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20 novembre 2025

Gastel Etzwane
19/11/2025

D’un côté, l’Ukraine.
Encore une affaire de corruption, et ce n’est même plus une surprise. On a arrêté de compter depuis longtemps. Avant 2022, personne ne voulait voir : c’était déjà le paradis de l’argent sale, des oligarques et des valises de billets. Depuis, c’est pire : les scandales pleuvent, toujours plus gros, toujours plus proches du sommet. Le bras droit de Zelensky, les ministres, les généraux… tout le monde se sert. Des dizaines de milliards partis d’Europe et des États-Unis, volatilisés dans les poches de types en costard-cravate ou en treillis qui n’ont de patriotique que le drapeau sur la photo. On ne parle même plus de l’idéologie nauséabonde qui va avec, on a passé ce stade.
Les Français, eux, ils en ont assez. Assez de payer pour ça. Assez d’entendre parler de ce pays tous les jours comme si c’était notre guerre. On a la dette, les taxes, les factures qui explosent, et zéro projet, zéro vision ici. Alors non, merci.
De l’autre côté, on a le spectacle pathétique du chef d’état-major des armées, Fabien Mandon, un homme qui doit ses étoiles à l’onction macronienne et qui, rien qu’à le regarder, donne l’impression qu’un courant d’air le mettrait à terre. Ce sourire figé, cette absence totale de charisme, cette voix qui ne porte rien… Et c’est lui qui vient nous expliquer qu’il faut « accepter de perdre nos enfants » pour aller faire la guerre à la Russie ? Sérieusement ?
La Russie ne nous a jamais attaqués. Jamais menacés. De Gaulle voulait au contraire tendre la main à Moscou, parce que c’est notre voisin continental, le plus grand pays d’Europe, une puissance avec laquelle on peut parler. Et aujourd’hui on devrait envoyer nos fils mourir pour quoi ? Pour défendre un régime corrompu à Kiev ? Pour faire plaisir à des technocrates bruxellois et à un président français en fin de course ?
Non. Ça suffit.
Rendez les étoiles, mon général. Regardez-vous dans une glace. Et laissez les Français tranquilles.
On veut la paix. On veut vivre. On ne veut plus payer ni mourir pour vos guerres par procuration.
C’est fini.