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12 septembre 2023

30 juillet 2023

TENTONS DE RÉSUMER L’ÉTAT DU MONDE EN 2023...

Marc Amblard

Une oligarchie, qu’on a à peu près identifiée, est en train d’appliquer aux populations les préceptes d’une idéologie se nourrissant de trois courants de pensée :
1) Le malthusianisme : la population doit baisser drastiquement en raison d’une réduction des ressources naturelles – Bill Gates l’a maintes fois proclamé dans ses conférences, notamment durant les sessions TED (voir les vidéos).
2) Le réchauffisme : par leurs modes de consommation, les humains sont responsables du réchauffement de la planète (…) ; on sait à présent qu’il s’agit d’une belle escroquerie.
3) Le collectivisme (ou marxisme) : aux maux du monde, il ne peut y avoir de solutions que collectives et pour qu’elles soient atteintes, il nous faut abandonner nos libertés les plus élémentaires et faire confiance à ceux qui nous gouvernent (dont la nomination n’est plus démocratique).
Un tel paradigme s’apparente de plus en plus à une dérive sectaire et fascisante.
De surcroît, nos oligarques sont convaincus que les objectifs sous-tendus ne peuvent être atteints que si tous les pays du globe agissent de concert. À cette fin, ils aspirent à un effacement progressif des nations pour leur substituer un ensemble d’organisations internationales (ONU, FMI, OMS, Banque mondiale, Banque des règlements internationaux…) auxquelles leur seraient transférés des pouvoirs croissants. Des monstres administratifs gérés par des représentants non élus, qui n’ont de comptes à rendre à personne.
Surtout pas aux populations. C’est le fameux « New World Order » dont les grands dirigeants nous rebattent les oreilles depuis des années.
Les pays devenant alors de simples « provinces » chargées d’appliquer des directives supranationales. Processus au demeurant bien engagé comme on a pu le constater avec l’application étonnamment coordonnée des mesures anti-covid, elles-mêmes anti-science.
Ces puissants se sont donc mis en tête de contrôler les peuples (par la peur et l’appauvrissement) afin de répondre à leurs délires « éco-régulateurs » et imposer leur vision du monde.
L’un d’entre eux, Klaus Schwab, grand gourou du World Economic Forum, a résumé le plan avec sa désormais célèbre formule « Vous ne possèderez plus rien et vous serez heureux… ». Grotesque.
Voilà pour faire très court, ce qui semble être le nœud du problème.
Seul le réveil des peuples pourra y mettre fin. Ne tardons pas trop.
M. Amblard - 30/7/2023

30 décembre 2022

Qui est Klaus Schwab ?

Pierre Duriot

Le grand public n’a pas l’air de trop connaître Klaus Schwab, qui est pourtant présent aux côtés des chefs d’États mondiaux et des PDG de très grandes entreprises, un peu comme un maître à penser. Il est né en Allemagne en 1938, de père allemand, haut dignitaire nazi et de mère suisse. Il séjourne en Suisse depuis 60 ans, mais s’est vu refuser la nationalité. Héritier de la fortune de son père, diplômé de Harvard, il gagnerait encore, à 84 ans, près d’un million d’Euros par an et il est surtout le fondateur du Forum économique mondial de Davos, en Suisse, qui attire des dirigeants d’entreprises, des chefs d’État et des hommes politiques du monde entier, ainsi que des intellectuels et des journalistes, afin de débattre des problèmes les plus urgents de la planète, y compris dans les domaines de la santé et de l’environnement. Moyennant finance, bien sûr. Le quidam ne peut pas y aller.

Sa fille, Nicole Schwab, est cofondatrice du Gender Equality Project et son fils, Olivier Schwab, est marié à une Chinoise et dirige le bureau du Forum à Pékin.

Il ne se cache pas de ses objectifs de « Grande réinitialisation », en anglais « The Great Reset », dont il a fait un livre et il prône une planification économique mondiale, pour reconstruire l’économie de manière durable, après la pandémie de Covid-19. Livre dévoilé en compagnie du prince Charles, devenu roi d’Angleterre. Au titre de sa présidence du Forum, il est invité au G20, avec son ami Bill Gates, qui lui, finance de grandes organisations internationales, comme l’Organisation mondiale de la santé et tous les deux « suggèrent » aux chefs d’États, des idées bien à eux, un genre de messianisme basé sur le mariage de la gouvernance publique avec le business, la technoscience et l’ingénierie sociale, incluant la création d’un « homme nouveau », ce qu’on appelle parfois le « transhumanisme », le tout avec un axe « durable », écologique donc, organisé à l’échelle mondiale et donc, par-dessus les États. Bill Gates a expliqué que « la réduction de la mortalité infantile, par le développement de la vaccination, peut freiner la croissance démographique dans le monde. Ce progrès conduira, à terme, les parents à concevoir moins d’enfants, s’ils savent qu’ils vivront longtemps et en pleine santé. À terme, cela réduirait donc l’accroissement de la population mondiale ». Cette approche a été traduite par des commentateurs, en une volonté de réduction de la population mondiale par les vaccins. Question d’interprétation.

En réalité, il n’est pas le seul à avoir des « plans » pour l’humanité, le problème est qu’il a une sphère d’influence assez large, même si elle serait en régression, sans avoir la moindre légitimité démocratique. « Vous ne posséderez plus rien et vous serez heureux », a-t-il expliqué, dans une projection, où la possession serait remplacée par des services.

Le personnage alimente de nombreuses théories complotistes, du fait sans doute de tenues vestimentaires, tenant parfois de la science-fiction, ou à connotation sectaire. Au RPF, nous souhaitons juste faire acte de pédagogie, en mettant au jour un personnage sombre, mais personnage-clé dans l’intervention sur nos vies quotidiennes, sans que celui-ci n’ait la moindre légitimité populaire.