-30/11/2025- La "fabrique du consentement des masses" sur l’idéologie progressiste nous a donc coûté 1 milliard d'euros en 2024 (coût réel de la communication des ministères et des services de l’État).
Il ne s’agit pas seulement du coût de la communication obligatoire du gouvernement.
Il s’agit aussi du coût de la propagande d’État, celle qui a pour but d’imposer une politique, de faire dominer une idéologie, de déployer des campagnes militantes, d’influencer et d’utiliser "le temps de cerveaux disponibles".
Dans ce coût, il y a évidemment celui qui est lié à l’achat d’espaces publicitaires.
Depuis 2017, les gouvernements nous ont abreuvé de propagande sanitaire, wokiste, multiculturaliste et belliciste.
Et depuis 2017, les dépenses de communication de l’exécutif ont explosé.
Emmanuel Macron entend contrôler l’information mais aussi les "médias dissidents" et le cerveau des Français. Il veut instaurer un juge de l’information pour mettre les médias encore indépendants au pas et pour museler l’expression des Français sur les réseaux sociaux (un référé fake news). Et il estime que le président de l’ARCOM ne serait pas à la hauteur de ses exigences de contrôle.
Pour le président français, la liberté d’expression est un problème. Il faut donc la contrôler, la censurer et, désormais, la juger (avec l’argent des Français).
Le pervers narcissique est en train de soviétiser toute notre société parce qu'il constate que tout lui échappe. Plus il perdra du pouvoir, de l’autorité et de la popularité, plus il sera agressif et tyrannique.
