narcissique s'agace du bonheur des autres. Il ne veut que sa réussite, pas celle des autres. Il ne voit que par sa méthode. Les autres ne sont que des objets utiles. Le pervers narcissique se veut au centre de toutes les attentions. Pour cela, il est prêt à tout, à piétiner les limites, jusqu'à se contredire, à mentir et à trahir avec mépris et arrogance.